Chapitre 28

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-Mais qu'est que tu fabriques encore, je croyais que tu ne devais porter que tes chaussures.

-Donne moi juste deux minutes.

-Qu'est-ce que tu fais ?

-Je....me remaquille mentis-je alors que je cherchais une autre tenu en vain.

-OK fais vite.

J'allais raccrocher mais il me dit.

-Attend attend

-Quoi ?

-Je t'aime.

J'éclate de rire et il finit par raccrocher, je sortis de ma chambre et j'ai fermé la porte de la maison à clé et je me suis dirigé vers la voiture de mon tendre compagnon.
Il sortit de celle-ci en me voyant et il m'ouvrit la porte en souriant.
Il me prit la main et me fit tourner sur moi même. Il fronce les sourcils et dit.

-Tu n'auras pas besoin de ça disait-il en détachant la ceinture de mon manteau.

-Non....je....

"Eh merde" pensais-je

-C'est quoi ça ?

-Eh bien..je...j'ai...

-Je ne t'avais pas interdit de mettre une robe moulante et courte.

Je le fixe en me mordant la lèvre inférieure.

-Si tu voyais le decolleté, tu m'etriprais murmirais-je

-Je te l'interdit et toi tu combines les deux.

-J'ai eu un problème avec ma robe, je ne savais pas quoi me mettre alors Marianna m'a prêté une robe.....mais ne t'inquiète pas je peux aller me changer.

-Non hurlait-il presque tu es belle comme ça, on peut faire une chose tu n'auras qu'à rester près de moi.

-Ça ne me pose pas de problème dis-je en lui donnant un léger baiser sur la bouche.

-Et ton rouge à lèvre tu l'as aussi mit, ahhh qu'est-ce que je vais faire de toi.

-Je ne.....

Il m'attire par la nuque et scelle nos lèvres. Il m'embrassait d'un baiser passionné comme s'il exprimait par celui-ci le désir que je lui proccurais, comme s'il me baiser mais avec la langue.
Une décharge d'excitation m'envahit, mon coeur se décroche de son emplacement et mon sang me chauffe.
Sa langue se mélangeait durement avec la mienne, il me mordille le bas de mes lèvres et se détacha par la suite me laissant dans tout mes états.

-Le probléme est réglé on ne se disputera pas pour du rouge à lèvre dit-il en me massant la bouche, allons-y.

Désemparé et troublé, je montais dans sa voiture puis il referma la porte, sans aucune contrainte.

                     ....................
-On était vraiment obligé de prendre une voiture ? c'est juste à dix minutes de marche.

-Je ne voulais pas que tu te fatigues, tu m'as assez fais peur en tombant dans les pommes.

-Ce ne sont pas quelques pas qui vont me tuer.

-Je feais n'importe quoi, pour que tu ne souffres plus jamais de toute ta vie alors ne nous disputons pas pour ça non plus, prête ?

-Ce n'est pas une dispute, c'est une conversation.

-Comme tu veux, on y va ?

-Je dois m'attendre à quoi ?

-A tout dit-il en haussant les épaules.

-Oui dis-je en inspirant profondément ensuite nous pénétrons dans la grande salle en face de nous.

DESIR ARDENTHikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin