Chapitre 27

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Il avait dit ça en éclatant de rire.

-Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle ?

-C'est la façon dont tu as essayé de me tuer qui me fait rire.

-Comment ça ?

-À peine je venais d'entrer, que tu as pris la chaise et as essayé de me frapper avec!

-Et tu trouve ça drôle ?

-Ba ouais ! Mais bien entendu, Il fallait être là pour voir ta tête.

Le voilà entrain de rire à plein poumon !
C'était la première fois que je le voyais rire, et franchement ça faisait du bien.

Sans savoir pourquoi, je me mise à rire aussi, son rire était communicatif.

-Alors comme ça, tu as manquer De te faire tuer par une fille, et tu en rie?

-Bien entendu ! Je préfère en rire qu'en pleurais, pas toi?

-oui c'est vrai... Bon il faut sortir d'ici.

-oui, aller... Tu sors la première et je te suivrais.

Sûr ce, je me levais, pris la chaise et la mis en dessous d'une des fenêtres.

Je m'apprête à monter sur la chaise lorsque tout à coup, un sifflement perçant se fait entendre dans ma tête et mes oreilles.
Cela me fit grimacer De douleur.

Je voyais Antoine qui me regardait et me parlait, Il était très certainement inquiet, mais je n'entendais rien.

Quelque secondes plus tard, plus de sifflements.
Je j'etait un coup d'oeil vers Antoine qui avez cesser de me parler.

Tout étais calme, jusqu'au moment où une voie se fit entendre.
Pas seulement par moi, Antoine aussi l'entendait.
Mais c'était un langage incompréhensible pour moi.

-Antoine...elle dis quoi cette voie?

-La gardienne rentrera chez elle lorsque l'ange aura cesser de l'aimer.

( RÉÉCRITURE ) A force d'en rêver, je m'y suis égaréeWaar verhalen tot leven komen. Ontdek het nu