XVII. Birthday!

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Il sort les clés de sa poche arrière, lorsqu'il a ouvert la porte, on a vue sa maman en train de pleurer

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Il sort les clés de sa poche arrière, lorsqu'il a ouvert la porte, on a vue sa maman en train de pleurer. Je l'aide à entrer et la fait s'asseoir sur le sofa. Idriss s'approche d'elle et lui dit :

Idriss : Il t'a dit ?

Sa mère lève rapidement la tête vers lui.

Latifa : Tu savais toi aussi ?

Idriss : Oui...

Elle pleure de plus belle.

Latifa : POURQUOI TU NE M'AS RIEN DIT ? VOUS AVEZ GARDER ÇA POUR VOUS ! VOUS AVEZ ATTENDUS QUE JE L'APPRENNE PART QUELQU'UN D'AUTRE !

Elle se lève et s'apprête à sortir mais je me lève et l'a retient.

Moi : Vous ne pouvez pas partir maintenant madame, vous n'êtes pas en état de conduire.

Elle me dévisage et sort de la maison en claquant la porte. Je me retourne vers Idriss qui était maintenant assis.

Moi : Il se passe quoi ?

Idriss : Je n'ai pas le temps de parler pour le moment.

Il se lève et monte. Je le suis, il entre dans la chambre, j'entre aussi.

Idriss : Tu comptes me suivre même dans les toilettes ?

Moi : Oui.

Idriss : Et si je fais caca ?

Moi : Ah non ! Quand tu fais caca, ça pu trop !

Idriss : Ta gueule.

Il me donne une tape derrière la tête et se couche sur le lit. Je m'assois et le regarde.

Idriss : Mon père l'a trompe.

Moi : Et ça ne te fait rien ?

Idriss : Balek'

Moi : Ah d'accord...

J'en profite pour me lever et sortir de la maison.

Idriss : Eh ! Je t'ai dis que t'allais nulle part. Force p...

Moi : C'est bon j'ai compris !

Je sors de la chambre et m'endors.

3 jours après...

Je me lève du lit avec le sourire jusqu'aux oreilles, aujourd'hui c'est mon anniversaire alors souhaité moi un joyeux anniversaire ! J'AI 20 ANS LES AMIES ! Je vais rapidement prendre ma douche. Je ressors habillée d'un jean bleu clair troué de partout, un mini haut en satin beige, des escarpins beige, je laisse mes cheveux Ô Naturel, cet à dire crépus. Je maquille discrètement et descends en bas toute souriante, Idriss y était. Il est en caleçon devant la télé.

Moi : BONJOUR !

Idriss : Oh ! Oh ! Pourquoi tu cries comme ça là ?

Moi : Je suis heureuse, c'est pour ça !

« Les actes valent plus que les paroles. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant