Chapitre 16

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- Tu peux nous dire pourquoi tu nous as demandé de te suivre? Me dit Léa essoufflée.

- Oui bien sûr, dis-je en cherchant les garçons, tu te souviens quand on était dans Paris ?

- Ouais.

- Tu te souviens de la tradition des anniversaires ?

-Oui, quand la personne qui fête son anniversaire se fait courser et qu'on lui envoie tous les ingrédients pour faire un gâteau.

- Ouais, c'est exactement ça. Bah, aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Jacob Whitesides, et les Magcon ont décidé de faire la même tradition.

- Cool, j'ai trop envie de voir ça, s'exclame Léa, mais ils sont où ?

- Bah, c'est ça que je me demande. D'habitude, ils ne sont jamais loin de la cantine, mais là, ils ne sont pas là donc il essaie de faire en sorte que je ne les trouve pas, mais c'est mal me connaître. Je suis comme notre ancien principal à Paris, je suis un fantôme.

- Ah ouais, je me souviens dès qu'il y avait une bagarre, il sortait de nul par et c'était toujours le premier qui arrivait pour arrêter la bagarre. Et à chaque fois qu'il emmenait les deux bagarreurs, il les attrapait par l'oreille. Se rappelle Théo, et vous vous souvenez de la phrase qu'il disait à chaque fois qu'il y avait quelqu'un qui insultait une autre personne.

- "Je devrais vous laver votre langue avec du savon noir pour que vous arrêtiez de dire des vulgarités." Dit-on nous ensemble.

- Ah ouais et puis il y avait aussi les fois où on était en perm et on voyait un élève courir et puis tout d'un coup, on entendait le principal arriver en criant " venez là que je vous tire les oreilles" à chaque fois l'élève, il se faisait arrêter au moment où il pensait avoir semé le principal. Répliquai-je.

- Ah M. Forestier, c'était le bon vieux temps, nous lamentons-nous.

- Bah dit donc je ne pensais pas que c'était aussi amusant dans votre ancien lycée. Dit Mag.

- Ah, tu ne peux pas t'imaginer. Tous les jours, on était mort de rire. À tous les cours. Souffle Théo.

Et c'est à ce moment que le groupe de garçon passe juste devant nous telle une voiture de course de F1 soulevant un voile de poussière sur leur passage.

- Il y a pas quelque chose qui vient de passer? Questionne Théo encore bloqué face à lui comme nous toutes d'ailleurs.

-Oui, je crois bien puisqu'il y a de la farine parterre. Dis-je en sortant de ma position et en regardant vers où vont les traces de farine. Si je les attrape, ils sont tous dans la merde.

-Comme d'hab, souffla Mag. Bon ! On y va ou on attend le père-noël ?

- Oh, ça va, m'exclamai-je.

Nous suivons les traces de farines au sol, bien sûr en courant sinon nous risquons d'arriver trop tard. Quand nous réussissons à les rejoindre ils étaient tous en train de se jeter de la farine tout en dansant et chantant bang bang bang des Bigbang.( nda: désolée, mais j'étais obligé, j'adore trop la Kpop.)

- Putain , la classe, ils connaissent la Kpop et pas seulement Psy, dit Eléanore en rejoignent les garçons pour danser la chorégraphie avant de faire du freestyle, désolée, mais je ne peux pas résister, c'est de la Kpop!

- Attends-moi, dit Théodore en la rejoignant.

- Punaise je suis vraiment mal entourée, dis-je en frappant mon front avec ma paume.

- Arrête de dire ça, dit parasite en arrivant derrière moi, tu fais exactement la même chose, sur exactement le même genre musique. Et c'est moi qui suis-je obligé de te rappeler à l'ordre après.

A cause d'un pariOù les histoires vivent. Découvrez maintenant