Imagines Harry Potter &Co

Sirius « Conciergerie de Poudlard » part.2

-Le problème c'est que tu es trop timide. dis ma meilleure amie alors que nous étions à table avec Lily.
-Je suis pas timide je suis juste sûre que ce n'est pas réciproque. dit je en buvant du jus de citrouille.
-On sait qui est l'auteur inconnu.arrivèrent les garçons en s'asseyant à coter de nous.
Remus et Peter en face de moi a coter de Jade me regardait malicieusement alors qu'à ma gauche s'asseyait Sirius qui se collait à moi.
Après un blanc, Jade perdue patience.
-Vous allez cracher le morceau?
-C'est Martin. Septième année. Serdaigle.
Tout notre petit groupe ce retourna vers le jeune homme qui lisait un livre derrière nous à sa table.
-Vous êtes sur ? Demandât Jade sceptique
-On le saura bientôt. dit son jumeau en montrant une fiole.
-Je ne veux pas être complice de ça. dis je en me levant. Je vais changer mes affaires. dis je avant d'empoigner mon sac.
-Attend je viens. me dit Remus coupant la parole à Sirius.
-Je sais que c'est toi. dit il alors au détour d'un couloir après un blanc.
-Quoi ? De quoi ?
-La conciergerie de Poudlard.
-Comment t'en arrive à cette conclusion.
-Tu était dans le cours de potion l'année dernière. Tu n'est pas présenter et tu aimes écrire Jeanne. J'ai compris. dit il en me souriant.
-C'est la catastrophe. Si tu as compris qui a compris aussi ? demandais je
-Je pense être le plus perspicace du groupe. Puis je suis le seul à avoir étudier tous tes articles. Mais tu vas trouver où toutes tes infos ?
-J'écoute. Je m'informe. J'ai mis des sortilèges d'écoutes et des plumes à papotes invisibles un peu partout dans le château. Un vrai boulot de journaliste. dis je en passant le tableau.
-Je vous ça. Et mieux renseigner que la Gazette du sorcier. Tu devrai demander à faire un stage.
-Je sais pas. Je n'aime pas trop travailler dans un bureau. Mais c'était pas que pour ça que tu es venu hein?
-Sirius ne parle que de toi. Tu es comme sa déesse. rigola t il alors que je devenais rouge  Gryffondor.
-Mais...
-Avec Lily et Jade on a bien vu que toi aussi. Donc je voulais juste te dire ça.
-Juste le dire ça? répétais Je sceptique.
-Ok peut être que James a laisser échapper que tu l'aimais bien aussi, en simple constatation, et que Ducoup Sirius veut absolument te parler. Prépare toi psychologiquement maintenant. Je dois y aller j'ai sortilège. Me sourit il avant de quitter la pièce.
Et alors que mon cerveau enregistrait et prenait conscience de tout, j'avais déjà changer mes livres et j'étais assise à coter de Lily en Potions.
-Je vais mourir. dis je en plongeant ma tête dans mes bras.
-Je suis perdue... Dit Lily l'air effectivement perdue.
-Je dois éviter Sirius. dis je en regardant ma montre.
-C'est urgent ? demandât elle en soufflant.
-Je vais faire une crise d'angoisse. dis je en mimant une difficulté à respirer et comprenant ce qu'elle voulait dire.
Elle levât la main et le professeur Slughorn vint vers nous.
-Un problème Lily ?
-Oui professeur. Je crois que Jeanne a respirer trop de fumée nauséabonde, est ce que je peux sortir avec elle en avance s'il vous plaît notre potion est terminée. dit elle en faisant les yeux doux au professeur qui l'a regardait tendrement alors que je mimais toujours de m'étouffer.
Je pourrai crevé sur place qui ne m'autoriserai à sortir qu'avec Lily, se fût donc comme à chaque fois une réponse positive et des louanges pour la potions de la Rousse.
-Donc maintenant ? demandât elle en fermant la porte de la salle de classe.
-On va à la bibliothèque ? On est sur de pas le croisé. dis je en faisant les yeux doux à la rousse.
-Je te suis, mourante. Ajoutât elle en rigolant pour ce moquer de moi.
C'était donc dans le mieux calme et en compagnie de la rousse que j'avais passer le reste de ma journée.
-On va être en retard pour manger. Me dit elle alors que j'émergeais de ma lecture.
-On cour. dis je en rigolant et fourrant mon livre dans mon sac.
-On vous a cherchez partout. dit James pleins de reproches à sa copine lorsqu'elle s'assit à coter de lui.
-Vous avez pas cherchez au bon endroit alors. dit simplement Lily en me souriant.
