Kuroo Tetsuroo #1

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FLASH-BACK :

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Une fois le petit-déjeuner prit, tu te dépêchas d'aller dans le gymnase pour vérifier le matériel avant que les joueurs ne commencent à jouer.

Une fois cela fait, tu allas discuter un peu avec le coach de Nekoma qui t'informas du déroulé de la journée.

Étant la manageuse du lycée des chats, tu te devais d'être la plus informée, le stage d'entraînement ce passant dans votre établissement.

Lorsque les joueurs eurent commencés à jouer, tu aidas Koari pour aller remplir les gourdes.

La matinée passa rapidement, sans encombres.

Le midi, ce fut aux deux manageuses de Karasuno de préparer le repas, tu avais proposées ton aide, mais elles n'en avaient pas voulu.

Yachi te fit même sortir de force de la cuisine, te faisant éclater de rire.

Pour une raison inconnue, aujourd'hui, tu étais vraiment de très bonne humeur, tu sentais que ta journée allait très bien se passer.

-C'est vraiment dommage qu'on ait pas de manageuse dans l'équipe.

La voix de ton cousin te fit sortir de tes pensées.

Alors que tu amenais ta fourchette à tes lèvres, tu haussa un sourcil en le fixant avec insistance.

-Et moi ? Je suis quoi ? Un tanuki ?

-C'est mignon un tanuki... Attendez, c'est quoi déjà ?

-Lev, la ferme. Soupira Kuroo.

-T'es ma cousine, ça compte pas ! Se défendit Taketora.

-Mais je suis une fille !

-Je peux pas te considérer comme ça.

-Je m'en doute, puisque je ne te considère pas comme un homme, idiot.

-Eh ! Je suis un homme !

-Alors considère moi comme une fille, et je reverrais ma façon de percevoir les choses.

Ne pouvant rien répliquer, le jeune homme se tut, te faisant éclater de rire.

Tu lui donnas un petit coup d'épaule amicale contre la sienne, comme pour te faire pardonner.

Il sourit à son tour et t'ébouriffa les cheveux.

Même si tu étais d'un an plus âgée que lui, il te considérait comme sa petite soeur.

Bien entendu, tu le considérais comme un petit frère, ce qui causait beaucoup de dispute finissant par des rires entre vous.

L'équipe des chats ne se lassait jamais de vous voir comme ça, certains te trouvaient adorables.

Surtout une personne en particulier, qui ne le dirait pas.

Pas par fierté, plus par raison.

Une fois le repas terminée, l'entraînement reprit.

Tu t'occupais cette fois-ci d'un terrain pour arbitrer.

Le match opposant Karasuno à Fukurodani t'impressionna.

Les corbeaux s'amélioraient un peu plus chaque jours, même si ce n'étaient pas assez pour battre leurs adversaires actuels.

Recueil de Readers (Fini)Where stories live. Discover now