Gintoki Sakata (Gintama)

3.5K 82 52
                                    

Petits rappels au cas où le reader aurait la mémoire d'un poisson rouge :
(t/p) = ton prénom
(t/n) = ton nom
(l/c) = longueur cheveux
(c/c) = couleur cheveux

@@@@@@@@@@@@@@@@

Nous sommes aujourd'hui le 3 septembre 1719. C'est mon anniversaire, alors j'ai décidé, comme chaque année à cette date précise, d'aller faire réparer mon sabre de qualité dans la boutique du père du mari de la belle-sœur de mon cousin.

Je regarde le ciel jonché de vaisseaux spatiaux traversants le ciel à une vitesse incroyable. Qui se trouve là-dedans ? Les Amento. Cela fait maintenant 20 ans que les Amento, des extraterrestres à formes diverses et variés, nous ont envahi, nous, les Japonais, et même le reste du monde.

En plus de nous dérober le pouvoir, ces chiens nous interdisent formellement le port du sabre en public. Je fais parti des antagonistes s'opposant à cette loi stupide.

Grâce à ce petit monologue, je suis arrivée à destination sans avoir vu passé le temps. Ouais je fais souvent des discussion seule dans ma tronche.

- Jour' m'zelle (t/n), que puis-je pour toi ? Au fait comment était le cassoulet de poissons que je t'ai donné ?

- S'lut patron ! J'viens faire réparer mon beau bébé, il en a bien besoin. Ah le ragoût... le ragoût le ragoût... Ah oui ! Degueulasse. J'l'ai donné à un mec qui s'baladait en mobylette.

- Hehe, sale gamine. Aller, donne moi ton arme.

- Ça va mettre combien de temps ?

- J'dirais...environ 1 heure.

- Tss... T'es vieux et lent.

Je sors tranquillement en ignorant la réponse du patron. Un homme à la coupe de cheveux démodée me percute violemment l'épaule.

- Oï le ringard, tu m'cherche ?

- Qu'est-ce que tu m'veux gamine, retourne boire ton lait !

Je regarde sa taille et remarque son sabre en bois identique au mien. Je rigole et m'en vais. Ce plouc ne sais sûrement pas s'en servir et se pavane avec devant les autres pour faire croire qu'il n'a pas peur du gouvernent. Vivement qu'il se fasse prendre.

Après avoir fini ma sieste, je retourne chercher mon sabre.

- Oï patron, j'ai fini ma sieste, j'espère qu'il est près.

- Tais-toi insolente, je dors.

Je me retourne vers cette voix lasse. Le plouc ! Il veut jouer à ça ? Il a gagné, moi faut pas m'chercher.

- Si tu dors ferme-là.

Il se relève en un instant.

- La gamine, prends ton joujou, on va régler ça dehors.

- Pas de problème sale plouc.

Le patron nous rend à chacun nos bokken, sans demander son reste. Prit de peur, il repart se cacher dans son atelier.

- Suis-moi, je connais un endroit parfait pour se battre en duel.

Je ne réponds pas et décide de suivre sagement le plouc. Nous arrivons devant un bar tout pourri.

- Tu m'amène où là ?

Il ne répond pas et monte dans l'habitation qui se trouve au dessus du magasin.

- Bienvenue chez moi, gamine. Mets-toi à l'aise et prépare toi à te prendre une raclée.

Je lui souris et fait mes exercices de souplesses dans mon cheongsam (vêtement féminin chinois) que je ne quitte jamais.

XreaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant