💣❄I love You. I hate You.🔥💥

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Ohayo Minna san ! Un BakuTodo pour aujourd'hui ! 🔑🍯
Vos avis ? 🗡💚
Je vous souhaite une bonne lecture 🍎🌻
Pdv Katsuki
Je me rappellerai toute ma vie de ce soir là où je l'ai vu dans ce mini short blanc et ce débardeur bleu ciel, une nuit dans ce couloir sombre. Cette sensation en moi, aussi dévastatrice que ma colère, mes mains serrant et desserant mes poings. Ses longues jambes blanches que j'avais envie de couvrir de traces de morsures et de brûlures. A ce moment là, j'ai su que quelque chose n'allait pas. Ses petits yeux pleins de sommeil couleur lagon bleu et ciel gris d'orage, ses cheveux en bataille sang et neige, à ce moment là, une envie de lui faire mal m'a saisi aux tripes. Je le voulais soumis à moi, et aussi rebel, froid et timide à la fois. Juste pour moi. Je voulais posséder Double Face.
Le lendemain, je suis arrivé en cours, fracassant tout dans mon passage, jusqu'à ce qu'il me lance un regard et me lâche un "C'est bon, t'as fini de faire du bruit de bon matin, pétard mouillé ?", de son ton grave et blasé. La même sensation que la veille me prit, mes mâchoires me démengeait sévèrement, et je lui simplement lancer le regard le plus noir qu'il existe sur cette putain de Terre. L'autre merde de Deku est tout de suite venu à son secours. Tch.
En cours héroïque, toute la semaine, je ne comprenais pas mon envie soudainement de violence envers le double alter, mais je sentais au fond de moi que c'était malsain. Aussi, je l'ai accosté dans un couloir le soir même, le choppant par le col de son pyjama, son regard blasé avec une touche de je ne sais quoi qui me donnait encore plus envie de le violenter. J'ai alors écraser mon corps de tout son poids sur le sien, mes lèvres sur les siennes sans aucunes douceur. J'ai, alors forcer le passage de sa bouche, rentrant ma langue dans son antre et soumettant la sienne à moi. Ses deux mains aux longs doigts fins, crochetés sur mes épaules avec rudeté, firent naître un moi un sentiment de conquête et de frustration mêlée, dont je ne connaissais pas l'origine.
-Si tu parles à qui que se soit de cela, je te tue, compris, Shoto~ ?
Un frisson l'a parcourut à ce moment là, et j'ai souris de manière effrayante, observant sans honte son visage rouge et dégoulinant de bave de notre baiser. J'ai aussi mis une grande fessée à son derrière tout rond, ricanant comme un démon, avant de rentrer dans ma chambre, fier comme un paon. Mais son regard plein de larmes et voilé par l'envie m'ont poursuivi dans mes rêves, me laissant au petit matin avec une érection intenable et douloureuse. Je prend alors mon portable, cherche le contact de Double Face et l'appelle. Il répond d'une petite voix endormie que je pourrais qualifier de mignonne.
-Allo ? C'est qui ?
-C'est moi. Katsuki. Tu as 5 minutes pour venir à ma chambre, maintenant.
Et je raccroche. Je sais que rien ne l'y oblige, mais je sens qu'il va venir. 4 minutes et 30 secondes plus tard, deux petits toc toc à ma porte, puis la porte s'ouvre sur un Double Face pas très réveillé, ses cheveux décoiffé et les yeux encore tout petits.
-Qu'est ce que tu veux Bakugo ? Pourquoi me faire venir à 6h dans ta chambre un jeudi matin ?
-Fermes là et approche, j'ai un truc pour toi.
Un sourire mauvais étire mes lèvres, qu'il s'approche de mon lit, regardant mon visage, ses pommettes rougies.
-Je veux que tu me suces. Maintenant.
Sans lui laisser le temps de me répondre, j'attrape ses cheveux doux comme de la soie d'un geste brusque, et colle son visage sur ma couette, là où se situe ma verge. Il tente de se relever, mais je le bloque dessus, ne lui laissant pas le choix. Son visage se tourne vers moi, il reprend un peu son souffle, ses beaux yeux humides et me dit d'une voix étouffée :
-D-d'accord, je vais le faire... Mais... lâche moi... s'il te plaît...
