Le renouveau { fairy tail tome 2 }

Chapitre 22

Pdv lucy

- Au nom de la loi, Mademoiselle Heartfilia, nous vous arrêtons.

Je souris face à tent de débilité.

- Si dans la minute qui suit vous ne vius etes toujours pas rendue, nous serons obliger de vous abattre sur place.

Je souris encore plus.

- Il ne vous reste plus que 30 secondes.

Je dévoile mes dents en souriant.

- Soldats ! Tirez dans 5...4...3...2...1...

- Hurlement du dragon Antique! 

Ma magie les envoient valser à plus de 3 mètres.

- Bravo Lucy !

- Pas la peine de me féliciter, je suis la meilleure !

- Quelle modestie! 

Au loin,  un des soldats me vise avec son bâton magique.

- Pff ! Pitoyable ! A toi l'honneur Eilyne.

- Héhé ! Compte sur moi.

Elle avance d'un pats de félin vers sa proie qui par peure est pétrifié sur place. En voyant Eilyne de plus en plus proche, il commence à trembler et à avoir les larmes aux yeux.

- Tu vas regreter ton geste. Tu a idée defier le désespoir écarlate, et tu vas en payer ta vie.

Une sphère ce créé dans salon droite et part percuter la tête du soldats qui explose au contacte de cette dernière.

Du sang dégouline de la joue d'Eilyne quand elle revien vers moi tout sourir sur le visage.

Les habitants qui étaient rester scotcher par le spectacle commence peut a peut à s'affoler dans tout les sens.

- Il faut prévenir a la guilde ! Hurlat un petit homme moustachu. Le pâtissier de la ville il me semble.

- Les spriggans nous attaquent !

- Ce sont des monstres !

Eilyne tappe son septre au sol petrifiant tout le monde sur place.

- Les villageois sont sous mon contrôle, un seul écart, et je les tuent tous d'un seul claquement de doigts.

La ville est comme figée dans le temps. Même l'horloge de la cathédrale est restée bloquée à 16h48.

- Lucy. Note:

16h48, destruction de la ville de Magnolia, et de sa guilde :

Fairt tail

Je la regarde les yeux ronds.

- Tu- tu veut détruire la ville ?

- Bien sûre !

- Mais nous devions juste prendre le Nekonight, et partire.

- Oui, mais j'ai des avies de destructions.  Elle ce retourne vers moi, et me pointe de son doigts pointus. Et ne me dérange pas pendant mon oeuvre ! Sinon tu serais surprise de ce qui pourrais t'arriver.

J'avale difficilement ma salive.

- Tu me menace à ce que je vois.