Pourquoi Moi [Dramione]

18 - OOPS -

PDV de Hermione

Drago: OOPS...ah... euh... C'est compliqué. Pourquoi t'as lu ça aussi !!!

Moi: Mais qu'elle mauvaise fois ! Si je l'ai lu c'est parce que MONSIEUR à eu la bonne idée de marquer mon nom en première ligne. Espèce de traître. Ce n'est pas parce que tu me déteste que tu peux te permettre de réduire à ce point mon image.

Drago: Ton image; mon père. Tu ne crois pas qu'il y a un problème ?

Moi: Je m'en contrefous de ton père. POURQUOI AS-TU ECRIT CA !!!!

La colère commençait à bouillonner dans mes veines. Drago s'assoit à coté de moi la tête basse. Sa réaction ne fait que accroître ( je veux un prix pour avoir réussi à caser ce mot et pour l'avoir correctement orthographié) mon sentiment de haine. Putain mais qu'est ce qu'il a. Il va faire quoi le coup du " Oh je regrette mais c'est mon père qui m'oblige" ? Oh qu'il m'insupporte !!!

PDV de Drago

Je m'assois sur le canapé la tête basse. Je ne supporte pas son regard et le simple fais qu'elle s'énerve contre moi me tue. Comment j'ai fais pour laisser ce putain de parchemin traîner aussi. Que je suis con !!! Je soupire et lève doucement la tête vers la préfète en chef. j'inspire un grand coup et pose ma main sur son bras. Cela provoque un courant électrique entre elle et moi. Hermione se dépêche de retirer son bras. 

Moi: Assied toi !

Hermione: Ne. Me. Donne. Pas. D'ordre. Malefoy !

Moi: Hermione S'il te plait. Si tu veux que je t'explique assied toi immédiatement !

Malgré sa réticence à poser son fessier sur le canapé elle obtempère.

Moi: Bien, si j'ai écrit CA comme tu dis ! C'est parce que mon paternel ou enfin ce qui me sert de figure paternel m'interdit ne serai ce que de te regarder !!!! Et comme je suis obliger de partager cette pièce avec ta personne c'est compliqué ! Cette lettre est un mensonge !

Je commence à me calmer et me r'assois à coté d'elle. Je tourne le tête vers elle. Elle est assise bien droite le regard figé sur le feu qui crépite dans l'âtre. Je me laisse aller contre le dossier et continue à la contempler. Je regarde ses yeux brillant... de larmes ? Ses long cheveux qui descende en ondulant le long de son épaule pour terminer leur folle course sous sa poitrine. Aucun de nous deux ne parlent. Trois coup sec retentissent sur le bois dur de la porte. Nous nous levons en même temps pour aller ouvrir et nos mains s'entrechoquent sur la poignée provoquant un second courant électrique. J'ouvre la porte pour voir....