A Wending Unlike Any Other (Terminé)

Chapitre 15 : Excuse Et Adieu

Le lendemain  :

Après avoir pleurer dans les bras de mon frère, nous avons rangés toutes les décorations qui devaient servir pour le mariage et nous avons utilisés la nourriture du buffet pour faire un grand dîner avec le reste de notre famille. C'était un dîner dans la joie et la bonne humeur, Nicolas et moi n'avions pas vraiment pu parler de notre plan qui a été une réussite totale. Mais je compte le faire quand on sera seule à seul.

Par miracle, j'arrive à le croiser dans le salon. J'ai ma valise à la main, prête à rentrer à New York pour préparer le mariage de Luna (qui sera une réussite j'espère). Son regard se change en déception.

- Alors... C'est décidé, tu rentres à New York ?

- Oui... J'ai beaucoup de chose à faire.

Comment vous dire que cette discussion est assez gênante pour l'un comme pour l'autre. Et un silence de plomb règne dans la pièce, je le brise.

- Merci pour ce que tu as fais avec les caméras... Et tout le reste.

Je ne suis absolument pas à l'aise, lui aussi d'ailleurs.

- Ce n'est rien, je suis content d'avoir pu te rendre service et bonne chance pour la suite.

- Merci et bonne chance à toi aussi.

Pour combler la gêne qui s'était immicée entre nous, je lui tends ma main espérant ne pas me prendre de vent. Il me tend la sienne et nous nous serrons la main mutuellement dans un commun accord. Nous sommes interrompus par mon frère, qui demande à me parler.

- Nicolas tu peux nous laisser s'il te plaît ?

- Oui bien sur.

Il sort de la pièce. Mon frère se rapproche de moi, et me prend dans ses bras.

- Ça y est tu nous abandonne maintenant.

"Ben oui tu devrais être habitué maintenant" était la seule phrase qui me venait à l'esprit, mais je ne voulais pas gâcher cet aurevoir tragique.

- Oui, j'ai des choses à faire.

- Tu sais je voulais encore une fois m'excuser pour la gifle, les disputes. Même quand tu es partie à New York, je m'en voulais énormément de ne pas t'avoir porter mon aide quand tu en avais le plus besoin. Je n'ai pas pris de tes nouvelles parceque je pensais que tu me détestais... Que tu me pensais égoïste et dans un sens tu n'as pas tord. Mais je voulais me racheter en t'invitant au mariage pour te prouver que je ne t'avais pas oublié, et te montrer que Joana s'en voulait terriblement pour ce qu'elle t'avait fait. En réalité, c'était faux elle voulait juste te faire du mal à travers moi et moi comme un idiot j'avais rien capté... J'étais son jouet. Mais...

Tout ce que mon frère me disait me faisais regretter le fait que je l'ai toujours détesté pour ses inactions. Mais une question me brûlait les lèvres.

- Est ce que tu l'as sincèrement aimé ?

Mon frère ne répondait pas cherchant sûrement à savoir comment formuler sa phrase.

- Tu sais, le jour où je l'ai rencontré c'était à mon travail. Comme je travaille dans une agence de mannequinât, elle est venue postuler pour en devenir une. Elle avait tous les critères pour devenir mannequin et elle plaisait beaucoup aux autres. Après cela, elle est venue me parler. Elle m'a dit que je lui plaisais, on a commencé à se parler en dehors du travail. Au début, je n'avais pas capter que c'était LA Joana qui te faisait souffrir. C'est elle qui a commencé à parler de toi. Elle me disait qu'elle était sincèrement désolée pour ce qu'elle t'avait fait et qu'elle s'en voulait terriblement. De fil en aiguille, j'ai commencé à éprouver de vrai sentiment pour elle jusqu'à ce que je la demande en mariage.

Je ne disais rien. Mon frère la réellement aimé et ça je ne peut pas vraiment le nié.

- Hugo ?

- Oui ?

-  Trouve toi quelqu'un de bien, quelqu'un qui saura réellement t'aimer, qui saura prêt à t'accepter avec tes qualités et tes défauts. Et qui ne te laissera pas tomber.

Il hoche la tête et je me dégage de ses bras pour prendre ma valise.

- Le taxi m'attend dehors, je dois y aller.

- Je t'accompagne à la porte.

Je me dirige vers la porte accompagnée de mon frère, il me l'ouvre et j'aperçois le taxi devant la maison. Je me dirige vers celui-ci. Je me retourne pour faire un aurevoir de la main à mon frère et mes parents qui ce sont incrustés. Le chauffeur de taxi prend ma valise et l'a met dans le coffre. Je vois ma mère s'approcher de moi avec un courrier apparemment pour moi.

- Tiens. Le facteur nous a déposé ça ce matin j'ai oublié de te la donner.

- Merci.

Je la prend et la met dans mon sac à main. Elle pose sa main sur ma joue.

- Prend soin de toi.

Puis, elle repart vers la maison et ferme la porte. J'ouvre la lettre et remarque qu'il y a juste une phrase marqué dessus.

" Tu aurais dû m'écouter"

Quoi ? C'est quoi ça ? Avant que je me pose plus de question, le fameux chauffeur de taxi me plaque un morceau de tissu sur la bouche et je m'endors pour les pays des rêves...