Madre mia (Camilla & Nabil)

Chapitre 15

♫ J'sors faire du cash ♫

[23h57| Aéroport Charles De Gaules | PDV deNabil]

L'avion venait d'arrivé sur Paris après onze heures de vole. On avaient pris du mal a s'endormir à cause des turbulences et de la mauvaise ambiances dans l'avion, les passagers nous ont plusieurs coupés le sommeils a cause de leurs bruits et chanson Thaïlandaise. Tarik dormait encore quand on a attéris en France et j'ai eu pas mal de mal à le réveillé, j'avais donc décidé de prendre ses affaires sur mon dos de le réveiller comme je pouvais avant la fermeture des portes de l'avion.

Nabil :Tarik.. Tarik.. *secouant son bras*

Tarik :Mhmm *grognant*

Nabil :Lève toi, ça fait dix minutes qu'on est arrivé là !*secouant son bras doucement*

Tarik :Putain ! Déjà !

Nabil :Allez ! Tout le monde est entrain de descendre.. *prenant les deux sacs de Tarik et le sien avec lui*

Tarik :C'est bon je viens ! *se levant enfin de son siège*Où sont mes affaires ?

Nabil :C'est moi qui les ai

Tarik :Vas y donne !

Nabil :Non c'est, vas y sort, l'avion va fermé là !

Tarik :Hunn *s'étirant en poussant un petit soupire*Passe devant !

Nabil :Ok !

On étaient sortis de l'avion traînant du pas, je tenais Tarik par l'épaule car il était tellement fatigué qu'il pouvait tomber en deux secondes. On s'étaient dirigés vers la réception pour récupérer nos bagages et une fois nos valises recoupées, on s'étaient dirigés vers la sortie de l'aéroport pour trouver un taxi et rentrer enfin au Zoo. Environ cinq minutes après notre sortie de l'aéroport, un taxi qui nous avaient reconnue avait eu la gentillesse de nous prendre malgré le fait que l'on avaient pas de liquide sur nous mise à part quelques billet en monnaie Thaïlandaise. Ils nous avaient demandés une photo en échange d'une prestation gratuite. Comme quoi le fait d'être connue sa à du bon parfois et même des avantage. Le chauffeur avait le cd de « Que La Famille » et avait eu la bonne idée de passer les chanson les plus calme pendant le trajet comme « Je vis, je visser »,« Simba », « Lala » et « J'comprends pas » ce qui avait poussé Tarik à s'endormir très vite une fois monté dans le taxi. Quand à moi, du à mon sommeil très léger, je n'avais plus sommeil et j'avais donc continuer à écrire certains de mes textes pour notre prochain album que j'avais laissés en suspends sur le Inote de mon téléphone. Après une heure de chemin, le chauffeur nous avaient déposés à l'entrer des Tarterêts, je sortis du véhicule pour faire la photo avec le chauffeur comme convenue, il m'avait aidé a descendre nos valises du coffre et j'avais pris Tarik sous mon épaule comme à l'allée ca ril était encore perdu dans le décalage horaire. Il avait beau être une heure du matin, tous les vendeurs de la cité étaient encore à leurs poste et continuaient de servir ce qui demandait. On avaient croisés Ilinas et S-pion au loin et les avaient salués de nos mains mais on étaient beaucoup trop fatigués pour parler avec eux car on allaient forcement les croisés le lendemain. Une fois de plus l'ascenseur était en panne lorsque nous somme entrés dans notre bâtiment, j'avais donc du porter le poids de nos trois valises et deux sac de Tarik plus le mien car monsieur, trop fatigué, peinait à monter les escaliers avec ses bagages. Arrivés à la maison, Sarah et papa dormaient déjà mais Yanis avait invité Sabris a dormir du coup ses deux là faisaient une nuit blanche à traîner sur les réseaux comme à leurs habitudes lors des vacances scolaire.