XLV. Kidnapped.

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Késiah : Calme-toi ! Calme-toi !

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Késiah : Calme-toi ! Calme-toi !

Police : Calmez-vous madame, ça ne sert à rien d'agir comme ça.

Moi: Me calmer? Vous voulez que je me calme? QUE JE ME CALME ALORS QUE MON FILS A DISPARU À CAUSE DE SON CON DE PÈRE !

Je me contrôlais plus, je voulais tout casser. Je pleurais en même temps je criais.

Késiah : On te comprend Marielle, mais cesse de crier et pleurer comme ça. On va retrouver Ibrahim ne t'inquiète pas.

Elle s'approche de moi pour me prendre dans ses bras mais je la stoppe en la repoussant.

Lorsque je me suis réveillé, Ibrahim n'était plus là et la maison était en bazard. Je sais que c'est Idriss qui l'a prit après m'avoir piquer avec sa seringue.

Police: Les gendarmes sont sur la route, ils vous poseront quelques questions soyez calme pour être plus concentrer. Nous ferons tout notre possible pour retrouver votre fils et nous le retrouverons ne vous inquiétez pas.

Moi: Vous le retrouverez? La plupart du temps quand je regarde Chronique Criminelle vous ne trouvez jamais les enfants des gens, ou encore vous ne trouvez même pas un assassin et vous croyez que je peut être sereine? S'il vous plaît, fermez la si vous ne voulez pas que je vous insulte. Mon fils, je le retrouverais seule alors vos collègues les gendarmes dite les de ne pas venir ok? Merde!

Késiah: Marielle...

Moi: Toi aussi ferme la! Toi ton fils n'a pas disparu c'est le mien tu sais pas ce que je ressens! Alors tais-toi!

Suite à ça, tout le monde resta silencieux. On entendait seulement mes pleures .

J'ai mal, je repense à mon accouchement, ma grossesse que j'ai passer seule dans la souffrance. Pour moi c'est de ma faute si Ibrahim n'est plus là. Si je ne l'avais pas laisser seul il aurait été en sécurité avec moi. Je sais que Idriss a voulu me faire du mal et il a réussi. Bravo à lui!

Police: Madame Meyer?

Moi: Quoi?

Je lève la tête et voit que les gendarmes sont là. Je les toise et les regarde s'avancer jusqu'à moi.

Gendarmes : Nous voyons que vous n'êtes pas en état de parler alors on vous laisse le temps de vous préparer pour que nous vous emmenions au poste.

Je n'avais pas la force de répondre alors je me lève pour monter à l'étage me changer car j'étais tromper à cause des tuyaux d'arrosages puis je pars avec la police au poste.

3h24.

Inspecteur : Ensuite madame, que s'est-il passé ?

Je souffle un grand coup et continue ma phrase.

« Les actes valent plus que les paroles. »Where stories live. Discover now