USE ME |Dylan O'Brien|

CHAPITRE 21

Je n'arrive plus à penser. Cette scène était juste improbable, on aurait dit le passage dans Twilight où Bella se fait agresser, sauf que la c'était réel et que je ne suis pas Bella.
Je ne comprend pas que ce genre de chose puisse m'arriver, me faire agresser et qu'un mec qui m'ignore depuis des semaines arrive comme par magie justement au moment où j'en ai besoin.
Enfin bon, je vais me plaindre.
Il n'a pas dit un mot depuis, moi non plus d'ailleurs. Je n'ai pas envie de parler, j'ai envie de me recroquevillée dans mon lit et de ne penser a rien et surtout oublier ces dernières heures, ces dernière semaines même.
Je ne sais pas où va Dylan mais ce n'est pas chez moi. Dois-je briser le silence ?
- Je t'en mène chez moi. Je pense pas que tu veuille que ta famille te demande pourquoi tu  pleures.
Que je pleures ? Je pleures pas. Je touche mes joues, elles sont humide et j'ai le nez qui coule. Je ne m'en suis pas rendu compte.
Je cherche des mouchoirs, jamais de la vie je me serais moucher devant un mec comme Dylan mais là sa met totalement égale.
Je perd patiente, je veux savoir pourquoi il ne m'a pas donner signe de vie depuis plusieurs semaine. Ce qui ma pousser aussi à remettre le couvercle avec Ryan (je suis pas en mesure d'assumer mes actes en ce moment, donc je rejette la faute).
- tu as ressuscité ?
À peine les mots sortis de ma bouche je me rend compte de l'absurdité de ma phrase.
Il me regard rapidement du coin de l'œil, suspect.
- quoi ?
Je fais l'innocente, comme si me rendre des compte était totalement justifié.
- j'étais occupé Mia, désolé.
Ces paroles sont sèches, il a l'air irrité même énervé et j'ignore si c'est du à ma présence ou à la scène précédente.
Je décide de je pas passer par Quatre Chemins.
- non parce que je te signale que tu as coucher avec moi et que après tu m'as zapper comme une merde pendant je ne sais combien de temps. Alors bon, je sais que tu dois me considérer comme un vieille groupie mais je ne pense mérite qu'on me traite ainsi même si tu es une pseudo star et puis comment ça se fait que tu te pointe comme une fleur avant que je me fasse violer par un troupeau de connard ?
Tu sais je m'en pause vraiment beaucoup des questions à ton propos, est-ce que tu es un connard égocentrique ou juste un pauvre mec qui profite des filles ? Je te signale que dans les deux cas c'est mauvais.
J'ai parler à une vitesse monstre, mais au moins tout est sortis. Je dois avoué que ça fait énormément de bien.
Cependant, Dylan à écouter ma tirade sans oscillé d'un pousse. Il ne me regarde même pas ! Je rêve.
- je suppose que tu es les deux.
Rien. Toujours aucun signe de vie. Il se contente de se concentré sur la route.  C'est ça connard concentre toi.
Il soupire, un long soupire qui vient du coeur.
- je ne voulais pas de blesser Mia.
Pfffff me blesser ? Moi ? Naaaan impossible, je suis trop forte pour me laisser affaiblir par un acteur international canon et drôle...
Bon ok. Peut être un peu.
Je ne sais pas quoi répondre, on dirait qu'il se contrefou de tous ce que je lui ai dit et qu'il se contente d'une réponse bateaux.
Donc, je croise les bras et pose ma tête sur la vitre décider à bouder du mieux que je peux.

- Mia réveille toi...
Une douce voix au loin me tire de mes rêves, je grogne. Je ne veux pas ouvrir les yeux.
Je sent des bras me soulever doucement, délicatement. Je me retrouve dans ces bras, ma tête sur son torse, mon poids ne semble pas le gêner mais je suis trop endormis pour vraiment le remarquer.
Je divague entre sommeille et réveille dans ces bras, le temps passe lentement et j'aimerais rester au chaud contre son torse à humer l'odeur de son coup.
Bruit de clef. Porte qui s'ouvre. Qui se ferme. Je suis posé sur le lit, mon jean glisse le long de mes jambes. Je me laisse faire. J'ai la chair de poule. Je sent des doigts le long de mes jambes et je ne peux m'empêcher d'échapper un râle de plaisir.
Il ne parle pas mais j'entends sa respiration.
Je l'entend retiré ces vêtement et se glisser sous les bras.
Je suis au bord de sombré.
Il est tous proche de moi et j'essaie de lutter pour ne pas m'endormir.
Il ne bouge pas. C'est plus fort que moi, je me glisse vers lui.
Je me colle, j'entre mêle mes jambes aux siennes, ma tête sur torse. Il se laisse faire. Je soupire. Il soupire.
Je sent sa mains ce poser doucement dans mon dos, ces doigts qui me fond des papouilles.
C'est fini, je sombre.
Mais juste avant je l'entend.
- tu me rend fou Mia, fou de tendresse, fou de toi.