Dahlia noir

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Mardi 24 janvier:

Deuxième journée avec Jones, je vais l'appeler comme ça c'est mieux. Je commence directement par une réunion avec certains employées et bien sûr le boss. J'avoue que je n'est pas trop envie de travailler mais il le faut bien. Je me lève de mon lit et me prépare tranquillement, aujourd'hui je prend mon café j'ai moi pour ne pas croiser Jones. Après avoir fini ma tasse, je prends mon sac et mon téléphone.

Pendant le trajet je suis sur mon téléphone et je reçois un message de Louis, pas encore lui.

Louis: Bon matin ma petite journaliste.
Moi: Comment le savez vous ?
Louis: Secret.

Mais comment sa ce fais qu'il sait autant de chose sur moi ? Est-ce quelqu'un que je connais ? Bon me voilà enfin arrivée, à peine arrivée Alix me saute dessus.

- Coucou toi, dit-elle.

- Salut, alors avec le boss ?, dis-je en rigolant.

- Rien pour l'instant, c'est juste une question de temps, dit-elle avec un clin d'œil.

- Ça c'est sur avec toi.

- Bon je te laisse je doit prendre mes affaires pour la réunion, on se voit dans la salle alors, dit-elle en partant.

- Ouais.

Je monte directe dans la salle de réunion, Maxime et d'autres employées sont déjà assis. Je décide de m'assoir à côté de Maxime et nous discutons, peu de temps après Alix vient à son tour, elle se met près de la place du boss qui est à l'autre bout de la table. Je rigole avec Maxime car il me raconte a chaque fois dès histoire loufoque.

- Bien nous allons commencées la réunion donc censée toutes discussions, dit le patron d'un ton ferme et sévère avec un regard noir dans ma direction.

Je me sens terriblement mal et le sourire que j'avais il y'a deux secondes à complètement disparue. Je n'écoute pas la moitié de la réunion, jusqu'à que Jones me sort de mes pensées.

- Madame Colins, je vous ai poser une question et j'aimerais attendre la réponse s'il vous plaît, dit-il froidement et debout en avant du bureau avec les mains sur celui-ci.

- Excusez moi, pourriez vous répéter la question afin de mieux y répondre, dis-je gênée.

- Elle n'est pas pourtant si difficile, dit-il presque en criant.

Je suis vraiment très mal et comme un réflexe je baisse la tête.

- Je vous ai demandé si vous aviez un titre pour l'article du journal, dit-il calmement. Je lève la tête, et son regard est toujours aussi froid.

- Oui j'avais pensée au titre "Le Dahlia Noir, nouvelle génération", dis-je.

- C'est très bien ça, on le garde. C'est un bon titre merci dit-il calmement.

Je suis soulagé et ne dis plus rien le reste de la réunion. Lors de la reunion je n'est pas censé de sentir son regard posé sur moi et de même le croiser les rares fois où j'ai levée la tête, j'étais déstabiliser. Elle se termine enfin après une heure de débats sur la photo qu'il y aura à la une. Je décide de rassemblée mes affaires et de vite partir je m'apprête à sortir.

- Madame Colins je dois vous parlez, restée ici s'il vous plait, dit Jones.

Je me rassois a ma place et attends que tout le monde parte. Je vois Alix qui me dis désolé part son regard et Maxime me fait un grand sourire et le clown dans le dos de Jones, j'étouffes mes rires et souris à ces bêtises. Lorsque tout le monde est sorti, il ferme la porte et s'assoit en face de moi.

- Écouter, je ne peux pas travaillais avec quelqu'un qui n'écoute pas en réunion.

- Excusez moi, j'ai passée une longue journée hier et je suis encore fatigué aujourd'hui, dis-je simplement.

- À cause de vos soirée avec M. Lopez ?, dit-il en me regardant avec haine.

- Pardon ? Je ne dois pas vous répondre, c'est ma vie et mon intimité, dis-je offensée.

- Bien sur que c'est ça, suis-je bête, dit-il en riant.

- Je ne vous permet pas de dire des bêtises à mon sujet M. Jones.

- Allons, allons Charlie. Ce mec n'est pas pour vous, dit-il en s'approchant dangereusement de moi.

Je me lève et me dirige vers la sortie. Il me retiens le bras, je regarde sa main qui tiens mon bras et regarde ensuite ses yeux. Il me regarde assez étrangement.

- Cette discussion est loin d'être terminé, croyez moi.

Je le regarde une dernière fois avec haine et retire mon bras. Je sors rapidement de la salle et me dirige vers mon bureau. Toute la matinée je n'est pas arrêtais de penser à ce qu'il m'avait dis. Pourquoi ma vie l'intéressée tant ? Surtout pourquoi ma relation avec Maxime ?

Maxime viens à mon bureau pour que nous allions à la cantine ensemble. Sur le chemin il me demande ce que le patron voulait me dire mais j'ai menti est dis simplement que c'était par rapport à l'article. Il n'a pas poser d'autres questions est nous arrivons à la cantine.

Soudain une haine m'envahit lorsque je vois Alix presque coller à Jones, je ne sais pas pourquoi j'ai cette sensation mais je trouve Alix ridicule car elle veux juste baiser avec lui. Jones a remarquée que je les fixer et me souris de toutes ses dents, je fais de même pour ne pas qu'il voit ma haine. Tout d'un coup lorsque Maxime met son bras autour de mon cou, son sourire disparaît et le mien peut éblouir toute la salle. Je sais son point faible, est-il vraiment jaloux de Maxime ? Être jaloux en à peine deux jours est possible ?

Je me serre à manger et m'installe à une table avec Maxime, je suis de dos à Jones, pour éviter de voir le spectacle monstrueux.

- Dis donc Alix se fais plaisir avec Jones, dit-il en rigolant.

- Oui, elle m'a dis qu'elle voulait l'avoir dans son lit, dis-je sans montrer aucune émotions.

- Elle y va pas de main morte cette coquine, dit-il en les regardant derrière moi.

- C'est Alix quoi... d'ailleurs vous avez couchées ensemble non ?

- Ouai et plus d'une fois, dit-il heureux.

- Beurk, dis-je en rigolant.

- C'est fou, il n'arrête pas de te regarder, dit Maxime.

- Qui ça ?, dis-je en mangeant.

- Jones.

Je me retourne et en effet il me fixer, je les vu détourné le regard et faire semblant de parler avec Alix ou je ne sais quoi.

- Ouais, dis-je simplement.

- Ouais ? C'est tout ?, dit-il surpris.

- Bah tu veux que je dise quoi ?.

- J'en sais rien enfaite, dit-il en rigolant.

Je ris à mon tour et nous terminons le repas calmement. Je rentre chez moi à 18h30 et directement rentrée chez moi je retire mes chaussures et me serre un verre de rosé pour me poser ensuite devant le canapé.

Oups, patronWhere stories live. Discover now