Chapitre 14

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Je décroche le téléphone et la personne au bout du fil ne me laisse pas le temps de répondre qu'il commence à crié dans tout les sens.
- c'est quoi le truc que je vois dans les journaux Gabriel, je ne t'ai pas envoyer en argentine pour passer du bon temps avec Adriana, tu es là bas pour lui soutiré des informations au sujets de ses enquêtes et qu'est-ce que je vois là monsieur qui prend du bon temps avec cette idiote.

Soudainement c'est une femme qui prend le téléphone, je reconnaîtrai cette voix entre mille. C'est celle de ma tante
- écoute moi bien Gabriel, Adriana est une idiote elle croit tous ce qu'on lui dit, elle penses même que je suis revenue pour prendre soin d'elle et l'aider dans ses enquêtes mais non moi je veux que son argent le reste je m'en fou. Bon bref fait un peu vite sinon elle risque de commence à ce posé plein de question au sujet de votre relation, bon je te laisse j'attends des bonnes nouvelles  très bientôt et je dois appeler cette idiote pour faire lui montré que je m'inquiète pour elle. Dit-elle en riant elle raccroche et quelques minutes plus tard son téléphone sonné, elle savait déjà qui c'était.

Elle se sentais comme une idiote, elle ne voulait même plus se regarder dans la glace car son reflet la dégouté. Il n'y a pas si longtemps qu'elle a rencontrer sa tante mais elle l'aimait déjà beaucoup parce qu'elle était la seule personne qui lui restait dans le monde. Elle prit son téléphone et décrocha l'appel.
- bonjour ma puce !!
- bonjour tata comment tu vas ??
- parfaitement bien même si tu me manque un peu trop.
- Oooooh tu me manque aussi je reviens bientôt ne t'inquiète pas.
- je suis ravie de l'apprendre, sinon comment se passe tes affaires là bas
- ça avance pas mal les construction seront fini dans pratiquement quatre ou cinq mois
- c'est bien ça, bon je te laisse je dois prendre ma douche bisous je t'aime.
- bye !!!
Elle raccrocha le téléphone et elle se sentais tellement triste tout ce que sa tante lui disait était faux tout les mots d'affection et tout le reste n'était que mensonge.

Gabriel sorti de la salle de bain et se rapprocher d'elle pour l'embrasser mais elle le repoussait.
- je peux savoir ce qu'il se passe s'il te plaît ?!
Elle le regarda mais ne répondit pas et elle alla prendre une bonne douche froide mais cela ne changer rien à la donne. Elle se sentait si minable, si ridicule, tellement stupide qu'elle s'était refermer sur elle même. Elle n'avais ni frère, ni soeur, ni amis qui pouvais la consoler aujourd'hui elle venait de se rendre compte qu'elle n'avait personne sur cette terre pour l'aider.

Dès qu'elle fini de se préparer, elle rentra dans sa chambre et elle vu Gabriel assis sur le lit. Adriana pris son sac et son téléphone et se dirigea vers la porte.
- tu peux pas partir si la porte et fermer à clés et que je détiens les clés.
Elle se retourna et souris puis vérifia dans son sac et sorti le second trousseau, elle ouvrit la porte et sorti sans un mot. Arriver pré des marche Gabriel lui tenais le poignet droit et il la tiré contre lui.
- relâche moi immédiatement !!
- mais dis moi au moins ce qu'il se passe mon amour !!
- ton amour, tu as le courage de m'appeler ton amour non mais tu me dégoute
- mais putain dit moi ce que tu as Adriana !!
- ce que j'ai c'est que tu m'as menti tu es avec moi pour un foutu plan avec tes parents et ma tante. Tu étais mon dernier espoir je... je... Tu me dégoute je veux plus jamais entendre parler de toi. Dis-je en pleurant, je me dégage de son en prise et je me rend à l'aéroport pour rentrer chez moi.

La vengeance d'une milliardaire Where stories live. Discover now