Livres D'O.S

I need u before I fall

Hey...Baby. I fall...

Point de vue extérieur

La neige se posait doucement sur le sol pendant que le vent soufflait une à mélodie des plus douces alors que les passants, souvent pressés, partaient vers leurs chez eux :
Un jour spécial pour des personnes spéciaux.
C'était la St Valentin et chaque personne acheter un cadeau pour leur moitié ou simplement passait une soirée des plus mémorable au restaurant.

Certaines personnes n'ayant pas encore trouvés leurs moitié dansaient et buvaient dans les bars de la ville espérant tous revenir un numéro ou une personne en poche.
Ou simplement des groupes d'amis profitant pour se créer des souvenirs avant de rentrer dans la vie professionnelle, chaque personne est différente selon leurs situations mais notre brun était une personne des plus original.
Il n'était pas joyeux pour ce jour rempli de bonne humeur. Il se sentait juste comme vide, vide de tout.
Il n'avait plus personne à ses côtés, même plus de famille et c'est pour ça qu'il de trouvait devant la tombe de ses parents : "Grisha et Carla Jäeger."
C'était l'anniversaire de leurs morts commune mais il ne versait aucune larmes, il l'avait promis lui même.
Il n'allait jamais pleurer pour une mort, parole de Jäeger.

Alors il restait devant les tombes, haïr le camion qui les avaient tués accidentellement sans rien faire: de toute façon, il le faisait chaque année pourquoi changer celle-là ?
Il posa ses doigts sur les écritures gravés dans la pierre tombale qui décrivaient l'heure et la date de leurs morts:
14/02/2013- 22:57 Carla Jäeger.
14/02/2013- 19:21 Grisha Jäeger.

Quand il y repense, il ne passait pas beaucoup de temps avec ses parents à cause du travail mais il les appréciait beaucoup. Après c'était son unique et seul famille.
Mais maintenant il est seul.
Et sera toujours seul.

Il pose lentement le bouquet de fleurs blanches sur la tombe de sa mère et de rouge sur celle de son père. Leurs couleurs préférées...

Un sourire se forma sur ses lèvres alors qu'il commence doucement à se lever, un sentiment de légèreté dans la poitrine.
"Reposez vous bien maman, papa."

Il caresse les tombes avant de se diriger vers la sortie du cimetière. Une fois sortie de cette ambiance légèrement malsaine il ferme les yeux et adresse une dernière parole à ses parents, pour les dire au revoir jusqu'à la prochaine fête.

Il se retourne vers la route en engage la marche vers son chez lui, où il sera enfin protéger de la chaleur.
Chaleur qui finalement, ne pouvait combler la présence d'un être chère, mais assez suffisante pour ne pas tomber encore plus dans sa dépression.

La solitude, c'est ce qu'il a ressenti pendant un moment, un très long moment. Ne plus avoir la présence de quelqu'un à ses côtés du jour au lendemain sans être préparé psychologiquement est juste invivable. Alors pendant un an, deux, voir trois ans il avait plongé dans la profonde des dépressions. Ce qui a fait maigrir son corps d'une façon des plus violente qu'il existait, il avait au moins quelques kilos en plus, se disait-il en y pensant.

Et après toute ses années il a fini par se réveiller et se dire qu'il ne pouvait pas rester indéfiniment ainsi, que ces parents ne devait pas être en paix avec un fils ainsi. Alors il a reprit du poids, assez pour qu'il devienne un jeune homme a voir sans se méfier de l'expression qu'il abordait en permanence.

Il en était un peu fière, mais quand il repense à la cause de son corps il se met à légèrement se haïr lui même. Lui et son corps.

Lui parce qu'il ne pouvait vivre sans y penser, sans avoir des remords et son corps car c'était le fruit de leurs morts.