Mon BOSS est un SÉDUISANT SALOPARD [ MBSS ]

| Partie 13 |

Meeting Bradley 's Family

J'ai l'impression que je vais passer une sale mauvaise journée aujourd'hui. Oh oui je le sens ! Le week-end a été très long pour moi. J'ai passer toute la nuit du dimanche chez Diego et donc du coup j'ai vraiment pas vu l'heure passer. De plus j'avais oublier de régler le réveil à huit heures.
Je vais me faire tuer par Bradley Jones.
Après une heure de route j'arrive enfin à mon lieu de Travail. Mais Alors que je m'apprêtais à gagner mon bureau j'aperçois mon patron en face de moi

- Bradley J. : Ah vous voilà mademoiselle Aguilera !

Monsieur Jones se tient dans l'embrasure de la porte de mon bureau, bras croisés. Après avoir renverser de l'eau sur mon telephone, faire tomber mes boucles d'oreilles dans le trou du lavabo, rater mon petit déjeuner, la dernière chose que j'avais besoin ce matin, c'était une remarque acerbe de mon patron.
Manque de bol, monsieur Jones ne connaît pas d'autre ton.

- Moi : Bonjour monsieur Jones ( lui lançait je légèrement dans l'espoir qu'il me réponde avec un hochement de la tête )

Mais quand je tente de m'éclipser pour atteindre mon bureau, il grogne.

- Bradley J. : Oui ? bon...jour, mademoiselle Aguilera...Quel heure est il dans votre petit monde ?

Je m'arrête et croise son regard glacial.

- Moi : Monsieur Jones, J'ai eu un début de journée plutôt désastreux

Je n'est jamais été en retard les matins et ce depuis mon arrivée dans cette entreprise. Mais c'est bien son genre d'en faire tout un plat quand ça arrive. Au bout de quelques minutes j'arrive à me faufiler dans mon bureau. Je range mon sac et mon manteau dans un placard et j'allume mon ordinateur.

- Bradley J. : Un début de journée désagréable ( il glousse ) c'est ce que j'ai eu à gérer en votre absence. J'ai téléphoner à Alex Schaffer pour l'organisation de la Fashion Week. J'ai du personnellement appeler Maryline Bauer pour lui dire qu'on continuait bien le projet des parfums comme c'était prévu. Bref j'ai fait votre travail et le mien, ce matin. Vous pouvez sûrement, même avec « un début de journée désagréable » réussir à être là à neuf heures ? Il y'en a ici qui se lèvent et commencent à travailler avant l'heure du brunch, vous savez....

Je lui jette un coup d'œil. Il n'a pas bouger et me fixe d'un regard noir, furieux, les bras croisés sur sa large poitrine. Putain ! Tout ce cirque pour une heure de retard !

- Moi : je suis désolé monsieur Jones. J'imagine à quel point ça a été difficile pour vous de passer des coups de fil ici et là. Comme je viens de vous le dire, cela ne se répétera plus.

- Bradley J. : J'espère que ce ne sont pas des paroles en l'air. Les actes valent mieux que les promesses.

Ce mec serait parfait s'il gardait la bouche fermée. Un ruban adhésif ne lui fera pas de mal. J'en ai un dans le tiroir de mon bureau qui fera l'affaire. Je sors parfois le rouleau pour le caresser, espérant un jour lui fermer sa gueule.

- Bradley J. : Et juste pour que cet incident ne vous fasse perdre la mémoire, je vous ai laissés une pile de dossiers à traiter avant 17 heures.

Mes yeux s'écarquillent tandis qu'il tourne le talon et claque la porte derrière lui. J'hallucine ! Ce mec me rendra folle, un jour. Je regarde ma montre. Génial, j'ai sept heures et demi devant moi si je sautes le déjeuner. J'ouvre le premier dossier et je m'y plonge.

Ils commencent tous à sortir pour déjeuner tandis que je reste scotchée à mon bureau avec un café et un sachet de fruit secs tout droit sortis d'un distributeur automatique. D'habitude soit je mange sur place des restes de mon dîner la veille que j'ai apporter de chez moi, soit je sors grignoter un truc avec Katelyn. Mais aujourd'hui je joue la montre. La porte s'ouvre et je relèves la tête, souriant à ma Katelyn adorée. Ah tiens, En parlant du loup, on voit sa queue.