Fadeija.

Partie 47

Fadeija en multimédia. Vraiment pour moi mettre les personnages en multimédia c'est une perte de temps. Mais si vous le voulez tant je le ferais.

Salut Salam Aw ni sogoma.

Elle : Madame il faut que vous arrêtiez de trop bouger. Vous mettez votre enfant en danger !

Moi : Hein ? Comment ça ?

Elle : Vous bougez trop donc votre enfant aussi. Regardez ici. Votre infection se développe de plus en plus. Et le fais que vous bougiez l'aide à se développer.

Moi : Ah.

Elle : Fadeija le moindre petit stress peut être fatale pour vous et votre enfant sachez le. Bref nous avons fini.

Je m'essuie le ventre la remercie puis sors.

Je vais directement rejoindre le taxi qui m'attendait. Et rentre chez moi.

J'étais dégoûtée. Restée deux mois sans bouger c'est trop. Putain Cheick je te déteste wallah.

Puis je me suis rappelée que je devais rappelé Tata Awa.

Je prends mon téléphone et l'appelle. Cette fois ci elle avait décrocher.

Elle : Allô ?

Moi : Salam Aleykoum Tata comment ça va ?

Elle : C'est qui ?

Moi : C'est Fadeija.

Elle : Ah c'est toi.

Elle l'avait dit avec du dégoût.

Moi : Oui.

Elle : Tu n'as même pas honte ? Pourquoi nous appelle tu ?

Wtf ?

Moi : Mais Tata qu'est ce qu'il y a ?

Elle : Tu oses me demander ce qu'il y a ? Tu nous a foutu la plus grosse honte de notre vie. En allant rejoindre ton copain. Si tu ne voulais pas te marier avec mon fils il fallait juste nous le dire.

Moi : Ah ça il vous a bien retourner le cerveau hein.

Elle : Ne tente plus de nous rappeler.

Moi : Ne t'inquiète même pas. Quand je le ferais ça sera pour vous dire que j'ai reçu les papiers du divorce. Je ne veux pas rester une seconde de plus marié à ton fils.

Je l'avais dis avec une telle violence.

Puis je raccroche.

Elle m'avait tellement énervée puis je me suis rappelée que je ne devais pas être sous pression donc je me suis calmée.

Bah Putain il leurs à bien retourner le cerveau Cheick.

Bah là au moins c'est sûre je n'aurais de compte à rendre à personne. Ils vivront tous dans l'ignorance je préfère garder toute cette histoire pour moi. Désormais ma seule famille c'est ma fille. Ça je peux en être sûre.

J'ai passé le reste de la journée à faire des gâteaux puis j'en ai apporté à la mère de Oussama la seule qui était gentille avec moi ici.

Je m'habille puis monte chez elle avec mon assiette.

Je sonne à la porte c'est elle même qui m'ouvre.

Pause.

Oussama c'est un sénégalais de 27 ans.