parti 17

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Saif Ali Aîdara

Je suis toujours devant elle l'a regardant, le docteur étais sorti après l'avoir examiner. Elle ne veux toujours pas parler, même après l'avoir révélé son maladie, elle n'a pas parlé, elle a seulement regarde le toubib et détourne son regard laissant des larmes perler sur ses gros joues en souriant.

  :C'est vous qui m'avez heurter ?  entendu-je, me faisant sorti de mes pensées.

Moi: hum oui c'est moi, je suis vraiment désolé, je..

Elle: pourquoi vous ne m'avez pas tué ? Dit-elle me coupant.

Moi: quoi ? Comment ça ? Vous avez fait exprès de se faire heurter ?

Elle: non, je courrai sans regarder où je passais.

Moi: et pourquoi courrez vous ?

Elle: sa ne vous regarde pas. Dit-elle me regardant de travers.

Moi: sa me regarde depuis que vous vous êtes jeté sur ma voiture. Dit-je en serrant les dents pour ne pas crier.

Elle: bref je sors quand ? Dit-elle roulant des yeux.

Moi: vous sortez demain. Dit-je en soupirant et passe ma main sur ma tête. Et vous habitez où et vos parents pourquoi ne sont ils pas encore la. Demande je pour en savoir un peu sur elle.

Elle: ils sont morts. Répond t-elle du tic au tac.

Moi: ah désolé. Bon je vous laisse, à demain je viendrais pour vous amenez chez vous et le facture d'hôpital est déjà payé.

Elle: merci même si j'aurais préféré que vous me tuez ët demain vous avez pas besoin de revenir, je pourrais me débrouiller seule.

Moi: pourquoi ? Vous ne voulez pas que je sache ou vous habitez ? Me dite pas que vous êtes une pute. Dit-je en faisant une grimace de dégoût.

Elle: bon ta gueule, tu veux, sors de cette chambre et ne reviens pas sthiipp Niak class.

Moi: parle autrement je suis pas ton ami conasse. Dit-je me retenant de ne pas la giflé.

Elle: le connard ici c'est toi, juger les gens sans savoir leur vécu et pour raisons qu'elle ne veut pas que tu l'accompagne sale con.

Moi: je je suis désolé. Dit-je me grattant la nuque honteux, je sais pas ce qui m'arrive de l'insulter sans raison.

Elle: c'est sa sthiipp. Dit-elle se couchant sur le lit vu qu'elle était assise.

Moi: je reviens demain inchallah.

Elle: du balai. Dit-elle tirant le drap sur elle.

Je suis sorti pour aller chez ma mère, arrivé j'y trouve aussi papa et heureusement parce que je doit lui parler.

Moi: Salam aleykoum. Dit-je entrant dans le salon. J'embrasse maman et donne la main à papa.

Maman: mon bébé comment tu vas. Tu étais où ? Je me suis inquiété ? Dit-elle me prenant dans ses bras.

Papa: oho laisse le, un grand garçon comme lui, tu l'appelle bébé, mon oeil oui, qu'il aille chercher une femme c'est mieux pour lui.

Moi: papa je t'ai déjà dit se que j'en pense et n'insiste pas stp. En plus j'ai à te parler. Dit-je me rappelant de la fille, Alimatou.

Papa: ah oui de quoi. Dit-il me regardant avec ses lunettes sur le nez.

Moi: on peut aller dans ton bureau. Dit-je en regardant maman avec un sourire en coin sachant qu'elle va parlé.

La Soeur De Ma Mère Où les histoires vivent. Découvrez maintenant