26 - Seattle.

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Je tourne sur moi même et tombe nez à nez avec le visage d'Hardis endormis.

Il est si beau...

Il ouvre les yeux un sourire moqueur aux lèvres avant de m'embrasser.

- bonjour mademoiselle Adams.

- bonjour monsieur Greyston.

On rigole et je blotti dans ces bras.

- tu n'es pas allez travaillé ?

- oh...non, vue que je suis là, me répondit il. Et je ne voudrais être autre part.

Je souris comme une gamine et respire son parfum virile.

- tu comptes bien revenir avec moi à Seattle non?, me demande t il.

Oh non!

Je lève les yeux vers lui et me redresse en tirant le drap avec moi.

Parce que oui, je suis nue.

- Laure ?, m'interpelle Hardis en se redressant lui aussi.

- ma vie est ici désormais. Je ne veux pas retourner à Seattle.

- Laure, regarde moi.

Il pose sa main sur ma joue et la caresse tendrement.

- je te veux près de moi et je peux te promettre qu'aucun danger ne te sera fait tant que je serais vivant.

Oh la la, il est si choux.

- là-bas il y a...mon père et ici j'ai...j'ai un boulot et un toit.

- tu vivra pleinement dans ma penthouse avec moi et en ce qui concerne ton boulot, je peux y remédier.

- je ne veux pas être ta secrétaire!

Il me regarde choqué avant d'éclater de rire.

- bien sûre que non. Aucun de nous deux ne sera concentré sinon.

- et tu propose quoi? Madame Martins n'acceptera jamais de me reprendre.

- je t'annonce que la Greyston house, ouvre dans bientôt un service marketing dédiés au achat de part mineur et qu'une directrice est en recherche actuellement.

J'ouvre la bouche ébahi et le regard choqué.

- tu auras tout le personnel qui va avec et bien sûre une secrétaire.

- Hardis ! Je ne peux pas accepter !

- bien sûre que si. Tu aura tes locaux et moi, les miens. Et puis je te choisis juste parce que tu portes le nom d'Adams Laure. Et pour rien d'autre.

- c'est trop Hardis! Beaucoup trop.

- Laure, tu n'as pas le choix. C'est soit ça soit je te kidnappe et te séquestre chez moi.

je rigole et lui sourit.

- Hardis je..

- tu veux partager mon temps tu devras t'y contraindre. Tu déteste le luxe tu devras aussi t'y contraindre. Je suis Hardis Greyston, je te rappelle.

Je me pince les lèvres voyant l'envergure de la chose et regrette immédiatement certaines règles. L'ancienne Laure devrait elle revenir ?

Je ne serais jamais comme avant mais Hardis a raison, je porte le nom d'Adams, et malgré mes réticences, un sang d'entrepreneur coule en moi.

nuance plus sombreWhere stories live. Discover now