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Hellooo :)
Ce chapitre ne me satisfait pas (U-U*) Pourtant j'espère toujours qu'il vous plaira ehehhh merci d'être là!
Il faudrait peut etre que j'écrive la suite et que je commence à avoir un rythme régulier pour poster x)
(Sorry pour labsence mais vacances oblige)
Une seule phrase résonnait dans ma tête.
"Réveille toi, Anastasia."
Comment cela pouvait être réel?
Un Homme avec une vie éternelle, ça ne peut exister.
Pourtant ses propos se tiennent, il n'a pas l'air ivre, ni défoncé.
Du bout des lèvres, j'arrive à bredouiller quelques mots.
-Ce... ce que tu dis est vrai? Vraiment? Tu ne cherches pas à te moquer de moi?
-Non voyons. Je peux même te dire comment s'appelle ta grand-mère, et où elle vivait quand je l'ai rencontrée.
Je l'interroge du regard.
Pour le tester, car une partie de moi le croit, je pense très fort "dit le moi.".
Joséphine. Elle s'appelait Joséphine. Son père était français, c'est de là qu'elle tenait son prénom. Quand je l'ai rencontrée, elle avait une vingtaine d'année, et vivait à Chambéry.
Je sais qu'elle est Russe, du moins que sa mère l'étais.
Un frisson me parcourt l'échine.
Alors, c'est vrai.
Autrement, je ne vois pas comment un parfait étranger pourrait savoir autant de choses sur moi, et surtout lire dans mes pensées, et pouvoir me parler... uniquement dans ma tête.
J'écrase ma cigarette sur le sol.
-C'est bon, je te crois... enlève ton chapeau, que je vois mieux ton visage.
Maxime m'obéit. Je découvre des cheveux blancs comme neige, qui lui descendent un peu dans le cou en de petites mèches qui rebiquent. Certaines de ces mèches lui tombent sur les yeux, qu'il a d'un noir profond. Sa bouche est si fine qu'elle semble dessiner un trait sur son visage, un trait aux couleures rosées.
Il a des pommettes hautes, il sourit et je vois une faussette apparaître sur sa joue.
Je détourne le regard et m'assoit dans l'herbe à côté de lui.
-Je n'aime pas les gens, dis-je.
-Moi non plus, pas tant que ça.
-Tu à un téléphone portable?
-À quoi cela me servirait-il, Annie? Lance-t-il en riant.
-Oh, je suis bête.
-Mais non.
Il dit ces mots comme si c'était une évidence, avec une voix très douce.
Il lève la tête vers le ciel.
-Je vais m'autoriser à m'attacher à toi, Anastasia.

AnnieWhere stories live. Discover now