Chapitre 12 ➖

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Léna :
Penchée sur le rebord de la fenêtre, j'observe la rue vide sans trop porter attention car tout mon être est bien trop occupé par <lui>, ma tête avait  imprégné son visage si magnifique au trait durs et charismatique, son corps si puissant et imposant à la fois, c'est effroyable de perdre tout bon sens en sa présence, mes sentiments ainsi qu' émotions s'entrechoquent constamment en sa présence.
Une brise d'air frais fait survolé quelque mèches et je frissonne sous le courant d'air qui s'élève.

- Rentre, tu vas attraper froid, la voix de mon père raisonne de la cuisine.
Je referme la fenêtre et tire les rideaux, je franchis les quelques pas pour rejoindre mon papa chéri.

Je me mis sur la chaise haute et m'accoude sur le plan de travail.

-Tu pars pour combien de temps ?
-Trois jours ou plus tout dépendra des réunions et les dégâts causer par les anciens chef de section de la société.
-Tu va me manquer, je ne peux empêcher cette petite moue triste.
-C'est bien de le savoir car j'avais un peu perdu espoir en te voyant noyer dans tes rêves.
-Même pas vrai papa.
-Ta petite tête est bien trop occuper par se charmant garçon, en parlant de lui il ne te raccompagne plus ?

Hum comment explique ça à mon père ? Que mon beau et ténébreux bad boy ne me donne plus signe de vie.

Et sa depuis une semaine. Et oui sa fais bien sept jours que je n'ai plus aucun signe de lui.

-Il est occuper papa, sûrement des affaires de famille, un sourire forcé et mon père vient déposer un baiser sur mon front.

-Prend soin de toi, verrouille la porte et n'ouvre a personne.
-Je ne risque rien dans quelques jours je reprends le boulot, la clinique, les permanences alors ne crains rien.

Il s'en va suite à ses nombreuses recommandations et je verrouille la porte derrière lui.

Affaler sur mon canapé, je regarde se documentaire sur les animaux sauvages mais mon esprit est tellement loin.
Ca fais bien des jours que je n'ai plus aucune nouvelle de mon sauveur mystérieux et terriblement sexy et sa me rend malade.

Un orage éclate me faisant sursauter, je m'empresse de refermer les fenêtres qui ont cédés au vent et à l'orage, suivie d'une pluie torrentielle.

-Quel temps de chien fait-il, pensais je à haute voix.

Lorsque je tire le rideau, j'aperçois cette silhouette, cette carrure que je connais comme ma poche.
Adosser à sa voiture de luxe, sa capuche sur sa tête comme il aime si bien le faire, il est tellement séduisant ainsi.
Sans réfléchir une seconde, je cours à l'extérieur et rejoint l'homme qui a fais de mes nuits un rêves sans fin.

Je cours sous la pluie, ignorant le vent glaciale qui fouette ma peau, cette dernières s'hérisse au changement de température brusque.

J'arrive essouffler à son chevet, toute tremblante, dans un état piteux, tremper jusqu'au orteils, mes cheveux qui partent dans tout les sens et mon pijama qui me colle à la peau.
C'est sure je suis pitoyable dans se look d'enfer.

Mais je suis trop absorber par ses yeux brillant qui me scrute durement, je le vois retirer sa veste et me l'enfiler autour des épaules, sans dire un mot je me laisse faire en me rinçant l'œil de sa beauté.

Mais putain qu'es ce qu'il m'a manquer.

Sa voix rauque me ramène à la réalité.

-QU'ES QUE TU FOU BORDEL ? TU VEUX MOURIR ???

Honteuse, je fuis son regard n'ayant aucun justificatif, je retire sa veste mais il gronde et me l'a remet brusquement.

Je le sent se détendre un peu et franchit les quelques pas qui nous sépare, il se baisse à la hauteur de mon visage. Son souffle chaud percute ma peau geler et me fait frissonner, il a une emprise démoniaque sur moi et c'est terriblement intimidant, encore une fois je croise le bleu océan et je peux lire aisément plein d'émotions parmi eux.
De la joie et de la colère, oops peut être que j'ai énervé le grand méchant loup.

- Hem qu'es que je vais faire de toi chaton ? chuchote t'il tout bas, me faisant revenir à la réalité.

Un simple petit mot, engendre une marré de sensations qui s'entrechoquent dans mon être et je devine aisément le rouge écarlate qui tinte mes joues rouge à son surnom plus que mignon, je rassemble le peu de courage qui me reste pour lui souffler quelques mots.

-Ne plus me laisser, dis je sur le même ton que lui.

Mon bad boy penche sa tête et arc un sourcil, l'orage retentit et j'hoquète de surprise.

D' une légère pression au creux de mes reins, mon coeur loupe un battement et mon ventre se noue, mon sang pulse dans mes veines et je me mord la lèvre en appréciant son toucher et sa proximité, malgré le tissus qui fais barrière entre sa main chaude et ma peau tremper.

Je reprend mes esprits et me laisse conduire vers la maison par sa main chaude et insistante.
En un rien de temps, il referme la porte derrière nous et m'intime de sa voix autoritaire.

-Vas te changer, je te prépare quelque chose de chaud à boire.

Toujours autoritaire, toujours des ordres mais c'est tellement séduisant venant de sa part, ça correspond avec son allure de dominant.

Avant de m'éclipser dans la salle de bain, je cherche une serviette propre pour lui donner et qu'il puisse se sécher à son tour.

Je lui tend et il me regarde intensément de ses iris bleu, je détourne le regard et file comme un boulet dans ma salle de bain .
Après m'avoir bien sécher et changer de pijama j'opte pour un simple jogging gris.

Je ramasse mes cheveux en chignon et descend le retrouver en cuisine, avec une seul idée en tête, savoir pourquoi il a disparu sans aucune trace.

J'arrive en cuisine et..


Oh putain, il était torse nu, je vais mourir sur place, creuser ma tombe, je suis prête à mourir en paix.
Non de dieu se qu'il est sexy de dos, ses muscles et sa carrure d'Apollon.
Je bave littéralement sur lui, trop occupé à contempler mon fantasme vivant et sans pouvoir réagir, il se retourne brusquement en me faisant face ....
LA HONNNNNNNNNTE, IL MA PRISE EN FLAGRANT DÉLIT !

Approche Toi mon Ange..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant