Partie 81 ( 2ème partie suite) :

5.9K 382 50
                                    

Ryad : Sale enculer personne touche à ma sœur !!!!!

Tout d’un coup, Ryad est arrivé et lui a foutu une patate dans la gueule de Younes. Il me relâcha surprit par le coup tandis que je toussais essayant d’absorber toute l’air de la pièce. Sophia et
Farès se précipitèrent directe vers moi. Ils me demandèrent si j’allais bien mais trop épuisé pour leur répondre, je hôcha la tête frénétiquement.

Farès : Je vais le tuer, c’est mort, dit-il avec une voix grave énerver mais au moment de se relever je lui retiens son bras.

Moi : Stp ne fais rien…..toussement, il n’en…toussement… vaut pas la peine…toussement*

Je l’implorais du regard de ne rien faire. J’en avais assez puis quelques minutes plus tard, il se rétracta à mon plus grand soulagement. Je vis les gars retenir Younes pour pas qu’il revienne à la charge pour se déchainer sur Ryad. Mais avant de sortir de l’appart’, il me regarda avec tout la haine qu’il éprouvait.

You : Tkt pas salle pute, ce n’est pas finit entre nous. Demain wallah il va venir te khtob avec sa miff et ta intérêt à dire oui pour le mariage sinon je vais te faire la misère. L’enfer lui sera rien à côté. * rire de jnoune* Faress arrive vers lui et lui décrocha de nouveau une patate dans la gueule*

Younes fit un rire nerveux puis nous regarda tour à tour avec Farès avant de cracher par terre et se faire sortir par les mecs.

Quand la porte se referma, je ressentis un grand vide en moi. Voilà, à quoi se résumait ma vie dès à présent me marier de force avec un homme que je n’aime pas. Je savais que j’avais un pressentiment. Les larmes continuèrent de couler en silence personne parlait. Seule Faress me prit dans ses bras et me répétait que tout allait bien se passer sauf qu’il a mentis rien ne se passerais bien désormais on était maudit. La seule chose qui me permettait de ne pas m’évanouir c’était ses gros bras qui me serrait et me retenait comme si c’était la dernière pourtant j’ai dû y mettre fin à cette étreinte. Faress ne comprit pas ma réaction et reéssaye de me reprendre dans ses bras mais je reculais.

Moi : Non. Stop. Eloigne-toi de moi.* je me retourne vers les autres qui m’adressait un regard que je détestais* Et vous, arrêter je ne veux pas de votre pîtiez ! J’en pas besoin ! Allez tous au diable !

Je les regarde une nouvelle fois avant de courir jusqu’à ma chambre t de la fermer à clefs.

: Mia putain, ouvre cette putain de porte !

Je pouvais encore entendre de grands coups retentir, c’était Faress qui me supplia de l’ouvrir mais c’est. Je voulais rester seule dans mon chagrin et ma solitude. Je l’entendis partir. A ce moment j’avais mal oh oui tellement mal que j’éclate en sanglot. Mes larmes coulait pire qu’une fontaine je ne pouvais plus m’arrêter. Je devenais presque une hystérique. Je décide de me lever en furie. La tristesse laisse place à la colère. Je commence à  tout foutre parterre et à tout balancer, à crier. Seule le chagrin, le désespoir me guidais à force que les images de cette soirée se déroulais. Je pouvais entendre du bruit derrière la porte et mon nom retentir pourtant je ne fis attention, j'étais possédée.

Je prends les coussins et les déchirent. Je continue de hurler, j’avais besoin de me libérer. J’ai au final tout saccager et détruit dans ma chambre. J’admire mon chef d’œuvre. Des bouts de verres des cadres étaient éparpillés sur le sol ainsi que les plumes de coussins. J’en ai assez de souffrir et tout ça à cause de qui de Younes !!! Ma vie rime avec SOUFFRANCE ! Pas besoin de mot pour décrire ce que je ressens seule mes actes compte. Pourquoi quand je retrouve la fois et le bonheur tout se brise en morceaux ?
Je ne comprends pas la réaction de Younes et je sais que je me suis emporté en disant des choses horribles qu’ils regrettent tous sans exception. J’avais réanimé de vieux souvenirs douloureux et réouvert les plaies. Mais la douleur et la rage sont présentent et à vrai dire je m’en foutais complètement de ce qui ressentaient. Ils n’avaient pas vécu ce que j’ai vécu ou plutôt subit. Je les ai pardonnez mais je n’ai pas oublié, rien ne peux me faire oublier ce calvaire.

Chro : On m'a renié à cause de mon physique mais je reviendrais pour me venger Où les histoires vivent. Découvrez maintenant