chapitre XXII

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Salut ! Donc pour ceux qui n'ont pas compris, la partie précédente est la fin de l'histoire avec Rog'. Maintenant, imaginez que ... Elle se rende compte qu'elle aime David ?



Et là j'ai le choc .

Elisabeth : Mary arrête la voiture on a un problème.

Mary s'arrête et Elton ,Kurt et elle me regardent .
Elton me transperce de ses yeux cachés par ses lunettes et, il me comprend . Il a tout compris.

Elton : appellez Roger et les autres jours on annule tout . Elisabeth... Tu aimes David ? Tu t'en es rendue compte lors de son interruption, n'est ce pas ? J'ai vu ta détresse dans tes yeux .

Je n'ose pas parler , j'ai honte . J'ai honte de planter Roger comme ça. Je veux disparaître. Je hoche la tête et je me mets à pleurer.
Kurt , à ma droite me serre dans ses bras et tente de me consoler , mais au fond de moi, le seul moyen de me consoler est que Roger me pardonne. Mary sort de la voiture appelle Roger , et celui ci nous rejoint quelques minutes plus tard . Il me regarde, Mary a du tout lui dire . Il est impassible, mais , seul un fin trait brillant partant de son œil et se prolongeant sur son visage trahit son émotion. Une larme qu'il essuie et il se dirige vers moi , je suis toujours à pleurer dans les bras de Kurt . Kurt ne veux pas me lâcher, mais Roger me prend dans ses bras. il me serre fort . Je n'en ai que faire.
Roger , avec surprise, me console ,il chante une chanson qui m'est inconnue qui a le dont de me calmer. Une fois mes pleurs calmés, il me chuchote doucement.

Roger : c'est pas grave Elisabeth, je ne veux que ton bonheur... Je ... Je ... Je veux juste qu'on reste amis , que je puisse veiller sur toi... D'accord miss ?

Je hoche doucement la tête . Roger reste avec moi  , et se décolle pour appeler les invités pour leur faire part de l'incident.
Elton et Kurt restent avec Roger et Mary et moi rentrons.


Mary : Bon ! J'ai tout mon maquillage ici on va te maquiller pour que tu ailles chez David, j'ai des habits dans ma penderie , tu ne peux rester ainsi !!! Donc j'ai pris l'initiative de te préparer, à peu près la même tenue que tu avais ce soir là , à Munich.

Je suis incapable de parler , donc je hoche la tête, et je m'habille, me débarrassant ainsi de ce blanc horrible me collant à la peau, pour mettre du noir et du kaki . Je défait ma coiffure et me fait mon chignon habituel, et Mary me maquille pour me faire ressembler à cette fille que j'étais lors de l'été de juillet 1971 à Munich. Chose qu'elle a réussi à faire grâce à un Polaroid fait là bas .
Une fois prête , elle me ramène chez moi pour que j'y ailles en moto , l'histoire d'être indépendante. Je démarre ma moto et je fonce chez David Jones .

Un Parfait Rockeur ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant