Remus « -Je suis pas un yaourt qu'on jete. »

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Ça faisait une longue semaine qu'il m'évitait. Ce qui m'impressionnais, je dois l'avouer, car étant dans la même maison que lui, ce n'étais pas chose facile de m'éviter.
Au bout du troisième jour, je l'avait vu de loin, rigoler avec ses amis et Anastasia et Coralie, deux Serdaigle,qui ne ce cachaient pas d'aimer Remus. Lui que j'aimais temps, qui me connaissait par cœur, rigolait avec elles alors qu'ils m'avait lâcher comme une vielle chaussette pourrie.
Donc ça faisait officiellement une semaine que tout le monde me demandais « ça va ? » « je te vois plus beaucoup t'es sure ? »
Je souriais. Merci les sortilèges qui cachaient mes yeux rouges et gonfler. Merci à ma meilleure amie qui était toujours l'a. Merci à ma sœur qui m'avait envoyer un lecteur MP3 avec des écouteurs pour que je déprime tranquillement.
-Zoé, les maraudeurs n'arrêtes pas de te regarder. dit ma meilleure amie en me regardant.
Je relevais la tête vers elle et elle me fixa tristement.
-Tu n'as pas mis ton sortilège. murmura t elle.
-Marre de faire semblant. dis je en reprenant des œufs.
-Mais...
-Et qu'il ne me parle même pas. De toute façon, il ne le fais plus depuis longtemps. dis je en sachant que mes camarades allaient tout lui rapporter.
Je finis mon assiette et partis seule en cours.
-Miss, retourner vous coucher. dis le professeur McGonagall quand je venais de rentrer en première dans la classe.
-Il faut que je me change les idées. dis je. Ça va aller professeur mais merci. dis je en m'asseyant au premier rang.
L'heure passa assez vite, et je fus la première à sortir pour profiter du reste de ma matinée de libre.
-ZOÉ! criât une voix que je connaissais que trop bien, en pleins milieu des élèves.
Je ne pris même pas la peine de m'arrêter, jusqu'à ce que cette personne retienne ma manche.
-Zoé. dis Remus
-À tiens tu me parles !? Et tu n'est pas avec tes nouvelles copines ?
-Arrête tu sais très bien que je ....
-Non justement Remus, je ne sais pas! m'emportais je. Je ne sais rien parce que tu m'a jeter tel un yaourt périmé à la poubelle. On prend pas les gens pour des yaourts alors me parles plus et retourne avec tes amis. dis je en colère.
Je me dégageais et partis.
Ce fut que quelques heures après que je reçu un hiboux. J'étais tranquillement sur mon lit à rêvasser quand un toctoc me sortit de mon rêve.
« Si tu veux bien me voir moi, retrouve moi dans la tour d'astronomie ce soir à 22h 
-Sirius (qui ne veut pas que tu le tues merci).   »
Je soufflais. Bien évidemment que je voulais savoir ce qu'il avait à me dire.
Et à 22h tapante j'étais donc dans la tour d'astronomie à regarder les étoiles.
-T'es venue. lâcha une voix derrière moi.
-Que voulais tu me dire?
-Je voulais te parler de Remus. Mon visage ce tordis de tristesse et mes larmes coulèrent seules sur mes joues.
Sirius me prit dans ses bras.
-J'en peut plus. dis je une fois un peu calmer.
-Il t'aime. Il ne t'a juste pas tout dit. rétorquât il.
-Je sais qu'il n'était pas bien à la venue de la lune.dis je en le regardant. Puis j'ai fouiller dans des livres et j'ai compris. J'allais lui en parler quand il arrêter d'être lui.
-Mais il est lui Zoé.
-Non. Mon Remus, il n'aurai pas arrêter de me parler, de m'embrasser, de me câliner. Il n'aurai pas couper des ponts si jour au lendemain, il n'aurai surtout pas parler et même rigoler avec ces deux putes de Serdaigle.
-Mais s'il avait peur pour toi? demandât Sirius.
-Mais on s'en fou! Un couple c'est à deux! Il aurais pu me le dire ! C'est pas comme si je lui avait tout confier de ma vie. dis je en retombant en pleure.
-Et s'il venait te parler Maintenant ? demandât Le Brun.
-Il aurai intérêt à avoir de solide arguments sinon demain à la première heure je descend à la Grande Salle et je découpe en morceau les deux pimbêches bleu.
-Elles sont gentilles. les défendit Sirius.
Mon regard était tellement noir qu'il ce tut avant de rajouter.
-Je te donnerai mon couteau.
-Maintenant parle moi de James et Lily. dis je.
-Tu as compris... Soufflât il.
-Je ne suis pas idiote Sirius. Déjà je m'étonne que Remus ne soit pas l'a mais James était obligé de nous écouter sous sa cape. dis je en voyant la tête de ce dernier dépasser dans le vide, avec une moue innocente sur le visage.
-Salut.
La soirée pris vite fin, et le lendemain, je ne pris même pas de petit déjeuner. Je savais que Remus allait venir me voir. J'étais à la bibliothèque quand soudain je sentis qu'on m'attrapait par les hanches.
-Babe. dit Remus en plaçant sa tête dans mon cou.
- Humm. dis je en souriant doucement.
Je l'entendis sangloter doucement et je ne pu le laisser dans cet état plus longtemps. Je me retournais et pris sa tête qu'il enfouit dans mon cou en sanglotant doucement, tandis que je lui passais la main dans les cheveux.
-C'est passer. dis je en le voyant relever la tête.
-Je suis tellement désoler.murmurat il.
- Pourquoi ne pas parler tout simplement?
-J'avais peur que tu me quittes. Je t'ai vu comprendre ce que j'étais et j'ai eu peur.
-Ne refais plus jamais ça. dis je en plongeant mon regard dans le siens.
-Promis. dit il en m'embrassant.
-On sèche toute la journée ? demandât il après ce baiser.
-Je t'aime. Dis je en replaçant le livre et lui suivit jusqu'à son dortoir.

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