Partie 1 : Chapitre 13 : Je vais te sauver ! 🥺😀

15 2 2
                                    

1 semaine été passée, et nous n'avions toujours aucune nouvelle d'Helena. Je commençais à perdre espoir. Tad, était revenu de l'hôpital. Il était en congés maladie pour une semaine. Mon père et Abbey cherchaient désespérément des traces de ma fille mais ne trouvaient pas. Ils étaient partis en Californie, mais n'avaient trouvé personne, ou alors, ils avaient mal chercher. Chaque jour qui passait, était un jour de souffrance pour moi. J'avais mal, j'avais très mal. Mon appartement était tellement vide sans Helena. Je ne pouvais pas vivre sans elle, je ne pouvais plus. Tad, lui, aussi ne pouvait plus. Je passais mes journées à me morfondre sur mon canapé et à regarder des films et des séries. Tad, lui sortait avec des amis pour me faire croire qu'il allait bien. Alors que c'était tout le contraire.

Today...

J'étais partie faire quelques courses, car nous n'avions plus rien à manger. Dans la rue, tout le monde me regardait et me connaissait. Car, des alertes enlèvements avaient été lançées cette semaine. Et j'étais passée sur la chaîne de télé" CNN International ", diffusée dans le monde entier. Pour partager mon dégoût et ma souffrance face au kidnapping de ma fille. Sur les réseaux sociaux, surtout sur Instagram, mon nombre d'abonnés avait augmenté en hausse : 456 042 abonnés. Tout le monde me soutenait et cela me faisait connaître. Car même si, beaucoup de mes abonnés s'étaient abonnés pour me soutenir. Beaucoup d'autres, avaient remarqué mon talent de la mode. Je commençais à devenir une star. Mais en attendant, ma fille était toujours kidnappée. Je rentrai dans le magasin et beaucoup me disaient : "désolé". Je leur souriait, mais cela commençait à devenir agaçant. Je pris le stricte nécessaire et payai puis repartis chez-moi. Tad, quand je fus arrivée à l'appartement, me pris dans ses bras. Puis, je cuisinai le déjeuner avec les réserves que je venais d'acheter. J'avais cuisiné un poulet rôti. Nous le mangeâmes devant le journal de 13 h de la chaîne CNN International, qui parlait des nouvelles informations sur l'enquête. Puis, une nouvelle alerte enlèvement se mit à être diffusée sur la chaîne. J'éteignis immédiatement la télévision, car je n'en pouvais plus de regarder cette alerte. Elle me faisait pleurer à chaque fois que je la regardais. Il y en avait presque deux par jour, et cela n'était pas très efficace. Après le repas, je reçus un message :

----------------------------------------------
Mairie Windenburg : (1:45 p.m)
Bonjour, nous sommes la mairie
de Windenburg. C'était pour vous
dire que la boutique que vous aviez
fait des travaux, a brûlée cette nuit.
Elle est irrécupérable,et c'est pour
cela que nous avons décidé de vous
rembourser en vous achetant une boutique jusqu'à côté de votre appartement ! Je vous donne les coordonnées dès que possible ! Au revoir !

--------------------------------------------

J'avais reçu enfin une bonne nouvelle ! La boutique avait brûlé, mais on m'en avait offerte une à côté de chez-moi. Surtout que ça allait ramener des clients, car j'habitais en plein centre-ville ! Je ne répondis pas au message mais j'avais le sourire jusqu'aux oreilles. J'avertis immédiatement mon petit ami. Il me regarda avec le sourire. Il était heureux pour moi. Finalement, peut être que cette journée allait être joyeuse et belle. Puis, Tad me rappela que je devais aller au commissariat pour signer un document. Je ne m'étais pas rappeler que c'était ce jour là, alors je partis au commissariat. Une fois là-bas, je vis Abbey et mon père discuter des théories de l'affaire. Je décidai d'écouter leur conversation :

- Alors, vous pensez officier Bominable, que Maryse et Alvéric se seraient arrêter chez les parents de Maryse ? —J'en suis persuadée ! Selon nos recherches, Maryse et Alvéric n'auraient pas eu le temps de partir très loin, quand on a découvert leur planque en Californie, ils ont pris peur et ont entendu à la radio, qu'on parlait de cet enlèvement et ce sont précipités chez les parents de Maryse. - D'accord, très bien ! En route ! Dit mon père.

A peine, j'eus fini d'entendre leur conversation que je me cachai dans la voiture de police. Abbey et mon père montèrent dans la voiture et ne firent pas attention à moi. La voiture commença donc à démarrer. L'état de la Californie, n'était pas très loin de San Myshuno. Il a fallu deux heures pour arriver là-bas. Une fois sur place, Abbey chercha dans l'annuaire le numéro des Fésabel. Elle les appela avec son propre portable pour ne pas éveiller les soupçons. Elle se fit passer pour une personne qui avait soif et avait besoin de leur adresse pour aller chez eux. Elle eut au téléphone la grand-mère Fésabel qui donna l'adresse sans se douter qu'elle avait la police au téléphone. Une fois devant la porte, Abbey frappa en se faisant toujours passer pour la dame qui avait soif. Raisine Fésabel, la grand-mère, la fit entrer et lui donna un verre d'eau. Pendant ce temps, je sortis de la voiture. Je me faufila dans la maison et me cacha dans les toilettes. Mon père arriva et dit :

- Police ! Vous êtes en état d'arrestation pour complice d'un enlèvement ! Cria mon père.        - Quel enlèvement.... Maryse, ma petite fille, tu peux m'expliquer. S'il te plait, je ne comprends pas. Dit Raisine.                                                        Maryse entra dans la pièce avec une arme à feu.                                                           - Laisse mamie ! Je vais me charger de tout ça ! Ajouta Maryse.

A ces mots, j'entendis des coups de feu dans la maison et des pleurs d'enfant qui venaient du sous-sol. Je courus au sous-sol et aperçut Alvéric tenant ma fille d'un côté et de l'autre une arme blanche (poignard).

- Laisse ma fille en dehors de ça, sale monstre ! - Oh, regarde qui voilà, Helena, c'est ta maman ! Dit-il en rigolant.        - Je t'ai dis, laisse ma fille tranquille! Dis-je.
- On dirait que tu as envie de choisir entre deux choix, Clawdeen. Dit-il avec un sourire nargueur.                                            A ces mots, Maryse descendit avec ses parents. Et Abbey et Clawrk qui avaient été capturés.         
- Clawdeen, tu choisis entre soit, ta fille ou ton père et ton amie ! Dit Maryse.                           - Vous ne pouvez pas me faire ça ! Dis-je désemparée.                 -  Oh si tu le peux ! Tout comme moi je le peux, car si tu ne te décides pas, je ferai mon choix ! Dit-elle en riant.                                                                Clawdeen repéra une arme à feu par terre. Elle la prit vite et visa Maryse.                           - Si tu me tues, tu sais que tu auras ma mort sur la conscience et ce ne sera pas très bon pour ton image ma chère ! Tu pourrais te retrouver en prison ! Dit-elle en criant.           - Le plus important, ce n'est pas l'image comme tu le penses mais LA FAMILLE, alors je me fous de ta mort sale garce, parce que je vais aller vivre ma vie et personne n'en décidera autrement. Dis-je en pleurant.                          - Oh, mais c'est qu'elle est sensible la petite ! Dit-elle en se moquant de moi.                              Je tirai alors une balle dans le plafond, Maryse qui prit peur, tira sur mon père. Je tirai alors sur Maryse, mais j'échouai. Maryse s'enfuya mais Alvéric n'eut pas le temps de s'enfuir, car je lui tiras dessus. Toute la famille de Maryse partit en voiture, j'appelai une ambulance pour mon père et détachai Abbey, puis je partis avec la voiture de police avec Helena. Je roulai à toute vitesse pour rattraper Maryse.                                                                                                              

A suivre dans le prochain chapitre de The destiny of Clawdeen.

The story of ClawdeenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant