Chapitre 47

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Mais une fois arrivé dans la salle, j'avais envie de me mettre à pleurer, car il y avait Suga, Léa et Jimin qui étaient là. Je cours vers eux mais je me pris un coup de jus dans la cheville qui me fit tomber à terre en pleure. Suga arrive pour me relever mais un des garde est venu pour me lever et me ramener dans ma cellule. J'en avais déjà marre d'être ici que j'avais envie de faire une fugue de cette prison pour mineur mais je ne pouvais pas le faire car d'une je n'ai pas la clé pour enlever le bracelet que j'ai au pied et de deux il y a des gardes tout autour de la prison et que l'on pouvait pas en y sortir. Je restais dans ma cellule tranquillement que d'un coup, on me dit d'en sortir pour aller voir la psychologue. Je ne dit toujours rien et alla dans la salle.

Psychologue : Bonjour Julie, je m'appelle Anna. Et je serai ton psychologue.
Moi : Je n'ai rien à dire.
Anna : Si tu ne parles pas, tu auras des coups de jus dans la cheville, tu veux ça ou pas ?
Moi : M'en fou, mais j'ai rien à dire et j'ai rien fait.
Anna : Tout le monde le dit ici. Bien sur que si, tu as fais quelque chose pour arriver ici.
Moi : Non je n'ai rien fait du tout. Demandez à mon demi-frère, je n'ai rien fait. -dis-je en me prenant un coup de jus-
Anna : Mais oui je vais te croire.
Moi : Laissez moi sortir merde -en me reprenant un coup de jus-
Anna : Pas de vulgarité ici jeune fille.
Moi : M'en fou j'ai dit -en me levant et en essayant de partir- 
Anna : Garde -criait-elle-

Et là, je vois un policier me prendre par le bras et me tira jusqu'à ma cellule. Une fois dans ma cellule, le policier me jette et je tombais à terre comme une merde et il referma la porte. Je me relève et alla aux barreaux, mais dès que je touchais une barre, je me pris un coup de jus dans la cheville et dans la main, il y avait du courant dans les barreaux de ma cellule. J'étais foutu, j'allais rester là pour plusieurs mois maintenant. Je vais sur mon lit et pleure.
J'arrête de pleurer et je vois une personne rentrer dans ma cellule, ce n'était autre qu'un pasteur, je m'assois sur mon lit et lui aussi. Je ne dis rien et fait en sorte de ne pas l'écouter. Il parle, parle, puis d'un coup, il se lève et part et je lui dis au revoir et lui de même. Je me lève et va chercher un livre sur l'étagère en face de mon lit mais avant que j'en choisisse un, on ouvre ma cellule et on me dit que je devais aller à la cuisine sans rien dire, et c'est ce que je fis. Arrivée à la cuisine, je vais pour m'attacher les cheveux mais le directeur entre en ouvrant d'un coup la porte de la cuisine et dit.

Directeur : Julie, vous êtes libre.
Moi : Hein ?
Directeur : Venez, allez vous changer et je vous dis tout après.
Moi : Euh d'accord.

Sans rien dire, je suis le directeur qui me mit dans une salle et dans la salle, il y avait des affaires propres, je les mis et ressors de le salle et le directeur dit.

Directeur : Alors, vous êtes libre car en fait, deux personnes que vous connaissez bien, sont venu ici et nous on montraient une vidéo de vous en train de vous faire frapper et tout part votre demi-sœur. C'est plusieurs vidéos dans une vidéo, si vous préférez.
Moi : Oh je vois et qui sont ces personnes ?
Directeur : Eh bien, vous allez voir par vous même -en ouvrant la porte de son bureau-
Moi : Zicoooooo, Sugaaaaaa, merciiiii

Puis je cours vers Zico et saute dans ses bras et il me rattrape, j'étais en larme dans ses bras et il me rassurait pour ne plus que je pleure. Je lui fait un bisous sur sa joue puis descends de ses bras pour ensuite aller dans les bras de mon copain. Je suis dans ses bras et lui aussi me rassure en m'embrassant dans le cou. Je redescends de ses bras et l'embrasse. Je remercie tout le monde puis je vois arriver....

Voilà la suite. Désolé de cette longue attente 😊

Une Popularité Interdite... [Tome 1] (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant