XLIX. Justice of the peace.

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Moi: Vous êtes sûr qu'il ne verra pas l'oreillette ?

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Moi: Vous êtes sûr qu'il ne verra pas l'oreillette ?

Policier: Oui, si vous rester le plus naturel possible il ne verra rien.

Moi: Et si il décide de me fouiller pour être sûr ?

Inspecteur : J'ai travailler sur beaucoup de cas mademoiselle, et franchement je suis désolé de vous dire que il est beaucoup trop con pour pouvoir vous fouiller, surtout quand on voit qu'il vous a appeler sans mettre sur inconnu.

Moi: Vous avez intérêt de venir direct si ça se passe mal, je veux pas qu'il tue mon fils.

Inspecteur : On sera là ne vous en faite pas. Prête ?

Moi: Oui.

Je sors du poste, les policiers étaient partis pour aller dans leur voiture et l'inspecteur aussi. Ils avaient aussi contacter les gendarmes. J'active le moteur de ma voiture et part au point de rendez-vous.

Moi, à l'oreillette : Vous m'entendez ?

Voix à l'oreillette : Super madame Robinson!

(Pourquoi j'ai donner ça comme nom de famille 🤦🏾‍♀️ ça me fait penser à Robinson Crusoé 😂)

J'arrive dans les bois où Idriss m'a donner le rendez-vous. Les autres avaient garer leur voitures beaucoup plus loin et allaient se cacher.

Je sors de la voiture en tremblant. Mon coeur battait à plus de 1000km/h, j'avais vraiment peur. Je priais pour que tout se déroule comme convenu.

J'entre dans la forêt, il faisait noir et super froid. J'espère qu'Idriss a bien couvert mon fils, il fait beaucoup trop froid pour lui!

...: Yo!!

J'arrête de marcher et me retourne.

Il était là, avec Ibrahim dans un kangourou, à plus de 50 mètre de moi.

J'avance lentement jusqu'au niveau d'Idriss. Il était très maigre, il avait des cernes profondes et noir. Il est tout simplement moche.

Moi: Maintenant que je suis là, rend moi mon fils et on en parle plus.

Idriss, rire : T'es drôle ! T'as jamais penser à devenir comédienne ?

Moi : J'ai l'air de rire là ? Je suis sérieuse imbécile ! Rends-moi mon gosse.

Idriss : Non ça serait trop facile.

Moi: Donne moi Ibrahim.

Idriss: Approche.

J'avance lentement jusqu'à lui. Il détache Ibrahim de lui, il se met à pleurer.

Idriss: Je vais te le passer, mais tu bouges pas !

« Les actes valent plus que les paroles. »Where stories live. Discover now