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Bonjour !


Je n'allais pas contrevenir à l'usage de faire une petite note à l'entrée d'un bouquin.

Bienvenue dans Le Dernier Jour de Mecia (ci-après dénommé LDJM), premier livre annexe (spin-off, dirait-on, si les anglicismes nous étaient autorisés) du projet Nolim. Pour plus d'informations sur Nolim, reportez-vous peut-être à la Nolimpedia, quoi que son état d'avancement laisse à désirer, et / ou aux rantbooks qui traînent un peu partout. Ou, tout simplement, aux livres eux-mêmes.


L'action se situe ici environ mille deux cent ans avant les événements relatés dans Nolim. Il existe trois manières de lire cette histoire :

– en tant que livre indépendant, entre la poire et le fromage, au cours d'un trajet en métro, en attendant son train à la gare, sans intérêt particulier pour Nolim, ni pour Gudule, ni même pour le pastafarisme ou la libération des produits laitiers.

– avant de lire Nolim, histoire de pouvoir dire au cours du bouquin : « owi ! Celui-là, je le reconnais, je l'ai déjà vu ! ». Ou histoire d'être un peu moins perdu.

– entre Nolim et Nela (sa suite directe), afin d'approfondir l'univers et de mettre en place des pistes pour le tome suivant (car tout est lié, mouhahaha !)


LDJM comporte 27 chapitres déjà écrits (ce nombre est susceptible de changer d'environ 10 % au cours de la publication). Il est prévu que ces chapitres soient ajoutés de manière aléatoire en fonction de l'efficacité de ma connexion Internet.

Comme l'action se situe sur un monde étranger, et qu'inventer un nouveau calendrier pour l'occasion n'avait pas beaucoup d'intérêt, la temporalité des différents segments est donnée par rapport à l'événement central (ou plutôt, final).


Concernant le contenu du bouquin : il sera vraisemblablement question de dieux, prophètes, esprits, formes astrales, divination, voyance, astrologie, dragons, pastafarisme (hein ?). Bien évidemment, ces termes lorsqu'ils sont employés doivent être compris comme désignant des concepts internes au livre et ne s'adressant en aucun cas, ni d'aucune manière, aux croyances personnelles de chacun. En d'autres termes, tout ceci est fictif (et le plus souvent de l'ordre du mic-mac). On aura beau les nommer abusivement « dieux », ça restera avant tout des personnages internes au roman.


Si vous ne connaissez vraiment rien à l'univers de Nolim, restez ! Votre avis m'intéresse. Il est important que LDJM soit lisible « indépendamment » pour justifier un peu plus son existence que simple bouche-trou dans un univers qui en contient un certain nombre.


À la revoyure au détour de ces pages,

CN

Le Dernier Jour de MeciaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant