L'histoire de William Afton, l'homme en violet (abandonnée mais pas oubliée)

19. Une décision soudaine

Bien le bonjour mes amitoniques !! J'espère que vous allez bien.

Alors sans plus attendre, voici le nouveau chapitre de la semaine.

Bonne lecture à vous ;)

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Qu'est-ce que William a fait ? C'est la question que vous devez vous poser depuis un bout de temps, n'est-il pas ? Mais relax vous le saurez... Mais pas maintenant.

Quand Martha s'est réveillée, elle a immédiatement remarquée l'absence du brun et elle a tout de suite paniquée. Elle avait peur pour lui et elle n'arrêtait pas de se demander si il a bien été troué son père... Vu la façon dont William s'est énervé il y a une heure, elle ne serait même pas étonnée.

La rousse jeta un œil dehors pour voir si il revenait. Rien. Et l'action se déroula une dizaine de fois.

Elle recommença à faire les 100 pas et continua de se demander ce que fabriquait le britannique.

Elle s'assit sur le lit et enfouit son visage entre ses mains.

- Mais où es-tu ?

La porte s'ouvrit brusquement. C'était William.

Martha se leva brusquement du lit, se précipita vers lui et lui tira le col du blouson.

- Mais bordel, tu étais où ?!

William ne semblait pas surprit pas sa réaction et il tenta de la calmer.

- Relax Max...

- Relax ?! Tu te moques de moi ?!

- Non pas du tout.

La rouquine le lâcha et souffla de soulagement.

- T'es pas aller... le voir alors ?

- Je suis toujours en vie donc non.

- T'es bête...

Il lui tendit un sachet.

- Tiens, c'est un petit encas... J'ai pensé que tu avais faim... Il y avait du monde comme pas possible à la supérette. J'en avais marre d'attendre mais bon.

L'anglaise apprécia l'attention.

- C'est gentil... Mais tu n'étais pas obligé.

- C'est parce que je le voulais Martha. Et j'aimerais que tu arrêtes de répéter la même chose idiote...

Martha lui sourit et prit le sac.

- Je commençais à avoir faim en plus...

- Mange alors...

Elle sortit un sandwich.

- C'est un jambon/emmental ?

- Oui. Pourquoi, t'aimes pas ?

- Si c'est bien ^^

Pour lui montrer, elle croqua dedans.

- Hummm... C'est un sandwich de « Chez Isis », non ?

- Oui c'est ça. Mais, comment tu peux le savoir ?

- J'adore ces sandwichs. Mais j'adore aussi les pâtisseries qu'elle fait. C'est une dame très gentille...

- J'aurais dû en prendre alors.

La rousse lui sourit.

- On peut toujours y aller après...

- Tu... Tu es sûre ?

- Tu dis ça en rapport avec mon père, n'est-ce pas ?

- Oui... Mais pourquoi continue-tu à le considérer comme ton père bordel ?! Après tout ce qu'il t'a fait...