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Je m'approche de lui et dépose mes lèvres sur les siennes une fraction de seconde. Avant qu'il n'ait eu le temps de le réaliser, je me suis déjà décollée. Je suis assez proche de lui pour que nos lèvres se frôlent parfois, il tente de reprendre le contrôle en tentant de capturer ma bouche, mais je ne lui en laisse pas l'occasion.

Je vais doucement mordiller son lobe d'oreille, ma langue glisse contre sa peau caramel, je prend plaisir à l'entendre soupirer, ses bras tentent de se libérer de leur entrave.

Mes doigts caressent chaque centimètres de peau qu'ils peuvent atteindre, ses épaules, son torse, aucun endroit n'est laissé vierge. Alors que ma bouche se joint à la danse, une de mes mains va ouvrir son jean.


« Sayaka....soupire t-il de plaisir

-oui Daiki ?

-s'il te plaît ne me laisse pas comme ça.

-c'est vrai que tu as été un gentil garçon, je vais te retirer un malus »


Alors qu'ils'attendait à voir ses bras libérée, je décide de lui rendre la vue, sa torture ne fait que commencer. Il cligne des yeux plusieurs fois avant de retrouver parfaitement son acuité visuel, je profite de se moment d'inattention pour me glisser sur ses cuisses, et m'asseoir. Je profite de cette proximité soudaine pour me coller contre lui. La chaleur de son corps se diffuse dans le mien, et semble réchauffer tout mon être.

Daiki est toujours attaché mais le bougre réussi à prendre le dessus, il démarre une danse humide dans mon cou, sans que je m'y attende il plante ses dents dans mon cou, pas assez pour me faire une marque. Cette action à pour résultat de me arquer le dos, alors que je lève la tête il embrasse ma mâchoire et change de côté. Alors que je me laisse submerger, je prends conscience qu'il suçote mon cou à plusieurs endroits.


Je reprends mes esprits et m'éloigne de mon amant, sous son regard mécontent. Je me place assise devant lui, je suis rouge de gêne en pensant à ce que je vais faire mais, je sais que cela va lui plaire.

J'inspire le plus d'air possible, puis une fois que celui expulsé hors de mes poumons,je me sens détendu. Mes yeux se perdent dans ses orbes bleus, mes mains viennent alors caresser ma poitrine, l'effleurant au départ,puis de temps à autre, je saisis un de mes seins, pour appliquer un massage plus intense. Le bleu face à moi, se mord la lèvre inférieur, ses yeux regardent attentivement les mouvements de mes mains. Une de mes mains s'aventure une zone un peu plus au sud, elle caresse mon entrejambe à travers le dernier bout de tissu qui me couvre.


C'est trop pour Aomine qui se jette tant bien que mal sur moi, il s'est effondré sur moi de tout son poids, il tente de rendre cette position moins pénible, il m'embrasse avec fougue, forçant le passage avec sa langue. Seul le manque d'oxygène nous fait nous séparer.



« Sayaka détache moi.

-pas encore Daiki.

-Tu l'auras voulu chérie »



Sans que je m'y attende, il réussi à se libérer, il a réussi à tordre le morceau métallique qui maintenait le bout de cuir en place. Il ne perd pas de temps, il me plaque contre le matelas et s'attaque à ma poitrine,la langue glisse contre le petit bout de chair rosé surplombant mon sein, ses lèvres l'entourent et copie l'action d'un nourrisson, il change de victime, laissant le torturé entre de bonne main. Il écarte mes cuisses de ses grandes mains, son visage se fraye un chemin jusqu'à mon bas ventre. Il embrasse le haut de mes cuisse, en faisant bien attention de laisser une certaine zone insatisfaite.Alors que ses lèvres caressent la peau intérieur de mes cuisses, se rapprochant dangereusement de mon entrejambe.


« D-daiki q-qu'est ce que tu fais ?

-détends toi, je ne te ferais aucun mal tu le sais »


Je tente de me détendre, en reprenant une respiration normal, mais les lèvres de mon bien aimé rencontre cette zone entre mes jambes encore couverte par un tissu. Mon dos se arque, je ne contrôle plus la situation et me laisse glisser vers le plaisir. Je cherche désespérément un contact avec Daiki, il plonge son regard dans le mien, son visage remonte, mais redescend bien vite, il saisit l'élastique de mon sous-vêtement et et me le retire avec ses dents. Cette vision me fait frissonner, il reprends sa position entre mes cuisses et commence une danse sensuelle et humide.


« Ah...d-Daiki... »


De ses grandes mains il tiennent fermement mon bassin qui ne peux s'empêcher de faire des mouvement pour approfondir le contact de sa langue sur mon sexe. Alors que je me cambre de plaisir, sa langue se faufile dans un endroit encore vierge. Son muscle plonge en moi, et je me rends compte à quel point cette situation m'excite. Il se délecte du liquide produit à cause du plaisir que je ressens.

Mon corps se contracte, chaque muscle se tend, je plonge mes doigts dans la chevelure, ma respiration est de plus en plus saccadée.


« Daiki..... ! »


Il ne peut pas me répondre d'où il est, mais je sens que lorsque je prononce son nom, il me donne encore plus de plaisir, comme pour m'encourager à me montrer plus bavarde.

Sa langue touche un point très sensible, s'il continu à jouer ainsi, je vais être consumée par le plaisir avant que lui est le temps d'être satisfait.


« D-Daiki....s'il te plaît....

-Dit moi ce que tu veux princesse. »


Mon petit ami se détache de mon sexe pendant quelques secondes ce qui me permet de remettre les pieds sur Terre, il répète sa dernière phrase, je comprends que je n'aurais le droit à rien de plus à moins de lui demander. Mes joues s'empourprent, je fuis le regard de mon homme alors que ces mots sortent de ma bouche.


« Daiki,f-fais moi l'amour »



Kuroko's Basket: Aomine x oc FROù les histoires vivent. Découvrez maintenant