Fille d'un champion du monde [FINI]

Chapitre 52

PDV BENJAMIN

Nous passons la porte d'entrée et Amélie part saluer sa famille. Je pose les clés sur le buffet avant de rejoindre les Zidane dans le salon.

Zinedine : Qui t'a fait ça Amélie ?
Amélie : Tom.
Enzo : Je vais le tuer...
Amélie : Ben s'est chargé de lui faire regretter.

Tout le monde me regarde. Je me gratte la nuque, gêné avant de m'asseoir à côté de Véronique.

Moi : Je l'ai seulement collé contre le mur.
Amélie : Tu lui as fait peur. Tu faisais peur mon coeur, je ne t'ai jamais vu aussi énervé.
Moi : Il a voulu te tuer !
Amélie : Je sais mon coeur. Je t'aime.

Elle vient s'asseoir sur mes genoux puis, elle passe ses bras autour de mon cou.

Moi : Je t'aime aussi mon amour.
Zinedine : Qu'es qu'il en dit ton patron ?

Amélie nous raconte son altercation avec Berman. Je n'avais rien entendu, après tout, j'étais trop occupé avec l'autre débile. Je vais aussi défoncer ce Nicolas.

Zinedine : Je t'interdis de retourner dans cette agence !
Amelie : Je bosse la bas papa ! T'inquiète pas, mon patron ne va plus rien tenté contre moi. Si il est sain d'esprit, il devrait virer Tom.
Zinedine : Amélie !
Amélie : Tu t'inquiètes pour rien.

Zinedine soupire. Nous finissons par aller dîner.

Ellipse nuit

PDV ZINEDINE

Je sors de l'appart de ma fille avant d'arpenter les rues de Stuttgart. Je rentre dans l'agence de ma fille.

Moi : Bonjour Madame, je voudrais voir Nicolas Berman.
Secretaire : Bonjour, il est occupé.
Moi : Je crois que vous n'avez pas très bien compris, Estelle.

Je fais glisser une centaine d'euros sur le comptoir. Elle me regarde, surprise avant de récupérer l'argent.

Estelle : Dernier étage.

Je la remercie avant de prendre l'ascenseur. J'arrive rapidement devant son bureau. Je rentre sans frapper et remarque qu'il était en rendez vous.

Nicolas : Je suis occupé. Veuillez patienter à l'extérieur.
Moi : Sortez Mademoiselle. Je dois m'entretenir avec votre patron.

La jeune femme se lève mais Nicolas le retient.

Nicolas : Restez Sophie.
Moi : Dehors !

Elle sort rapidement et je m'avance jusqu'au bureau.

Nicolas : J'espère que vous serez rapide monsieur Zidane, je..

Je l'empêche de finir en l'attrapant par le col et de le bloquer contre le mur.

Moi : Vous allez laisser ma fille tranquille ! La laisser exercer ce métier dans votre agence. Ne plus jamais douter de sa parole. Et surtout, me virer cette ordure de Tom. Qu'importe la baisse de popularité de votre agence. Ma fille viendra chaque jour avec un garde du corps, pour ne pas retomber avec une ordure comme Tom et surtout pour veiller à ce que vous respectiez ce que je viens de vous dire.