MAIS IL EST OÙ LE TROU ??

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Je tiens à dire que, oui, c'est un Ereri/Riren
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Cela faisait deux ans, deux ans que je sortais avec elle, elle avait réussi à briser la barrière de pierre qui recouvrait mon cœur.

Elle était gentille, douce, généreuse et très intelligente. Elle avait une peau douce, les jambes fines, la peau légèrement brune et les yeux d'un vert magnifique. Jamais je n'avais vu de fille pareille...Elle était parfaite, tout chez elle était plaisant.

Notre rencontre était tout sauf simple, j'étais la glace, elle était le soleil. Elle riait et je restais de marbre. Elle respirait la joie de vivre, j'étais tout simplement dépourvu de sentiments.

Je n'aimais pas son caractère joyeux, elle avait des amis, de la famille. Elle avait de bonne notes et les profs l'appréciaient.

Elle était toujours radieuse, dans toutes les situations. Je me disais que ce n'était qu'une personne qui voulait attirer l'attention des autres.

J'étais jaloux.

J'avais tout fait pour voir son vrai visage, tout pour avoir sa perte, je voulais qu'elle souffre.

Mais à force de vouloir découvrir ses faiblesses pour la nuir j'ai finis par découvrir ses qualités.

Elle avait une innocence interdite pour une lycéenne et sans même se rendre compte elle se faisait persécuter chaque jour, chaque heure.

Elle continuait de sourire, d'encaisser sans même que ses proches se doutaient de quelque chose.

Mais ce jour était de trop, elle était seule, dans les couloirs du lycée après les cours. Je le savais, elle aussi, qu'aujourd'hui n'allait pas être pareil.
Ils n'allaient pas juste se moquaient d'elle.

Toute la journée ils l'avaient sifflé,  bousculé et même touché. J'en pouvais plus, même ci j'étais censé la destester, je voulais la protéger.

Je m'étais caché à quelques mètres d'elle, sachant très bien qu'elle m'avait remarquée, en entendant que ses harceleurs se montrent enfin.

Au bout de quelques minutes seulement, ils s'étaient montré, mais je ne devais pas venir de suite.

J'avais sortis mon téléphone et commencé à filmer la scène, toujours avoir des preuves sur sois, toujours.

Un des garçons de la bande commençait à s'approcher d'elle alors qu'elle faisait tout pour l'ignorer en accélérant le pas. Au bout de dizaines de secondes seulement le gars en avait eu marre et l'attrapa par le bras avant de balancer son corps contre le mur, laissant un cri aigüe sortir de sa bouche.

Ce cri avait fait créer un long frisson chez moi tandis qu'un sentiments s'emergeait en moi : La haine.

Je voulais la protéger, tuer tous les enfoirés qui avaient osés la toucher ou simplement la faire du tort.

Je voulais tout simplement la mettre hors du danger, je voulais rester à ses côtés pour savoir qui oserait l'approcher sans mon autorisation.

Alors je l'avais fait, je m'étais approché d'eux. Ce sentiment d'haine intense augmentait alors qu'ils passaient leurs mains affreuses sur sa douce peau.

J'avais éloigné vivement le premier salop d'elle alors que son visage affichait un air surpris, elle s'y attendait pas, je l'avais pris par le col et l'avait presque torturé de coup de pied, de poing, de tibia, de tête.

Les autres avaient fuit dès mon premier coup, c'est donc ça l'amitié ? C'est tellement fade et affreux, j'en étais terriblement dégouté.

J'avais pris par les cheveux le restant de corps part terre en le prévenant que s'il osait, lui ou ses potes, de toucher au doux cheveux de la brune je les enverrai à l'hôpital.

Livres D'O.SWhere stories live. Discover now