XVIII. Jealous.

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X : C'est vraiment Marielle !

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X : C'est vraiment Marielle !

Je regarde c'est qui les gens qui m'appelle. Je vois une bande de trois garçons devant nous. Y avait un métis, un chabin (gars à la peau claire), et un grand négro.

Moi : Oui ?

Négro : Tu te rappelles plus de nous ?

Moi : Non...

Chabin: Sérieux ? On était dans la même classe.

Métis: Moi c'est Dany, lui c'est Brayan et Michaël.

Donc le métis c'est Dany, le négro c'est Michaël et le chabin c'est Brayan. Ils sont trop beaux.

Moi : Je me rappelle pas de vous...

Brayan : On habitait dans le même quartier puis quand on venait chez toi pour acheter de floup (friandise glacée à base d'eau et de sirop) ta mère nous insultait tout le temps parce qu'on venait rien qu'avec 5 centime. Puis dès fois tu volais pour nous !

Mdrr je me rappelle d'eux c'est bon. Je me lève et on se fait un câlin collectif en criant, puis on se tchek comme dans le temps d'avant.

Michaël : Ça fait longtemps hein ! Je me rappelle encore quand ta mère t'avais frapper avec la ceinture devant chez toi, t'étais en culotte !

Puis ils commencent à se foutre de ma gueule ! Tchip j'avais 10 ans et j'avais fais une bêtise, je me rappelle plus c'était quoi mais ma mère m'avait fait avoir honte ce jour.

Dany : Ah ouais j'me rappelle !

Moi : Tchip !

Michaël : Sinon qu'est ce que t'es devenue ?

Moi : Bah je suis mariée !

Je leurs montre mon alliance.

Eux : Ah ouais, ça rigole plus là !

Je me tourne vers Idriss, il me regardait mal.

Moi : C'est lui mon mari.

Ils lui disent bonjour mais se mal élevé ne leurs répond pas et continu à me lancer des regards noirs. Je calcul pas et reste avec eux.

...

Ça fait 40 minutes déjà que je suis en train de jouer avec les gars dans l'eau, Idriss était tellement énervé qu'il est partit chercher un floup pas loin. Je sais que ce que je fais ça ne se fait pas mais c'est bien fait pour lui.

Alors que je jouais avec les gars, un moment j'ai été m'asseoir et là, je vois Idriss avec une fille tranquille. Il avait son bras derrière sa nuque il rigolait tranquille, ils avaient tout deux une noix de coco avec une paille. Moi je bouillonnais en les regardant. Mais le truc qui m'énervait c'est la fille là, elle était plus belle que moi ! Je pétais le seum. Ils viennent vers moi, je fais genre je les ai pas vue et mets mes lunettes pour les regarder. Ils se posent sur le sable et parle en rigolant, je sentais de la fumée sortir de mon nez et mes oreilles. En plus, la fille caressait son bras et tout, je voulais pleurée. La meuf avait fait tombée ses lunettes qui était dans ses cheveux, Idriss les prends et lui donne, au lieu de les prendre la fille reste à caresser son bras. On dirait qu'elle a jamais vue de bras dans sa vie. Tchip ! Je m'approche discrètement d'eux avec ma serviette, je me couche et les écoute discrètement.

« Les actes valent plus que les paroles. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant