Chapitre 8

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Point de vue Mathilde

Je dévisageai les deux garçons, je cherchai dans mon esprit qui ils pourraient être mais je ne trouvai rien.

Julie : Ok, je vais t'aider, ce sont des joueurs de foot de l'équipe de France ! Avec un large sourire qui veux tout dire.

Et pour me venger d'avoir répondu à voix haute, je m'exprimai aussi à voix haute et bien compréhensivement.

Moi : Ha ! Tu veux dire le vrai petit Varane, celui qui a sa photo partout dans ta chambre et celui que tu idolâtre 24h/24 et 7h/7.
Et le vrai Griezmann celui dont tu m'as forcé à prendre le tee-shirt !

Julie : Super gêné par rapport à la première partie de ma phrase. Et bien oui MAIS TU N'ÉTAIS PAS OBLIGÉE DE LE DIRE À VOIX HAUTE !!! Un tout petit peu énervé.

Antoine : Mais c'est pas grave, au moins on sait tout.

Raphaël : Oui il a raison, au moins c'est clair.

Il y eu un blanc de quelques minutes puis on rigola.
La porte s'ouvrit et laissant apparaître le médecin, il entra :

Le médecin : Et bien je vois que Mlle Pluviot est réveillée.

Julie : Oui elle s'est réveillée il n'y a même pas 10 minutes.

Le médecin : Comment vous sentez-vous Mlle Pluviot ?

Mathilde : Et bien ça m'a l'air d'aller bien.

Le médecin : Parfait, dès que vous aurez fini de discuter avec vos amis et votre petit ami, vous m'appelez. À tout à l'heure.

Mathilde : Mon quoi ?

Mais c'était trop tard, il est partit.
Je regardai Julie d'un air interrogateur.

Julie : Euh...et bien...comment dire....faut lui demander à lui. En pointant Antoine du doigt.

Je le regardai et comment vais-je vous expliquer la tête qu'il avait....disons qu'il avait une tête de <<je suis dans la merde ; ça va mal se finir ; qu'es ce que j'ai fait ; je vais lui dire quoi ....>> et j'en passe...
Bref, je le regardai et il commença ses explications.

Antoine : Alors pour faire court

Il allait continuer mais Raphaël l'interrompu.

Raphaël : Quand il dit qu'il va faire court, tu peux être sûr que ce sera long, donc moi et Julie on vous laisse discuter.

Sans même qu'Antoine ou moi ni même Julie puisse répondre il prit Julie part le bras et ils sortirent de la chambre.
Aucun de nous ne parla, il y un blanc jusqu'à ce que je décide de le rompre.

Moi : Assis toi. En lui montrant la chaise qui était près du lit.

Antoine s'assit et se décida enfin à parler.

Antoine : Et bien quand hier au stade Julie et toi êtes tombées sur nous, tu as fait ton malaise et je t'ai rattrapé, mais ce n'est qu'un détail. Hugo a proposé qu'on t'emmène, moi et Raphaël au poste de secours et il nous a conseillé de dire que tu es notre cousine ou quelque chose du genre... Et quand la secouriste à demander qui tu étais pour nous, Raphaël a dit qu'il ne faisait qu'accompagner, Julie qu'elle est ta meilleure amie et moi j'ai hésité et Raphaël ma rappelé ce que Hugo a dit et je ne sais pas pourquoi j'ai dit que j'étais ton petit ami. Et ça a marché, quand ils ont appelé l'ambulance, ils ont précisé que tu es ma copine et l'ambulance est arrivée plus rapidement. Voilà.

Je le regardai un moment avec un air bizarre.

Antoine : Tu ne m'as pas suivi, tu veux que je recommence ?

Moi : Ha si si j'ai tout compris, c'est pas la peine de recommencer. Je me disais juste que Raphaël avait raison ; quand tu dis que ce sera court on peut être sûr que ce sera long.

À l'écoute de ma phrase il sourit et je fis de même.

Antoine : Donc tu n'es pas fâchée pour tout ça ?

Moi : Bien sûr que non.

On parla de tout et de rien jusqu'à ce que la porte s'ouvrit laissant apparaître Julie, Raphaël, le médecin et....ho non pas lui !

A suivre ♥♥

Antoine Griezmann et moiWhere stories live. Discover now