Je soulève la couette sans lui répondre, baisse mon sous vêtement d'une main, l'autre toujours dans ses cheveux derrière son crâne, et jete son visage fin sur ma verge dure, le frappant avec. Une marque rouge apparaît, et je souris encore plus. Il passe alors quelques petits coups de langues timides, avant que je le force à le prendre en bouche en entier, manquant de l'étouffer. Je ris, d'un rire pas très sain, regardant ce merveilleux spectacle satisfaisant. Il suce ce qu'il peut, mets les mains, presse mes boules, que je caresses presque tendrement sa chevelure, forçant parfois le passage de sa gorge. Il débute là dedans et il est si doué... sa langue taquine mon gland, entrant la pointe dans la fente pendant que ses lèvres frottent mon sexe de haut en bas. Je le regarde faire, quelques larmes coulant sur ses joues, me rendant plus gros et plus dur dans sa divine bouche. Après quelques succions fort alléchantes, je jouis sans prévenir dans sa cavité buccale dans un grognement sourd, le voyant se débattre avec ma semence en bouche.
-Avales. Tout et sans oublier une goutte, dis- je froidement.
Il avale alors sans broncher, passe sa langue sur ses lèvres et lèche mon sexe afin de récupérer les petites gouttelettes qui y sont restées.
-Maintenant, dégages, lâchais-je encore plus froidement.
Son regard se lève vers moi, plein de larmes de frustration sans doute, car j'ai remarqué qu'il bandait mais avec une touche de tristesse et une pointe de mépris.
-Baisses les yeux.
Il obéit pas, et dans un élan de colère, ma main part dans son visage, claquant sa joue blanche, laissant une marque rouge et son regard écarquillé de surprise.
-J'ai pas le temps de jouer avec toi, dégages Double Face. Et ne dis rien à personne, se sera notre petit secret~
Il se lève sans un mot et part, que j'entend des sanglots quitter sa gorge lorsqu'il est dehors. Je me lève, et observe mon sexe couvert de sa bave. Je rage et l'essuie, maudissant cet escargot à double couleur. Je lui dirais tout à l'heure~
Je descend manger, et je remarque la Tête d'Ortie, Pikachu et le Hamster, puis Deku d'merde, avec 4 Yeux et Tête d'Oeuf. Pas de trace de Double Face. Je prend mon paquet de céréales, une brique de lait et mon bol, avant d'aller sur une chaise manger. J'écoute distraitement ce que me raconte les débiles de ma squad quand j'entend un nom qui me fait écouter les conversations.
-Todoroki-kun vient de m'envoyer un sms en me disant qu'il viendra à l'heure d'après car il a oublié de se lever, expose l'autre brocolis génétiquement modifié.
Oh le menteur. C'est pas bien ça, ça mérite une punition~ Je souris en moi même, réveillant mon côté démoniaque. Rien que de penser à claquer son doux visage ou son joli cul, je sens mon sang pulser en direction de mon cerveau d'en bas. Je finis mon petit déj', pars me préparer et enfile mon uniforme, avant de rejoindre les autres pour aller en cours. A 9h, mon petit soumit arrive, les yeux un peu rouges et gonflés, dont je suis visiblement le seul à voir. Je lui fais un charmant sourire cruel et il frissonne, grandissant mon sourire. Il fait un petit salut de la main dans ma direction. Enfin presque. Il l'adresse à Deku. Bâtard. Connard. Enculé. Je vais t'violer. Et Deku à la con je vais te massacrer. Mon sourire fond comme neige en été, et ses yeux s'écarquillent. Oui oui, commence à flipper, parce que je vais pas te louper. La récré sonne, que je pars à la recherche de cette petit bite afin de lui dire deux mots. Je le retrouve avec l'autre bâtard vert, entraîne de rigoler. Je fulmine. Des crépitement m'échappent, que je leurs lance un sourire innocent. Deku me salue, en souriant et Double Face détourne le regard. Je m'approche doucement, et me place à côté du vert, face au double alter.