-T'étais où? me demandât Sirius soucieux.
-Dans un endroit secret.
-J'avais dit qu'il ne fallait pas laisser la carte dans le dortoir. dit Peter moqueusement avant que Dumbledore ne fasse silence dans la salle remplis.
-Je voulais vous dire quelques mots sur le journal qui paraît tout les lundis. Je trouve que la personne qui l'écrit a beaucoup de talent en journalisme mais malheureusement pour elle il faut une autorisation. Je veux donc en parler avec elle car Poudlard n'est pas une école où il faut masquer son potentiel mais l'exprimer. Je voudrais donc que l'auteur se présente à mon bureau d'ici peu pour pouvoir en parler avec moi. Mademoiselle Jeanne Delcourt aussi s'il vous plaît, après le repas dans mon bureau. ajoutât il en me regardant. Tout l'attention était sur moi et je mis ma tête dans mes mains.
-Je vais mourir. grognais je.
- Maintenant bon appétit. dit il en ouvrant les bras et faisant apparaître la nourriture.
-Tu es enfin redevenu de couleur normale? se moquât ma meilleure amie alors que je relevais la tête après cinq minutes.
-Je veux mourir.Dis je simplement en me servant du poulet.
-Je t'accompagne chez le directeur. dit Sirius. Il n'y a pas de non. ajoutât il fermement alors que tournais la tête vers lui pour protester.
Je jouait alors avec mon poulet et mes patates dans mon assiette, stresser d'aller chez le directeur et en plus avec Sirius.
-T'es pire qu'une crampe. se moquât Jade.
-J'ai même pas faim.
-Mange un peu. dit Lily. Ça va aller de toute façon tu n'a rien fait.
-Je crois qu'elle est pas ... commençât James avant que Lily ne lui mette une fourchette de gratin dans la bouche pour qu'il se taise.
-On y va ? me demandat Sirius en se levant alors que je finissais ma malheureuse et unique patate.
-Je suis obligé ?
-On ne fui pas Mademoiselle. dit il en me prenant la main, en m'amenant dans les couloirs vides.
-Pourquoi tu m'évite ? lâcha t il
-Je t'évite pas. Je suis juste un peu occupé ces derniers temps.
-À cacher ton identité et avec le journal ?
-Quoi ? dis je en m'arrêtant.
-Tu crois vraiment que t'arriverai a me cacher ça ? demandât il malicieusement en se rapprochant de moi.
Il mis sa main sur ma joue avant que je ne relève la tête pour plonger mon regard dans le sien.
Il posât alors ses lèvres sur les miennes et les fit danser.
Une fois le baiser terminé, il me sourit.
-Alors comme ça j'ai une gueule d'ange?
Je le frappais à l'épaule et repris ma route.
-Commence pas hein.
Il mis son bras sur mes épaules et me colla à lui.
-Je déteins sur toi quand même Mademoiselle la rebelle. se moquât il de moi alors que la boule au ventre revenait en montant les marches.
-Je suis avec toi. dit il en m'embrassant avant de toquer à la porte.
Un « entrez » résonnât et je rentrais dans le bureau ovale.
Je fis quelques pas, suivis du brun qui resta en retrait.
-Mademoiselle. Je sais que vous savez pourquoi vous êtes l'a. dit il au dessus de ses lunettes demis lune.
-Professeur c'était vraiment pas pour enfreindre le règlement que je publiais la conciergerie. dis je en commençant.
-Je sais Mademoiselle mais malgré le fait que j'aime ce que vous écrivez, je dois vos punir.
-Je sais. dis je en baissant la tête.
-Je vous oblige à continuer jusqu'à la fin de l'année vos publications. Vous aurez une édition spéciale à publier tout le mois. ajoutât il alors que je relevais la tête choquer. Présenter les matières facultatives et les nouvelles pour les deuxième année. Au verso vous présenterez un professeur et son parcours professionnel. dit il en me souriant.
L'année prochaine vous laisserez les tache à des élèves recruter cette année tout en supervisant le tout. dit il. Comme vous pouvez le voir c'est une punition à long terme, ou tout le monde y gagne.
-Merci professeur. dis je en lui souriant de toutes mes dents.
-Bonne nuit Mademoiselle et ne traîner pas trop dans les couloirs, Monsieur Black est déjà en sursis d'heure de colle pour ce motif. me sourit il malicieusement avant que je ne sorte de la salle.
-J'ai pas de punition aussi cool. boudat il.
Je l'embrassais en rigolant.
-Aller on rentre vite j'ai une édition spéciale à écrire.