Le poids d'une vie...................... TOME.1

Chapitre 4: Les gens gentils existent encore.

  Une fois rentrée chez moi, ma mère me tomba dessus et me demanda :
-Alors cette après-midi, aussi bien que la matinée ?
Je lui mentis ouvertement :
-Oui super, tout, c'est très bien passé, afin d'éviter qu'on ne commence à poursuivre ce sujet, je me penchai sur mon sac, l'ouvrit, et pris ma pochette, j'ai tout un tas de papiers pour toi à remplir et signer.
-Les éternels papiers de la rentrée, me dit-elle
- Hey oui, allait à toi de travailler maintenant.
Je pris congé et montai dans ma chambre, je me laissai tomber sur mon lit, je n'eu pas le temps de dire "ouf" que l'on frappai à ma porte :
-Oui ?
-C'est moi.
-Vas-y, entre.
C'était mon frère.
-Alors cette rentrée ?
-Ne m'en parle pas un véritable cauchemar, lui avouai-je
- Raconte !
-Y a rien à dire juste que je vais passer une année de merde, avec des élèves de merde
- À ce point ?
-Non, pire que tu ne puisses imaginer ! Désolé de te demander ça, mais je pourrai rester seule un petit moment s'il te plaît ?
- Comme tu veux, même si je ne sais pas si c'est une bonne idée
- T'inquiètes pas le frérot, je ne vais pas sauter par la fenêtre !!
Il rigola.
- Ça, je sais, tu as le vertige.
- Mais quel petit con ! Lui répondis-je avec un sourire.
Il se leva et sortit de ma chambre.
Je restai un long moment coucher sur mon lit, quand ma mère m'appela pour le dîner, je fis semblant de dormir, je ne voulais pas descendre et faire semblant d'aller bien.
Ma nuit fut terrible, je ne cessai de faire des cauchemars. Le matin, quand le réveil sonna, j'avais de grosses poches sous les yeux, je ne pouvais pas manquer mon deuxième jour, donc sans hâte, je me levai, passai à la salle de bain, et descendis, je ne pris pas mon petit-déjeuner je filai tout droit à l'arrêt de bus le cœur et les poings serrés.

  Comme la veille, le trajet en bus fût pour mois extrêmement long, mais au contraire d'hier, nous étions plus nombreux dans le bus, car hier, il n'y avait que les sixièmes dans le bus, mais aujourd'hui, il y a ceux des autres classes qui eux rentraient seulement aujourd'hui, mais à défaut de croire que cela changerais quoi que ce soit, c'était encore pire, pour se faire de nouveaux amis, Stéphane m'a insulter, ça les a bien fait se marrer, moi, moins ! 

Quand le bus arriva devant les grilles du collège, je me précipita dans les toilettes, je m'enferma dans l'un d'entre eux, et toute ma peine se deverssa, les larmes coulaient à flot, quand tout à coup j'entendis la porte des toilettes s'ouvrir, à les entendres je savais qu'elles n'étaient que 2, leurs voix me disais qu'elle était plus agée que moi, et j'en fût convaincu quand j'entendis à travers la porte des toilettes que c'étais leurs rentrées et que tout comme moi elles n'avaient pas du tout envie d'être au collège et qu'elle seraient bien rester chez elles, elles étaient aller au toilettes pour se laver les mains, elles sortirent des toilettes, et moi j'en profita aussi pour sortir de mon toilette, et me dirigeai vers les lavabos, je pris de l'eau dans ma main et plongeai ma tête dedans.  

  Quand je sortis des toilettes, il y avait deux filles juste à côté.
- On dirait que ça ne va pas, jeune fille ?
Je reconnu la voix d'une des filles passer aux toilettes
- Non, mais je fais avec!
- Les rentrées ce n'est jamais facile me dit l'autre fille.
- Je m'appelle Julie P**** et elle, c'est Julie G***** me dit elle avec le sourire.
Julie P. était grande, cheveux châtain foncés, quant à l'autre Julie elle était plutôt de taille petite contrairement à son amie, et cheveux chatains claire elles étaient toutes les deux, plus agées que moi.
Je n'eu même pas le temps de me présenter que la cloche retentit alors la grande Julie me dit:
-Si tu veux, on fera plus amples connaissances à la récréation ?
-Oui, lui répondis-je timidement.
-Super.
Elles prirent le chemin du bâtiment, pour aller en cours, je fis pareil.

  Aujourd'hui, nous ne passions pas notre journée avec notre professeur principale, nous prenions notre emploi du temps normal, quand j'entrai dans la salle de cours, je choisis de me mettre le plus au fond possible, histoire de me faire toute petite, et je ne voulais absolument pas me retrouver de nouveau aux côtés d'Elodie! Je fût trop contente quand je vis que tout le monde était rentré et que la place qui se trouvait à côté de moi était vacante, mais ma joie fût courte, une fille au cheveux bruns foncé s'installa à mes côtés, vu que je n'avais pas écouté la veille je ne savais même pas comment elle s'appelait, ses copines se placèrent devant nous, je serrai les fesses, j'avais peur de renouveler l'expérience d'hier, mais elle, elle me sourit ! 

- Salut,moi s'est Valérie
- Cool, moi c'est Ericka .
- Je déteste les maths, peu être que si on s'entraide, on y arrivera.
J'étais surprise de cette gentillesse soudaine, mais quelque chose en moi refusait de répondre car je ne savait pas si c'était sincère ou si elle se moquait de moi, notre professeur de mathèmatique Madame Flechelles ferma la porte, elle nousmontra tout de suite qu'avec elle, on ne rigolerais pas, elle à même mis un élève au placard dans les dix minutes qui ont commencer le cours.
- Tu viens d'ou toi ? Me demanda Valérie.
- J'habite Nomexy.
- D'accord moi, j'habite Moriville.
- Vous avez besoin d'aide toutes les deux ? Vous voulez commencer l'année avec un 0 ?
La prof nous avait entendu chuchoter à croire qu'elle avait des yeux derrière la tête.
- Non madame, répondit-on
Pendant cette heure de cours, Valérie et moi échangions quelques phrases, ces amies se nommaient Emilie et Aurélie et que les élèves placés devant elles étaient aussi de leurs bandes, ils se sommaient, Kevin, Magalie et Yohan. J'étais perdue, car je ne savais vraiment pas si cette conversation était sincère ou si elle simulait pour mieux se foutre de moi, mais ces doutes s'envolèrent quand elle me proposa de manger avec eux le midi, quand je leur expliquai que j'étais externe, elle me dit :
- Ah, d'accord, bah, il n'y a pas de soucis de toute façon, on a toute l'année scolaire pour discuter et ...
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que la sonnerie retentit.