Jasmine, la tempête.

... derière la porte :

Quand j'ouvre la porte, je vis face à moi des cages, comme si c'était une prison digne des grands films qu'on voit passer a la télévision. Une petite lumière juste suspendue au plafond sans même avoir été correctement enclanchée sur le plafond me faisait face, la luminosité de la pièce était d'ailleurs très faible à en donner froid au dos. En continuant d'observer la pièce où je me trouvais, j'étais choquée de voir des choses horribles telles une boucherie, il y avait à terre dans l'une des cage un homme et plus précisément un jeune homme menotté de la main droite au barreau de la cage et de l'autre à un tuyau de plomberie sans doutes.

Il avait l'air endormis, et même on aurait dit qu'il avait perdu connaissance bien avant que j'arrive.

Il était seul, entouré de ces cinq cages, toutes vides mais comme si il y avait un passé à chacune d'elle, comme si la pièce avait vu mourrir pas mal de personnes dans celles-ci.

Le sol sur lequel je marchais était parfaitement propre tandis que celui dans les cages était différent, rugueux et pourrit par la saleté, tellement que l'on pouvait voir une couche de crasse d'environs un centimètre joncher ce sol.

Je ne pu m'empêcher de courir chercher de l'aide, cet homme je ne pouvais pas le laisser ici, le laisser mourir, il doit avoir un avenir sur, ou même laisser son dernier souffle mais pas ici, il devait voir une dernière fois peut-être le jour.

Seulement, de nouveau dans la maison quelque chose, me barra le chemin. Quelque chose s'imposant contre moi même et ma très maigre silhouette.