Happily Never After [ Traduction Française ]

Chapitre 1 - La rencontre Royale

- Rappelez-vous, Mesdemoiselles, soyez polies. Le Prince est à la recherche de son épouse.

Les gens me rendaient folle avec cette phrase. Je voulais hurler à chaque fois que je l'entendais. Je voulais dire, tout le royaume en parlait. Parler de la façon dont le Prince allait avoir à se marier bientôt, parce qu'il était sur le point d'avoir vingt ans, dans quelques semaines. Pourquoi se marier à vingt ans ? Le Roi avait ordonné à son fils de se marier avant qu'il ait vingt ans, afin d'assurer que la famille royale aient des héritiers mâles. Alors, évidemment, pour eux, se marier signifiait avoir des enfants tout de suite après, et la fiancée du prince aurait à faire des enfants jusqu'à ce que le couple ait un garçon. Le problème, cependant, n'était pas la tradition bizarre. Le problème était que le prince Louis était loin d'être apte à être père. C'était un coureur de jupons. Le pire, c'est qu'il avait glorifié le titre.

Les médias avaient beaucoup parlé de ses " aventures ", mais les gens du Royaume d'Headow ne s'en occupaient pas. Ou peut-être qu'ils le faisaient, mais ils n'avaient pas osé parler à tort sur ​​un membre de la famille royale, car il y a 10 ans, une personne l'avait fait et avait été tué. Si l'école m'avait bien appris quelque chose d'important pendant toutes ces années, c'était de ne jamais manquer de respect à la famille royale, que ce soit verbalement ou par tout autre moyen.

Quoi qu'il en soit, nous approchions rapidement de Décembre, et le Prince Louis Tomlinson avait envoyé une déclaration mentionnant qu'il était à la recherche de sa fiancée, et que toutes les filles ayant l'âge de se marier, ce qui signifiait plus de 18 ans, pourrait lui rendre visite au château. Il ne fallut pas longtemps avant que les filles fassent la queue devant sa porte, mais je n'étais pas l'une d'elles. Oui j'étais de l'âge. J'avais dix-neuf ans, s'apprêtant à avoir vingt ans au mois de Février. Le truc, c'était que je pouvais lire facilement entre les lignes. Il voulait baiser autant de filles que possible avant d'être enchaîné à une femme.

Pathétique.

J'étreins mon sac car l'air froid d'automne d'Headow me mordait la peau. En rentrant du travail, les rues étaient si calmes, je grimaçai quand je vis encore une autre déclaration publiée sur le mur. Je regardai autour et m'assurai que personne ne me regardait, avant de déchirer le papier avec le visage du Prince sur le mur.

Je détestais le prince pour trois raisons principales. Tout d'abord, il était absolument magnifique, donc c'était difficile de lui dire non. Ses yeux étaient d'un bleu turquoise envieux, il avait les cheveux brun clair varié placé de façon désordonnée sur sa tête, et ses lèvres semblait juste embrassable. Deuxièmement, il traitait les femmes comme des objets. Et troisièmement, bien qu'il était riche, et qu'il aimait afficher son argent. Le moins qu'il puisse faire, était au moins d'en donner à ceux qui en avaient besoin. Les personnes pauvres, sans-abri qui mendiaient pour se nourrir pourraient utiliser £ 20.

Je roulai la Déclaration en une boule, que je jetai haineusement dans une ruelle à proximité, et continuai à marcher la maison en silence. Quelques minutes plus tard, j'arrivai à une modeste maison en bois. Je m'arrêtai devant celle-ci et soupirai en regardant la faible fumée sortant de la cheminée, la petite balançoire sur l'arbre et les murs de la maison à moitié mangés par les termites et autres insectes.

Secouant tristement la tête, je marchai jusqu'à la petite voie en pierre et frappai à la porte deux fois avant de l'ouvrir.

- Hé, je suis à la maison. Dis-je, en fermant la porte derrière moi.

- Belle ! Belle ! Belle ! Crièrent les jumeaux avec enthousiasme tandis qu'ils couraient hors leur chambre, le bruit de leurs petits pieds résonnant sur ​​le plancher en bois.