Chapitre 32

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"L'amour est la seule passion qui se fabrique d'une monnaie qu'elle paie elle même." Stendhal

J'avais extrêmement chaud, je suais, j'avais mal à la tête et cela faisait trois bonne heure que j'essayais de m'endormir sans succès.
J'étais dans ma chambre avec Flavio, lui il c'était déjà endormie et il semblait si fatigué que je ne voulais pas le déranger. Je me relevais lentement du lit pour me diriger vers la cuisine et c'est seulement lorsque je me trouvais sur le seuil de ma porte que ma tête commençait à tourbillonait, je voyais Floue non enfaite je ne voyais rien, plus rien, rien du tout. Je commençais à m'affoler, cela faisait maintenant quatre jours d'affiler que ça m'arriver, ça devenait inquiétant, le médecin m'avait dis que si je prenais mes médicaments normalement cela arrangerait un peu mon mal mais je constate que cela ne fait que s'aggraver.
Lorsque je joignais mes cils plusieurs fois ma vision devenait d'abord floue avant de revenir totalement. Je m'accrochais aux meubles pour me diriger vers la cuisine et prendre de l'eau j'avais tellement soif, c'est lorsque j'ouvrais les portes du frigo que je vis mes mains tremblaient mais qu'est-ce qui était entrain de m'arriver. Je ne sentais plus mes jambes, avant que j'eus le temps de tomber deux mains imposante me rattrapèrent puis ils me déposèrent sur une des chaises se trouvant dans la cuisine avant de me tendre un verre d'eau et une pilule, je ne savais pas qui c'était ni quel médicament c'était, j'avais juste envie que cette douleur s'arrête et immédiatement.
Je laissais ma tête tomber sur la table à manger attendant qu'il fasse effet, la personne qui venait de m'aider me caresser le dos sûrement pour alléger ma douleur.

-C'est ça respire disait-il toujours en continuant ses vas et viens sur mon dos.

Quand j'entendis cette voix mon coeur lâcha un battement qui venait de bloquer l'air passant par mes poumons.
Je me relevais brusquement et croisa le regard de l'homme que j'avais évité durant ses derniers jours. Je me levais de la chaise pour me retrouver à l'autre bout de la table.

-Qu'est-ce que tu fais là ?

-Je venais boire de l'eau et j'ai vu que tu te sentais mal ça va ?

-Oui ça va j'ai juste eu un peu mal à la tête.

-Comme hier et avant hier ?

-..............

-Tu ne peux pas me mentir à moi, dis moi ce que tu as ? tu es malade ?

-Tu crois vraiment que je suis du genre à mentir sur ma santé.

-Non..tu es du genre à mentir pour que les autres ne s'inquiète pas pour toi, tu es du genre à sacrifier ton bonheur pour celle des autres, à mentir pour protéger mais si tu as quelques chose de grave il faut que tu en parles.

-Je....vais bien, j'ai juste de l'anémie et j'ai oublié de prendre mes médicaments donc arrête d'être parano.

-Bon d'accord si tu le dis....comment ça va avec Flavio ?

-Super, c'est un homme extraordinaire.

-Ah disait-il simplement

-Et....toi avec Marianna

-Bien aussi, c'est quelqu'un de.....super.

-Ah disais-je aussi

Silence....

-Lena...je...ses derniers jours je...j'ai essayé, croit moi, j'ai essayé de t'oublier mais c'est plus fort que moi je n'arrête pas de penser à toi, chaque minutes, chaque seconde...et c'est plus compliqué quand tu es si près de moi et que je ne peux pas te toucher, ni te regarder.

-Aïe Fabian

-Dit moi tout simplement que tu ne ressens rien pour moi rien même au plus profond de ton coeur et plus jamais je ne t'embêterais.

-.................

-Je le savais, je savais que tu m'aimais autant que moi je t'aime.

-Tu sais que c'est mal.

-Depuis quand aimer est quelque chose de mal.

-A partir du moment où on fait du mal aux autres.

-Lena, je t'aime, je t'adore et je ne me vois pas vivre sans toi je....

-Marianna ?Disais-je apeuré

-Oui je sais c'est ma fiancé et je..

-Non Marianna disais-je en lui montrant la personne dernière nous avec mes yeux.

Il se retournant alors que celle ci nous fusillait du regard pendant un instant je croyais qu'elle allait me tuer mais non elle sourit et s'avancer vers Fabian pour l'embrasser.

-Alors on parle de moi ?

-Je disais à L..euh Sharon combien je t'aimais.

-oh c'est trop chou mon amour, je t'aime aussi, très fort disait-elle avant de l'embrasser à nouveau.

Ce type n'est vraiment qu'un sale menteur, un hypocrite et je le disais il n'aime que sa petite personne.

-On va se coucher ?

-Oui, bien sûr

-J'ai une surprise pour toi mon coeur.

-Ah bon j'adore les surprises.

-Bonne nuit Sharon.

-Bonne nuit à vous aussi.

Elle le tirait par le col du son tee-shirt alors qu'il se retournait tout les deux secondes pour me regarder d'un air désolé.
Ce type n'est vraiment qu'un imbécile, il me dit qu'il m'aime mais quelques secondes après il se four dans le lit de sa soit disante fiancée.
Jamais plus je ne le croirais jamais, le seule point positif dans cette histoire c'est que Marianna ne nous ait pas entendu et si je reste à ma place ses vacances se termineront le plus vite possible.

PVD Marianna

Quelques heures plus tard...

Je vais la tuer, je vais la tuer hurlais-je intérieurement, alors depuis tout se temps, cette garce vivait dans la même maison que moi, ils m'ont tous menti Spencer, Irina, Flavio et surtout Fabian, je suis certaine qu'il couchait avec elle dans mon dos.
Je commençais à avoir une crise d'hystérie, je manquais d'air et mes poumons se refermaient de plus en plus.
Je passais de l'eau sur mon visage et respirait lentement pour me calmer.
J'étais dans les toilettes pour ne pas que Fabian sache que je suis au courant et qu'il m'entende, j'étais face à un miroir, mon visage était rouge de colère, il fallait que je me calme, que je trouve un plan pour me débarrasser de cette imbécile, non je ne vais pas la tuer ça serait trop facile. Je vais la faire souffrir, la torturer, démolir lentement sa vie, lui faire payer chaque caresse, chaque baiser de Fabian, je vais détruire tout ce qu'elle est absolument tout jusqu'à ce qu'elle ne lui reste plus rien à se moment là je lui donnerais le coût fatal, personne n'a le droit de me prendre ce qui m'appartient personne.

-C'est une promesse que je fais sinon je ne m'appelle plus Marianna disais-je avec toute la rage du monde.

DESIR ARDENTWhere stories live. Discover now