Imagines Harry Potter &Co

Olivier « criminelle »

-Sacha...l'entendit je chuchoteralors qu'il ouvrait à peine les yeux.
Jemis simplement ma main sur la sienne avant qu'il ne tente de se leveret s'asseoir.
-Nonnon Olivier... tenté jealors que le lion têtu grognait et s'asseyait en ouvrant lesyeux.
-J'aimal. Lâcha-t-il brusquementalors que je mélangeais sa potion au jus de citrouille pour qu'il leboive.
-Le cognardt'a foncé dessusavant de prendre en chasse les deux attrapeurs. Vous avez gagné maistu as eu 3 côtes cassées et une fracture de laclavicule.
-Satanécognard... chuchotât-il alorsen e regardant lui tendre son médicament.
Il butout d'un trait, avant que le faire la grimace en me rendant le verrevide.
- Je sais passi je dois te remercier de m'avoir fait boireça... commençât-il avantque l'infirmière n'arrive.
-Vousdevriez monsieur Dubois. Mademoiselle Davies vous a surveillé et abeaucoup aider à votre guérison. Dit-elle tandisque je ramassais lesmédicaments sur sa table de chevet et le linge que jelui avais mise surle front lorsqu'il faisait de la température pour tout allerranger.
-Mercialors. dit une voix derrière moi alors que je finissais deranger.
-Cen'est rien. Souris-je aubrun qui était simplement vêtude son pantalon noir et de sachemise Gryffondor malboutonné.
-C'est donc icique tu passes tout ton temps .
-Tu cherches vraiment à faire la conversation ? demandais-je enme retournant vers lui.
-Jecrois que oui. dit il en me suivant alors que j'allais prendre monsac de cours.
-À lasemaine prochaine Madame Pomfresh. dis je à l'infirmière quime souriais à travers la pièce.
-Donc? reprit-il alorsque nous sortions de l'infirmerie.
-Jesuis en aide à l'infirmière depuis le début d'année. Tu as étémon premier patient. dis je en lui souriant.
-C'estun honneur.
-Et jet'ai pas tué. Dis-je enlui arrachant un sourire.
-Mercibeaucoup. Pour de vrai. Dit-il alorsque nous nous arrêtions en plein milieu ducouloir pour nous fixer .

-Tun'as pas entraînement de quidditch tous lesmercredis à 17 h? demandais-je alorsque le visage du brun setordait de remords dû à son oubli.
-Tu es ma sauveuse Sacha. dit-il en m'embrassant le front avant decourir vers le terrain.
-Contented'aider... marmonnais jeen me dirigeant vers la salle commune des rouge et or.
Jerejoignis mes amis, avant descendre manger quelques heures plustard.
-Alors larumeur dit qu'Olivier Dubois ettoi ... commença John alors que son meilleur ami le coupait enmettant sa main sur sa bouche.
Olivier arriva etsaluât tout le monde avant de se servir des pommes de terre.Mes amis me fixèrent avant de reprendre leur discussion comme sitout était normal.
Rienn'allait. Olivier Dubois ne venait pasmanger à côté demoi dans un univers qui tournait rond.
-Donc,demain on a un devoir de potion? Mais je l'ai pas fait. Dit-il alorsque notre groupe se levait pouraller aux dortoirs.
-Tului as mis quoidans son médicament . Seglissât à mes côtés Émeline unemoue malicieuse sur le visage.
-Riendu tout. Dis-je enessayant de me défendre.
Pasd'arguments, pas de témoins, et une bouille de mythomane. Voilà mavie.
-Donc notrecapitaine a comme eut uncoup de foudre .
-Cognard.rectifiât une voix derrière nous.
Jesursautais sous le rire de John qui se payait ma tête.
-C'estqui laisse le doute sur l'utilisation de philtre d'amourc'est que notre Sacha aime bien Dubois depuis... dit-il avantque je ne décide de le couper.
-Pourquoi serait jeune criminelle ? demandais-je.
-Pourton mépris du règlement?

-Tatendance à toujours nous faire perdre des points parstes anti-sèches .
-Oliviertu peux venir s'il te plaît . Dis-je assezfort pour que le brun ne vienne vers nous.
Onétait devant la salle, comme des cons, à regarder le regard ducapitaine des lions, alors qu'il était perdu.
-Pas de rose ! dis-je àmes amis.
-Quoi?demandât perdus Olivier.
-Jem'incline. dit Émeline en rentrant.
-Enfait c'est moiqui suis cafté quetu l'aimais bien. Maintenant je vous laisse.me sourit-Il malicieusementalors que je rougissais violemment et qu'il refermait laporte du dortoir.
-C'estextrêmement gênant. Dis-je enne voulant pas me retourner.
-Jesais. Mais... c'est vrai ?
-Lecognard t'a trop violemment frappé ? dis-je entrouvant le courage de me retourner et de rire nerveusement.
-ÉcoutesSacha. C'est assez délicat comme... tu es sur le terrain.Se chuchotât-il.
-Ok,reprit il en me souriant, avant de se rapprocher de moi et dem'embrasser passionnément.