Amour Defendu - le secret TOME 1

Chapitre 12

Je suis en cours de sport. J'ai un legging de sport noir très moulant qui fait bien ressortir mes formes avec un débardeur bleu ciel et des basquets noirs. nous sommes dehors sur le terrain de foot, pour faire un match.

Les équipes sont mixtes, comme Arthur ne veut pas me lâcher il m'a choisie dans son équipe. D'un côté je suis heureuse qu'il l'est fait parce que le prochain à choisir était Damien.

Une fois les matchs finis je me dirige vers les vestiaires. Je remets mon skinny noir, mon t-shirt bleu foncé que je rentre dans mon pantalon et mes sandales compensé. Une fois fini je prends mon sac et sort.

Devant la porte Arthur m'attend.

-Tu as fini ? Me demande-il en me souriant et mettant sa main au bas de mon dos.

-Oui. Arrêt de me toucher s'il te plaît

On avance vers le parking et il laisse sa main.

-Non !

Je me retire énervé mais il me prend plus fermement par la taille.

-Tu étais le seul à avoir le droit de me toucher mais tu as préféré tout gâcher

On arrive devant sa A1 il m'ouvre la porte du siège passager puis il contourne la voiture pour s'installer.

-Tu dis était le seul au passé donc maintenant y a d'autres mecs que moi qui ont le droit de te toucher maintenant ?

Il a les deux mains sur le volant, il regarde la route tout en me regardant de côté.

-Qu'est que ça peut te faire !?

Il resserre les mains sur le volant.

-Émilie ne me cherche pas, je te promets que s'il y en a un autre je vais le tuer alors ne me cache rien

-OHH ça va hein ! Non y a personne d'autre, ni dans ma vie, ni qui a le droit de me toucher.

Je suis énervé contre moi qu'il est autant d'emprise sur moi donc je rejoute :

-Alors toi tu as le droit de t'énerver parce que je fais une allusion avec des mecs mais moi je n'ai pas le droit d'être rancunière parce que tu as couché avec moi puis partie pendant 2 mois pour aller t'en faire je ne sais combien d'autres

-Je t'ai déjà dit que ne je ne suis parti pour toi bordel mais vu que tu es une fille entêtée qui ne veux rien entendre ! Et j'ai couché avec des filles seulement quand je me bourrait la gueule pour ne plus penser à toi

-Donc moi aussi je peux me bourrer la gueule et aller me faire le premier qui passe !

-Emi NON ! Tu fais ça, je le tue et toi...

Il ne finit pas sa phrase.

-Et moi quoi Arthur ?

On arrive devant chez lui.

-Je t'enferme dans une maison et te laisse plus sortir

-C'est ça et tu crois que mon père te laisserait faire

-Si je lui dis pourquoi je pense il me laisse carte blanche avec toi

-Ah comme sa tu oserais me balancer franchement je me demande comment j'ai pu avoir confiance en toi

-S'il te plaît arrête de parler au passé, ça me fais mal de penser que tu ne me fais plus confiance et tu sais très bien que je ferai tout pour te protéger donc jamais je ne dirai ce que tu fais de mal ou qui pourrait déplaire à ton père.

-Je sais que tu me protégeras toujours mais tu sais aussi que si on est comme ça maintenant c'est à cause de ton départ sans nouvelle

-Je sais ! Dit-il d'une voix à la fois triste et énervée mais pas contre plutôt envers lui-même

Je vois qu'il n'a pas envie d'approfondir le sujet. Il sort de la voiture et je le suis jusqu'à l'entrée.

On entre dans leur grande maison . À peine la porte ouverte que je vois Sylvianne Scott m'accueillir

-Bonjour Émilie comment vas-tu ?

Je lui fais la bise.

-Bonjour, je vais bien...

Avant que je ne lui demande si elle va bien Arthur me coupe.

-Bon maman on va monter faire notre disserte

-Oui allez-si

Il me prend par la main et m'emmène vers les escaliers pour monter dans sa chambre. Cette chambre ou il m'a fait tellement de bien mais ou il a aussi commencé à me détruire. Il ouvre la porte et je reste figé devant. Il se retourne vers moi.

-Qu'est que tu as ?

Comme si je n'étais pas du tout affecté je rentre et m'installe sur la chaise de son bureau.

-Rien !

Il ne me pose pas d'autre question même si je sais qu'il me connaît très bien et ses exactement ce que j'ai.

On fait notre devoir tout le reste de l'après-midi on se parle mais je reste très froide en essayant de ne rien laisser paraître. Il est 17 heures et nous avons fini.

-Émilie arrête d'être aussi froide avec moi

Je me lève mais il se met derrière moi en me caressant tout le long des bras.

-Toi arrête, tu crois que sa a été simple d'attendre ton message toute la journée? D'apprendre de la bouche de mon père que tu es partis ? D'attendre toujours et encore des nouvelles, une explication qui ne viendra jamais ?

-Je sais tout sa mais je t'ai déjà dit que je suis parti pour toi je n'avais pas le droit de te contacter tu m'as toujours fait confiance alors continue

Je me retourne vers lui pour le regarder dans les yeux.

-Tu te rend comptes de ce que tu me dis, je t'ai faits confiance et regarde le résultat tu as coucher avec moi et tu es partie t'en faire d'autre je me demande même si tu avais vraiment rien fait avec une autre avant moi

-Tu doutes de ce que je t'ai dit avant tu es sérieuse ?

-Je sais pas ! Je sais plus Arthur ! Tu m'as faits trop de mal

Je commence à avoir des larmes qui me tombe. Il met ses mains sur mon visage pour me les essuyer. Je le laisse faire, je suis trop faible quand il me touche.

-Ce n'est pas ce que j'ai voulu

-Et pourtant !

Il me prend plus fermement mon visage et scelle ses lèvres avec les miennes. J'entour son coup de mes bras et le prend par les cheveux. Il grogne de plaisir et me rapproche de son corps jusqu'à ce qu'on soit collé l'un l'autre. Il demande accès à ma bouche que je lui donne. Je sens ses mains glissées le long de mon corps jusqu'à qu'il me prenne par les hanches. Tout en m'embrassant il commence à avancer. Ne pouvant pas marcher avec toutes ces émotions j'entoure ses hanches et resserre mais bras autour de son cou et m'accroche à ses cheveux plus fermement. Pour que je ne tombe pas il passe ses mains sur mon cul. Je sens le mur contre mon dos. Je commence à me reprendre en me décalant mais toujours dans ses bras. Il me regarde dans les yeux, il faut que je parte sinon je vais retomber.

-Ar...thur pose-moi s'il te plaît

Sans rien dire il me fait glisser le long de son corps et c'est à ce moment que je sens la bosse dans son boxer. Il met une main de chaque côté de mon visage sur le mur.

-Je te promets que je ne voulais pas partir s'il te plaît écoute mon explication

-Non Arthur maintenant c'est trop tard. Tu ne voulais pas partir mais tu l'as faits...

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