kiss et cinéma

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Je dis exprès de marcher face à  Elle, je sentais son regard sur moi, je m assie en face d'elle. Elle ne parlait pas, je lui demanda alors pourquoi elle ne m' avait pas fait la bise alors que au téléphone elle disait vouloir le prendre dans ses bras, me faire des bisous, des câlins, elle me répondis qu' elle n'en avait pas envie, mon coeur me pinca, alors je me leva, alla m'assoir sur ses genoux, la regarda dans les yeux, elle n arrivait pas à soutenir mon regard, faisait exprès  de dormir, alors je lui déposa la question et elle me répondis la même chose, une envie soudaine le vint, je me pencha et posa les lèvres sur les siennes, c'était la première fois que j embrassqis quelqu'un, cela me rendait nerveuse, je le demandais si je n étais pas trop nulle, heureusement elle me recomforta, nous avons donc passer tout le voyage à  nous embrasser, et ce fût la même chose au cinéma, puis en rentrant aussi, mais une certaine tension sexuelle était entrain de se former depuis le cinéma au moment de rentrer. Ont passa donc les vacances à se voirent, elle souhaitait que je vienne chez elle, je n en avait pas très envie, à  vrai dire j angoissais. Puis un jour J allas chez elle, cette fois ci, je me retrouva en souvetement, J entra dans sa chalbre quu se trouvait a l'etage, elle me prit dans ses bras, ont s'embrassa, encore et encore, je ne voulais pas la laisser, je ne voulais faire qu'un avec elle, elle me desabilla, je lui enleva son haut puis son pantalon. Elle se mit au dessus de moi, me serra contre elle, je gemissais, j'etais tres étonné de me laisser faire ainsi. Mais je du la laisser car je devais me dépêcher car je devais prendre le dernier train pour rentrer en France. Elle et moi ne sommes pas passer à  l'acte.

En rentrant en France elle me demanda si elle et moi étions en couple, je lui dis oui, ainsi notre relation commença, mais je ne souhaitais pas qu elle le dise à une amie que nous avions en commun et qui habitait dans ma ville, de peur qu' elle n'aille le dire à  mes amies. Je lui avais permis de le dire à Grâce.

Cependant lorsque je répartis en suisse, comme je ne m'acceptait pas encore, j avais peur et honte du regard des gens notament des noirs, j avais leurs de rencontrer des gens que je connaissaient alors nous ne pouvions pas nous tenir la main nis nous embrasser partout, au jour d'aujourd'hui je le regrette beaucoup car je sais qu elle souffrait beaucoup de ça.

Nous Sommes Passé de " Nous" À "tu"Where stories live. Discover now