Chapitre 100 : Elle est en vie.

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Note d'auteur : Chapitre pourri en approche ! Je ne suis pas du tout satisfaite de ce que j'ai écris mais j'avais pas trop d'inspiration. Chapitre court, mais un second arrivera dans la journée ! Bonne lecture ! 😘

PDV JJ

Elle regarda le médecin, droit dans les yeux, cessant de respirer. Ses pensées allaient dans tous les sens, ses mains tremblaient, les larmes menaçaient de couler.

- Alors ? Réussit-elle à articuler, la voix tremblante.
- Votre amie est mal en point. La balle a touché plusieurs organes et l'opération s'est relevée compliquée. Durant l'opération, nous avons du lui faire une césarienne d'urgence. Les deux bébés vont bien mais sont sous assistance respiratoire, du à leur jeune âge.
- Est ce que je peux la voir ? Demanda la blonde, l'anxiété faisant surface.
- Je regrette mais non. Elle a besoin d'énormément de repos et nous l'avons mis sous sédatifs pour atténuer sa douleur.
- Merci monsieur.

Elle lui souria, un peu crispée et regarda le praticien s'éloigner avant de relâcher sa respiration. Elle savait pertinemment qu'il ne lui avait pas tout dit mais pour le peu qu'il avait avoué, ça avait suffit à l'inquiéter. Elle retourna dans la salle d'attente, quelque peu rassurée.

- Jack. On va voir papa ?

Le visage du jeune garçon s'illumina et il attrapa immédiatement la main libre de la belle blonde.

PDV AARON.

Il somnolait, tentant de lutter contre le sommeil lorsque la porte de la chambre s'ouvrit. Immédiatement, une tornade blonde lui sauta dessus, avant d'enfouir sa tête dans le cou de son père.

- Doucement Jack, souria JJ, attendrit face à la situation.
- Ça va aller, répondit le chef de la BAU, tout en serrant son fils contre lui. Je peux prendre Leandro ?

L'agent Jareau hocha la tête et déposa avec douceur le bébé dans les bras de son père.

- Merci de t'en être occupé.
- C'est normal, souria JJ, quelque peu mal à l'aise. Vous allez bien ?
- Blessure de guerre. Ça va aller. J'ai connu pire. Et Emily ?

Il vit JJ fermer les yeux et inspirer profondément. La sujet fatidique venait enfin d'arriver. Mais il n'en pouvait plus d'attendre, d'avoir aucunes nouvelles, d'angoisser et de retenir ses larmes afin de ne pas montrer sa faiblesse.

- Monsieur... Murmura JJ, désignant les enfants.

Il hocha la tête, compréhensif.

- Jack, tu veux aller chercher quelque chose à manger à papa ?Demanda t-il à son plus grand.

Ce dernier hocha la tête, tout content de sa nouvelle mission et sauta du lit de son père. Il sortit de la chambre en trottinant, non sans avoir claqué un baiser sonore sur la joue de son père, ce qui provoqua un petit rire chez les deux adultes. La porte de la chambre claquée, un silence quasi-religieux retomba dans la pièce. Sans un mot, Jennifer tira la chaise afin de l'approcher du lit.

- JJ...

La voix d'Aaron était suppliante. Il avait besoin de savoir, quitte à tomber des nues.

- Elle est en vie.

Il relâcha sa respiration qu'il ne se souvenait pas d'avoir retenu. Elle était en vie, c'est tout ce qui comptait. D'un signe de la tête, il encouragea sa subordonnée à continuer.

- La balle a touché plusieurs organes vitaux. Heureusement, ils ont réussi à la sauver mais elle est actuellement sous sédatifs pour ne pas souffrir.

Il hocha la tête, les yeux dans le vide, au fur et à mesure que les informations parvenaient à ses oreilles.

- Et le bébés ?
- Ils ont du lui faire une césarienne, je n'en sais pas plus.

Il s'apprêtait à répondre lorsque la porte s'ouvrit et que Jack fit irruption dans la pièce, des barres chocolatés à la main.

- Regarde papa !
- C'est bien mon grand. Tu peux en manger une si tu le souhaites.

Le jeune garçon ne se fit pas prier, visiblement affamé.

- Comment il va ? Demanda t-il à la jeune femme, tout en désignant son fils d'un signe de la tête.
- Il en a beaucoup trop vu pour son âge... Il a été voir une psychologue, tout à l'heure...
- Bonne décision.

Un silence gêné prit place. Un larme roula le long de la joue d'Aaron. Il l'essuya, rapidement, du revers de la main. Il devait être fort. Pour sa famille.

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Emily : "La fin d'une histoire est aussi le commencement d'une autre. La seule chose, c'est qu'on l'ignore à ce moment-là."

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