-Bonjour Kacchan, ça va comme tu veux ?
-Ouais, presque, à quelques détails prêt. Dis voir, ça te dérange de me laisser avec le fils du n°1 un moment ? On doit parler.
-Oh non bien sûr, à plus tard Todoroki-kun !
-Mi-Midoriya... !
-Trop tard mon cher Double Face, ton cher ami est parti~
-Qu-qu'est-ce que tu me veux ?
-Oh pas grand chose juste un petit rendez vous, juste toi et moi dans ta chambre ce soir, tu veux bien ?
J'ai pris une voix douce et je le vois hésiter.
-Aller s'il te plaît Shoto~
Je me mets à caresser sa joue avec tendresse pour l'amadouer. Il frissonne et je souris.
-D-d'accord mais pas longtemps, hein ?
-Bien sûr que non~
Juste le temps de te faire peur, de te faire du mal... et de me vider les couilles. Je me sens comme un drogué en manque, c'est ma nouvelle drogue. J'attrape sa nuque, baisse le col de sa chemise blanche et plante mes dents dans son cou d'un coup, le fesant glapir de surprise et de... désir ? Je lèche ma marque et il frissonne me fesant sourire.
-Bon garçon, dis-je en frottant ses cheveux, un vrai sourire tendre aux lèvres.
Ses yeux se mirent à briller, et il tente un baiser, que je repousse sèchement. Il me lance un regard d'incompréhension, que je lui dis :
-C'est moi qui décide de ce que tu as le droit de faire, ou non. Restes à ta place et baisses les yeux.
Il obéit, pas comme ce matin, et je prend un malin plaisir à le regarder, rouge et gêné. Je suis sadique, je viens de remarquer. Je prends son menton entre deux doigts, et lui susurre :
-Ce soir, tu vas être punis pour avoir fait sauter une heure de cours. Prépares bien tes fesses, Shoto~
Il tente de garder les yeux vers le bas que je continue en murmurant à son oreille :
-A chaque fois que tu obéiras sagement, tu auras droit à une récompense, cela te va ?
Il hoche la tête, et je dépose un baiser sur son front, petit signe de protection. Il n'y a que moi qui ait le droit de le frapper. Il est à moi. Mon envie de possession cache des sentiments dont je ne souhaite pas entendre le mot qu'il renferme. Je vais un peu jouer avec et le laisser tomber comme la merde qu'il est.
Je le lâche alors et retourne en cours, la tête haute, laissant Double Face muré dans le silence et confus.
La fin des cours sonne que je rentre à l'internat, afin de réviser mes cours et préparer le contrôle de chimie de demain. Easy, je vais réussir les doigts dans le nez. Est ce que mon petit soumit révise aussi ? Évidemment, c'est un bon élève, une moyenne plus que satisfesante, juste derrière moi. Je souris alors, me mettant à rêvasser de mon joli Double Face. J'ai trouvé la parfaite punition pour lui. Et pour moi. Je sors alors une intercalaire d'un classeur et griffonne un bonhomme, qui devient de plus en plus travailler et à l'heure du repas, la cloche sonne et je découvre le parfait visage de Double Face, un grand sourire sur ses lèvres fines. Si je le pouvais, je rougirais, mais je fais parti de ces gens qui n'en sont pas capables. Je range mon intercalaire dans le classeur et pars manger, traînant les pieds et les mains dans les poches.
Vers 22h30, je sors de ma chambre, et me glisse dans celle de Double Face. Il est couché dans ses draps bleus polaire, lisant un roman, la petite lampe de chevet allumée. Il lève les yeux vers moi, avant de les rebaisser. J'ai étrangement un petit pincement au coeur, en voyant son air triste. Il ferme son roman, le pose sur la petite table à côté de sa tête de lit, et me regarde, ses yeux humides.
-Lèves toi.
Il s'exécute sans un mot.
-Déshabille toi. En entier.
Il ouvre la bouche, pour protester sûrement, la referme, baisse les yeux et enlève les boutons de son pyjama un par un, lentement, avant de baisser son short et son caleçon. Une de ses mains est fermée sur son poignet, la tête tournée vers le sol, à sa droite et je le trouve particulièrement craquant. Je passe à côté de lui, et m'assoie sur son lit. Je tapote mes genoux pour qu'il me regarde, ce qu'il fait, et je murmure :
-Couches toi sur le ventre. Sur mes genoux.
