Le Gallion des sables

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Pdv de (Tp)

Une fois sur le navire d'Ycéo, nous explorâmes le pont de fond en comble, puis nous entrâmes à l'intérieur du navire. Nous nous mîmes alors à explorer les cales du navire. Au bout d'un moment,  nous trouvâmes une clé qui est supposée ouvvrir la porte qui se trouve à l'étage. Nous retraversâmes donc les cales, et retournâmes au niveau supérieur. Nous déverrouillâmes la porte, qui nous mena à l'avant du navire, mais à l'extérieur. Nous pûmes donc remarquer que le soleil est entrain de se coucher. Devant nous se tient un squelette portant une tenue de capitaine usée par le temps. C'est sûrement l'ancien capitaine pirate qui avait prit d'asseau Ycéo et son équipage. Nous dûmes alors affronter le squelette qui a une très bonne garde, malgré le fait qu'il lui manque une main. Au bout d'un moment, nous achevâmes le squelette en le passant pardessus bord. Puis, un coffre apparut devant nous dans lequel se trouve un arc, un carquois et des flèches.

Moi : Bienvenue au club. lui dis-je, en lui tapotant l'épaule, alors qu'il prit le contenu et le regarda d'un air perplexe.

Link : Est-ce que c'est vraiment nécessaire que j'en ai un moi aussi ? Je veux dire, tu es bien plus douée à l'arc que moi. Alors, je me demade si c'est vraiment utile que j'en ai un... me demanda-t-il, d'une voix perplexe.

Moi : Ca peut l'être, comme ça ne peut pas l'être... Ecoutes. Gardes le, pour le moment. lui conseillais-je. Et si tu trouves qu'il ne te sers à rien, tu le vendras à in marchand à Célesbourg. ajoutais-je.

Link : D'accord... souffla-t-il, d'une voix peu déterminée.

Il faut dire que je ne suis pas douée en ce qui concerne le combat à l'épée. Et pourtant j'ai été obligée de m'en servire à de nombreuses reprises, quand l'arc ne m'étais pas utile. On a beau avoir une arme de prédilection, n'empêcher que ça ne nous ait pas inutile d'avoir d'autres armes sur nous. Puis, nous retournâmes sur le pont où nous vîmes par pure hasard une chronolyte qui se trouve tout en haut du mat central. Link essaya de tirer dessus à plusieurs reprises avec son arc, mais malheureusement il n'y arriva pas. Il se mit alors à pester dans sa barbe, tandis que je tira une flèche sur le cristal qui le toucha du premier coup, ce qui eut pour effet de ramener le navire à son état d'antant.

Link : Tu vois, mon ange... Tu es bien plus douée que moi... me dit-il, d'une voix  embettée de ne pas y arriver.

Moi : Je suis sûre qu'avec un peu de pratique, tu y arriveras. répliquais-je, d'un air encourageant.

Link : Il n'y a vraiment que toi pour croire que j'y arriverais. souffla-t-il, d'une voix touchée.

Moi : C'est bien normal que je crois en toi, idiot. répliquais-je.

Même si ça ne m'empêche d'avoir peur pour toi, et de faire des cauchemars... Nous nous souriâmes tendrement, avant de retourner dans les cales pour libérer les compagnons de Ycéo. Nous dûmes donc remettre la salle des machines opérationnelle pour pouvoir libérer l'équipage. Lorsque ce fut fait, nous allâmes au cachots, et nous libérâmes l'équipage qui nous donna la clé de la cabine du capitaine en récompense. L'équipage se fit la malle, tandis que nous partîmes chercher la clé du boss. Au bout d'un moment, nous arrivâmes à la cabine du capitaine, où nous troivâmes la clé de la dernière salle. Nous nous dirigeâmes alors vers la seule porte que nous n'avions pas encore ouverte. Au bout de quelques minutes, nous arrivâmes devant la porte en question.

Tome 1 : Le destin de toute une vieDonde viven las historias. Descúbrelo ahora