Jasmine, la tempête.

husni, très tot ce matin là ; 5h37

J'ai songé toute la nuit contre ce sommeil qui tentait de me faire tombée si profondément dans ce coma abstrait. Et mon cerveau n'arrangeait pas la chose puisqu'il me tracassais avec ses milles et unes questions sur maman.
De plus, elle avait l'air sur concentrée, sur ce qu'elle faisait.

Alors, ce matin là, j'eu l'idée de la suivre et malheureusement pour elle car ce que j'allais découvrir était pire que tout ce que j'avais pu imaginer cette nuit.

Petite veste à capuche, pantalon sombre, chaussure de sécurité qui datent de l'an mille et munie d'une paire de gang en cuir telle sera ma tenue de camouflage.

Maman je suis navré d'en arriver jusqu'ici, seulement, quelle mère indigne es-tu pour laissée un enfant que l'on t'a confiée, un enfant dont tu as promis de t'occuper et de ne jamais l'abandonnée.

A sa sortie de la maison, je fus alerté par le bruit d'une serrure et c'était sûrement celle de la porte d'entrée et bonne nouvelle car je ne voudrais absolument pas qu'on m'ai caché une porte, ce serait stupide !

Je suivais ma mère puis remarquais qu'elle ne prenait pas un chemin que je ne connaissais pas mais plutôt un que je connaissais bizarrement il me disait quelque chose, ah oui. C'est le chemin de chez notre cousine. C'est étrange d'autant plus que maman ne s'entend pas pour le moins avec elle, maman déteste la fille de sa soeur qu'elle trouve étonnamment mal élevée, modeste et aucunement serviable.

Par ailleurs à cause de cette fille, maman a eu beaucoup de problèmes dans sa famille ; alors pourquoi se rendrait elle chez elle ?