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Louis Tomlinson

-Il ne s'est rien passé.

Voilà ce que je réponds à l'infirmière, la gorge serré après de longues minutes de silence. Ma réponse est très peu crédible, je le sais, mais je n'ai pas franchement trouvé mieux. Qu'aurais-je dû lui dire? Que je me suis fait attaquer par un animal? Que je suis tombé? Que je me suis pris un mur? Je pense que nier la vérité est bien mieux que ces excuses bidon que j'ai pu trouver. Je sais déjà qu'elle ne me croit pas, c'est une évidence. Personne ne croirait à ce mensonge à part une personne naïve ou simple d'esprit. Mais de toute façon je ne peux et veut rien dire à ce sujet. Il n'y a pas qu'Harry qui me retient de tout révélé. Il y a la honte et la peur qui m'en empêche. Je suis effrayer rien qu'à l'idée de penser que mes parents pourrais être au courant de ce qu'il m'arrive, j'ai peur qu'ils soient encore plus déçu et dégoûtés qu'ils le sont déjà.

-Louis...

Soupire la femme d'une trentaine d'année. 

-Si tu te fais intimider il faut le dire.

-Je ne me fais pas intimité. Bégayais-je la voie tremblante, mais heureusement pour moi personne n'à sembler avoir remarqué mon malaise.

- Tes parents sont dans le bureau du directeur, vous discuterez de ce qu'il s'est passé aujourd'hui et tous les autre jours.

- Je ne vois pas de quoi vous parlez. Répondis-je sèchement.

L'infirmière soupira et se leva après avoir vérifié mon état de santé. La dernière phrase de l'infirmière a eu comme un effet de bombe pour moi. Mes mains se sont mises à trembler de peur. Le peur de faire face à mes parents s'installa, me donnant la boule au ventre.

- Je pourrais venir avec toi Louis, pour témoigner et t'aider en tant qu'ami. Dis hypocritement Harry avec son fichu sourire en coin.

Ami, ce mot me fait bien rire, surtout venant de lui. Connait-il la définition d'ami? Pourquoi veux-t-il venir m'accompagner chez le directeur? Qu'est-ce-que cela va lui apporter? Nous restons dans un silence pesant après que l'infirmière ais trouvé que l'idée d'Harry était merveilleuse. Mes yeux restent verrouillé au regard perçant et envoûtant du bouclé pendant que l'infirmière finis de remplir une tonne de papier.

Après quelques minutes, nous sortons tous les deux de l'infirmerie, nous dirigeant vers le bureau du directeur, lui d'une démarche énergétique et moi, d'une démarche lente tel un robot.

- Tu as intérêt à te taire, à ne rien dire et à ne dénoncé personne. Dit le brun à coter de moi, d'un air menaçant.

-Pourquoi as-tu insisté à m'accompagner? Chuchotais-je en ignorant sa remarque tout en continuant mon chemin dans les couloirs vide et silencieux du lycée.

-Il y aura surement des informations disons... très intéressante sur toi, n'oublie pas que je fais ça dans un but unique.

Je n'ajoute rien sachant pertinemment que cela ne sert à rien de parler avec lui, sauf si je veux m'attirer des ennuis. Arrivé devant le fameux bureau, alors que j'allais toquer à la porte. Harry m'attire et me pousse contre le mur. Effrayer je ferme les yeux et murmure:

-Ne me fais de mal.-Je n'ai encore rien fais. Répond-t-il.

- Ouvre les yeux.

Je n'obéis pas et garde les yeux bien fermer, son souffle tape contre mes lèvres ce qui réussit à me perturbé.

-Ouvre les yeux. Répète-t-il d'une voie plus dure.

Cette fois je fais ce qu'il me dit et ouvre les yeux. Je sursaute en le voyant aussi prêt de moi. Un petit sourire sur les lèvres, je vois ses yeux me détaillé. Je retiens mon souffle, comme si la pression était trop forte. Mon tic nerveux apparaît soudainement, me forçant à trituré ma lèvre avec mes dents. Un grognement sourd s'échappa des lèvres roses et légèrement pulpeuses d'Harry. Bien qu'il soit plus petit que moi, j'ai l'impression d'être minuscule face à son regard de braise. Ces mains se posèrent de part et d'autre de ma tête reposant sur le mur qui me soutient. Mon regard est plongé dans ces yeux verts. Je ne pense plus à rien. A cet instant il n'y a que lui et moi. Doucement, je vois le visage d'Harry se rapprocher petit à petit de moi. Mon cœur bat étrangement vite, même trop vite. Une sensation inconnue prend place dans le creux de mon ventre. Puis tout à coup, il y a à nouveau se courant électrique, mais cette fois lorsque ces lèvre douces et charnues se posent avec délicatesse sur ma joue. Ces lèvres remonte puis redescend embrassant parfois ma joue, parfois le coin de mes lèvre ou encore d'autre fois ma mâchoire ou le début de mon cou. Puis je sentis son corps se raidir et il recula précipitamment. Son regard qui était avant doux est redevenu dure et froids.

-Oublie ce qui vient de se passer. Murmure sévèrement Harry en enfonçant ces mains dans les poches de son pantalon.

J'hoche rapidement la tête, les joues rouges et me dirige à toute hâte vers la porte du bureau. Je toque puis entre après avoir entendu la permission du directeur. Ma respiration est encore saccadée mais j'essaie de prendre un air calme, alors que je suis encore tout étourdis par les événements passé. La première chose que je vois en entrant, c'est le regard assassin de mes parents, ce qui me calma très vite, me faisant revenir à la réalité. Je baisse immédiatement la tête. Je m'installe en silence sur l'une des deux chaises vide loin de mes parents alors qu'Harry se place à mes coter. Le directeur commence alors à raconter avec Harry comment ce dernier ma retrouver et dans quel état j'étais. Je ne dis rien pendant tout ce temps, jusqu'à ce que l'on me pose la fameuse question.

-Que t'est-il vraiment arrivé Louis?

-Il ne met rien arrivé. Soupirais-je ennuyer.

-Alors comment se fait-il que tu sois dans cet état? S'exclama le directeur.

-Je ne sais pas, j'ai juste perdu connaissance. Mentis-je à nouveau.

-Cela ne sert à rien de mentir! Que t'est-il donc arrivé toutes ces autres fois?! Louis, tu es déjà allé voir la psychologue de cet établissement et tout le monde à remarquer que quelque chose n'allais pas.

-Comme quoi?! M'énervais-je.

-Tu es toujours seul, surtout depuis que ton ami est parti, cette histoire à peut-être avoir avec lui? Le personnel de l'établissement à remarquer que le comportement des autres élèves n'était pas vraiment sympathique envers toi. Il te suffit seulement de nous donner des noms et le problème sera réglé.

-Je ne peux pas vous donnez de nom, vue qu'il n'y a personne qui me crée de problème. Puis n'accusez pas mon ami comme vous dites, il n'a rien avoir avec ça.

Le directeur soupire vaincu. Au bout de quelques minutes dans un silence pesant, mes parents décident qu'il est temps de partir et que je ne retournerais au lycée que demain. Je l'ai remercié intérieurement pour leur décision qui est pour moi comme un soulagement. Pour une fois qu'ils font quelque chose de bien. Me voilà donc dans la voiture sacré de mon père en direction de notre maison. C'est comme un soulagement pour moi de savoir que je vais passer le reste de la journée loin de ces brutes et loin d'Harry. D'ailleurs je n'arrête pas de repenser à son comportement tout à l'heure. C'était tellement étrange, mais pourtant plaisant.

Alors que je profitais de mes instants de paix, il a fallu que mes géniteurs commencent à me crier dessus. Bien évidemment je n'ai rien dis, je me suis contenter de tout me prendre dans la tête. J'étais pourtant perdu dans mes pensées, pensant à des milliards de choses. Pourtant une phrase que prononçais ma mère attira mon attention et eu l'effet d'une bombe.

-Louis, tu vas aller vivre durant un moment chez Harry et ses parents, ton père et moi partons vivre en Australie la semaine prochaine.

I'm Still Loving u. [Larry]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant