✧°｡ 「C'était cette fois-ci un bonbon à la menthe que je retrouvai au seuil de ma porte.」
↬Chapitres courts qui ne dépassent pas 400 mots (normalement)
↬Lemon présent
↬22 chapitres
↬Terminé
fιяѕт: 15 Mai 2018
ℓαѕт: 21 août 2018 ✧°｡
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Mercredi, 14 h 38 min.
« La propriétaire a eu quelques problèmes, et apparemment vous ne répondiez pas au téléphone. On est chargés de déménager l'appartement. »
[ ... ]
Après avoir appelé la propriétaire, Jungkook vint vers moi, me demandant:
« Alors...? »
« Elle a des problèmes personnels, donc il s'est passé je-ne-sais-quoi avec l'appartement qui fait que je ne peux pas rester dans celui-ci. C'est vraiment n'importe quoi. Et maintenant? Qu'est-ce que je fais maintenant? Je dors à la rue? Est-ce qu'ils ont même le droit de me jeter de chez moi si facilement? Dans quel monde on vit... »
Jung ferma les yeux et soupira, avant de fermer les yeux.
Il les rouvris.
« Viens. », dit-il en commençant à marcher.
« Quoi? On va où? »
« Chez moi. »
Pardon?
C'est de la gentillesse.
« Euh... d'accord. »
[ ... ]
Devant sa maison, celle-ci était très mignonne et de bon goût. Lorsque que nous entrâmes à l'intérieur, la décoration était moderne, avec certains meubles très excentriques qui y donnaient un certain charme.
Je posai mes affaires à l'entrée.
« Je peux utiliser la douche? »
« Oui bien sûr. »
[ ... ]
Jungkook était parti se laver lorsque j'eus fini de me doucher. Pour faire passer le temps, je me posai à une table et sorti un crayon et une feuille. Cela faisait un mois sue je n'avais pas dessiné.
Il y avait devant moi une fleur dans un vase en verre, je me décidai à la représenter sur papier.
[ ... ]
Après une dizaine de minutes, je n'arrivais pas à la dessiner correctement, et ça m'énervait. Tout était étrange et disproportionné et le réalisme était à chier.
Je tenais mon crayon avec ma doigts touts crispés, et soudainement une main se posa sur la mienne.
« Ne sois si tendue quand tu dessines, ça se verra après au résultat. »
Mon dieu.
Mon coeur va me lâcher.
Assis sur son siège à roulettes, il repris:
« Laisse-toi faire... comme ça... puis ensuite tu appuies sur le crayon... et tu gommes pour donner de la lumière. »
Rouge de gêne, je me laissais faire et je n'osais pas le regarder dans les yeux. Il était proche de moi. Trop proche.
Il ne bougeait plus, ne disait plus rien.
Au moment où je me décidais de poser mon regard sur lui, je le voyais me dévorer du regard.
Il tourna vivement la chaise sur laquelle j'étais assise et me tira sur lui, j'étais à présent assise sur lui.
Mon coeur battait à tout vitesse.
« Je suis devenu fou. Complètement fou. À cause de toi. »
