L'histoire de William Afton, l'homme en violet (abandonnée mais pas oubliée)

23. Prendre les choses comme elles le sont

BON RETOUR MES AMITRONIQUES !!!

Comme promis, voici le chapitre tant attendu !

Bonne lecture ;)

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Depuis quelques temps, tout ce passait pour le mieux. Aussi bien pour William que pour Henry.

En effet, ce dernier était loin d'être privé de son fils Sammy puisqu'il l'avait au téléphone une fois par semaine et aussi avec des nouvelles régulières de son ex-femme Avery.

Henry ne s'en plaint pas, même si c'est vrai qu'il aimerait avoir son fils à ses côtés. Et aussi sa femme. Pourtant, William continuait de lui expliquer que Avery n'en a plus rien à faire de lui et qu'il doit tourner la page.

C'est vrai, Afton emploie des mots durs mais uniquement dans l'intérêt de son fidèle ami et associé. Et ça, il le sait très bien.

Mais pour éviter de penser, l'américain se concentrait sur ses constructions d'animatroniques

Plusieurs restaurants de la chaîne Fredbear Entertainment allaient s'ouvrir dans le monde et les deux amis en sont très fiers.

Deux mois ont passés...

Mais qu'en est-il de William ? Ce dernier a passé beaucoup de temps avec sa famille en laissant de côté son travail. La journée, il était aveux et le soir il réfléchissait à des modèles animatroniques.

Il ne voulait pas faire un lapin similaire à Spring Bonnie pour cause qu'il n'appréciait pas vraiment le lapin doré. Cela lui a fait pensé à Scott qui détestait Puppet...

A l'heure actuelle, William est allongé sur son canapé toujours en pleine réflexion. Il n'avait pas bougé de là depuis deux heures. Martha était partie en promenade avec les enfants accompagnées de Susie et Gabriel.

Il aurait préféré les rejoindre en vrai mais il était très en retard sur son travail. Martha est en congé alors c'est pas si grave. D'après lui hein...

Il avait enfin daigné à bouger de son canapé pour se faire un café bien fort pour se remettre d'aplomb quand on sonna à la porte.

- Qui c'est encore !

Tout en avalant une goutte de son café, le britannique se rendit devant la porte et l'ouvrit. C'est Henry, tout sourire qui était là.

- WILLY !!

Le brun soupira de désespoir. Il s'en était douté...

L'américain rentra comme si il était chez lui. C'était une habitude et honnêtement ça ne dérangeait pas William.

- Fait comme chez toi. Mais n'oublies pas que tu es chez moi.

- Cette rengaine ne marche plus William, tu le sais bien.

- Je voulais tenter le coup...

Henry sourit.

- Toi, tu es à court d'idée.

- Comment tu sais ça ?

- Rien qu'à ta gueule. Et à la tasse de café sur la table.

- Idiot... Bref, Charlie n'est pas avec toi ?

L'entrepreneur s'assit.

- Je l'ai confié au groupe des promeneurs.

- Martha et tout le monde ?

- Qui d'autre banane ? Ils m'ont dit que tu étais avachi comme une carpette et que tu avais le cerveau qui chauffait.

- Ça c'est toi qui l'a dit...