Il fait ce que je dis, et doucement se pose sur mes cuisses, son bassin sur le mien. Sans s'en rendre compte, il me tend ses fesses, ses mains serrant les draps.
-Choisis un chiffre Double Face. 1 ou 2 ?
-D-deux... p-pourquoi ?
-Mauvaise réponse. Je vais t'en donner 3, pour le coup. Tu n'as eu qu'une 1h de retard il me semble, non ?
-Pa-pardon... B-Baku-
-Fermes la.
Je prend sa fesse droite en main, appréciant le grain de sa peau, la blancheur pâle de son corps offert. J'active un peu mon alter, fesant rougir et marquer cette peau que j'ai envie de couvrir de traces, de mes marques. Il gémit faiblement, et je sens son sexe prendre vie. Ah ça lui plaît... intéressant. J'élève alors la main, et l'abat dans un bruit sourd sur son petit cul blanc et rougi par mes soins. Il pousse un cri très agréable à l'oreille et je sens son visage se tourner vers moi. J'ai un sourire sadique sur les lèvres, voyant ses yeux se remplissent de larmes.
-Excuses toi d'être arrivé 1h en retard ce matin.
-Pa-pardon d'être a-arrivé en retard c-ce matin...
-Quelle est ton excuse. La vérité.
-Je... j'étais...
Il se mord la lèvre doucement, et murmure :
-J'étais t-triste et e-excité...
-Pourquoi ?
-A cause... de ce matin...
Ses sourcils se froncent et je souris, en abattant ma main sur la même fesse rougir.
-Aaïe~ pourquoi ?!
-J'ai dis que j'allais t'en donner 3. Je ne veux plus t'entendre, jusqu'à ce que je t'y autorise.
Je chauffe à nouveau sa fesse, regardant les larmes glisser sur sa joue rebondie. Et je claque une troisième fois ce magnifique petit cul, sa main gauche sur sa bouche, pendant qu'il se mord l'index. J'inspecte mon oeuvre en souriant tendrement, puis remarquant les bleus apparaître. J'y suis pas aller de main morte dis donc. Ou alors il a la peau qui marque. Heureusement que j'ai penser à prendre un petit quelque chose contre la douleur au cas où j'irais trop fort. J'appose donc une petite dose de crème sur sa fesse meurtrie, passant dessus afin de la faire pénétrer dans sa peau. Je le sens tendu et inquiet pour la suite. Moi, j'ai juste envie de le prendre dans mes bras, l'embrasser et me coucher avec lui, dans son lit. Je le relève alors, mets son cul dans le vide entre mes jambes, et observe son visage, impassible. Ses yeux pleurant de souffrance, je glisse mes doigts dans ses cheveux pour le recoiffer, doucement et sans gestes brusques.
-Tu sais, la blancheur de ta peau me donne envie de te laisser plein de marques ? Tes yeux me donne envie de te faire pleurer, de douleur ou de plaisir. Tu es à moi, Double Face, et à personne d'autre. Compris ?
Il hoche la tête.
-Réponds.
-O-oui...
-Oui qui ?
-O-oui Bakugo...
-Dis mon prénom, juste une fois.
-K...
Je pose ma main gauche sur sa joue, essuye ses larmes, et penche son visage en avant, posant mes lèvres sur les siennes dans un baiser que je qualifierais de doux et rempli de tendresse. Je cesse notre baiser, remarquant sa main en l'air, prête à se poser sur mon visage. Voyant que je la regarde, il la baisse instantanément, par peur de représailles. Il sait pertinemment que je déteste que l'on me touche, d'où son hésitation. Je remarque alors son érection ma foi bien tendue, et je le couche dans son lit. La stupeur se lit sur ses traits.
-La crème que je t'ai mise est une lotion de la vieille infirmière. Elle est magique en quelques sortes. Elle me l'a fabriquée pour mes mains lorsque j'utilise trop mon alter à son maximum.
-T-tu aurais dû la... la garder pour toi alors...
-Shoto. Je suis sado, pas psycho. Maintenant, tu te tais, et tu te laisses faire.
Je me mets à sa droite, couché dans le lit sous la couette, et caresse son corps, lui provoquant des frissons. Je caresse ses bouts de chairs, observant son visage habituellement doté d'un air froid et impassible. Le plaisir se lit pleinement sur ses traits, me fesant sourire sadiquement. Je pince un de ses tétons, et il pousse un petit cri très mignon, je l'avoue. Je le tire un peu, toujours plus fort et il continue ses petits bruits, accentuant mon sourire. Mon autre main glisse sur son ventre, touche ses cuisses qui s'ouvre comme par magie, et passe mes doigts sous ses boules, longeant sa verge suitante de pré semence. Il est au bord de la rupture.
-Ça te plaît~, susurrais-je à son oreille.
Il bave légèrement, ses yeux entrouverts et noirs de désirs. Je pince son gland et joue avec, le fesant haleter. Je joue avec un bon quart d'heure, voyant son visage rouge, dégoulinant de larmes, de la bave coulant de sa bouche entrouverte. Je l'embrasse au coins des lèvres, il tourne la tête, et murmure :
-Ka... tsuki... f-fais m-moi jouiiir... haa~
Je presse alors ses testicules, et il pousse un cri rauque, son sexe vibrant près de ma main. Je pince son téton, léchant l'autre, et saisi son sexe, fesant de rapides secousses du poignet, sous ses gémissements peu catholique et totalement obscène. Il se tortille, se cambre et hurle en éjaculant à grandes giclées sur son torse humide de sueur. Je le lâche et le regarde, admirant son visage post orgasmique, son abdomen se soulevant au rythme de sa respiration saccadée, son sexe mou tréssautant des suites de sa jouissance et je souris, très fier de moi. Je sors un mouchoir de la boîte sur sa table de chevet, et essuie son foutre en douceur, pendant qu'il comate. Je débande tranquillement, et il ouvre les yeux, cherchant quelque chose dans mon regard, qui n'a pas vraiment changer. J'ai peut être les yeux qui brillent parce que c'était très sexy de voir Double Face jouir grâce à moi. Je lui remets son short de pyjama, nu en dessous, enlève mon pantalon et mon haut, jete tout par terre, et éteins la lumière, avant de me glisser dans ses draps. Puis je le serre dans mes bras, posant son nez dans mon cou et me provoquant un frisson, comme un con. Je prend son visage en coupe et pose mes lèvres délicatement sur les siennes, dans un baiser sans arrières pensées, et le resserre contre moi, nous emmenant au pays des rêves bleus. Oui j'ai grandis avec Disney, et alors ?! Un problème ?! Non ?! Parfait.
Le lendemain matin, je me réveille en premier, et regarde son visage endormi, calme et serein. Je caresse du bout des doigts son visage, et le réveille avec un bisou sur le front. Il ouvre les yeux, doucement et tourne la tête vers moi.
-Je t'ai réveillé ?
-Je déteste qu'on me touche dans mon sommeil, Bakugo.
Mon nom et son ton froid sortant de sa bouche me mette de mauvaise humeur et avant que je ne réfléchisse à ce que je fais, ma main s'écrase sur sa joue avec violence, alter actif. Je me lève sans le regarder, entendant de petits sanglots semblant provenir du lit. Je jete un coup d'oeil en arrière et remarque qu'il est caché sous la couette. Je tends la main vers lui, observe ma main tendue, celle qui l'a blessé, et me rhabille avant de m'en aller, le coeur lourd de regret.
Pendant deux jours ou trois, je ne lui ai pas adressé la parole, mais ne le lâchant pas du regard. A 17h30, nous rentrons à l'internat, et Shoto n'est pas rentré avec nous. Je suis légèrement inquiet, mais ne le montre pas. Je fais ma routine du soir, devoirs, douche et manger, que mon Double Face n'est toujours pas rentré. Je lui envoie alors un sms :
Oï, t'es où Double Face ?!

O.S. de Boku no Hero Academia ❤Where stories live. Discover now