Deux âmes, Un diable ⚠️EN PAUSE⚠️

Chapitre 1

—Dring dring

J'éteins mon réveil et me lève lentement de mon lit. Je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit encore. Je me dirige vers la cuisine et je prends mon petit-déjeuner. Des céréales avec un jus d'orange, classique, mais j'ai du mal à manger le matin, c'est une des seules choses que j'arrive à manger le matin. Après avoir mangé, je me lève et me dirige vers la salle de bain pour me brosser les dents. J'enlève mon pull en faisant attention à ne pas trop frotter le pull contre mon bras à cause de mes coupures d'hier soir.

—Claire !! Hurle Stella, ma meilleure amie. C'est toi qui m'as pris mon pull ? Ha non, c'est bon, je l'ai.

Je rigole un peu puis je la vois arriver dans la salle de bain comme si je n'étais pas là.

—Tu ne pouvais pas attendre que je finisse, je n'ai pas encore mis mon pull. Lui dis-je

—J'ai déjà vu pire.

—Ce n'est pas une raison, râlais-je

Elle a raison. On se connaît depuis qu'on est petites, on s'est vues dans des états bien pires. Elle se rapproche de moi et regarde mon bras, je le cache vite derrière mon dos.

—T'as recommencé, murmure t-elle plus pour elle que pour moi.

—Je suis désolée.

Je mets vite mon pull et sors de la salle de bain. Je m'aperçois qu'on va être en retard à l'université.

—Bon, on y va Stella !! On va être en retard, lui dis je.

Elle sort de la salle de bain et on sort enfin de l'appartement. On arrive à l'université un peu en retard. On entre dans la salle de cours. Et on commence à travailler.

***

Les cours ont été terriblement longs et ennuyeux alors quand la sonnerie sonne enfin tout le monde se lève précipitamment.

—C'est enfin la fin de la journée ! S'exclame Stella.

Après quelques minutes de discussion avec Stella et son nouveau mec, on rentre à notre appartement.

—C'est fou à quel point tu changes toutes les 2 secondes de mec, lui dis je.

On a ri au moins 5 min de mon observation complètement vraie, elle a quitté son mec il y a 2 jours et avant lui, il y en a eu plein d'autres. En même temps, elle est très belle avec ses cheveux blonds et ses yeux bleu clair. Elle est au centre de l'attention comparée à moi, ce qui me va très bien, je n'aime pas quand trop de personnes me regardent, j'ai peur qu'ils me voient comme moi, je me vois.

Après être rentrée à l'appartement, j'ai fait mes devoirs, jusqu'à ce que je sente une bonne odeur. Je me lève de ma chaise et me dirige vers la cuisine et j'y retrouve Stella avec une barquette de lasagne.

— Ça sent trop bon, m'exclamais-je.

—Je sais, c'est moi qui ai fait.

—Alors c'est quoi cet emballage. Lui dis-je en montrant le carton des lasagnes du doigt.

—Bon ok, je l'ai acheté. J'aurai dû jeter ce carton avant que tu ne viennes. Marmonna-t-elle.

—Et aussi le mettre dans un plat autre que le plat d'origine.

—Bon, j'ai compris, je ne suis pas doué pour ça.

—Pas du tout, lui dis-je en rigolant.

On rigola un bon moment avant que l'on ne sente une odeur de cramer.

—Mes lasagnes ! Hurla-t-elle

Elle ouvrit le four le plus rapidement possible et sorti les lasagnes, mais elle était déjà cramé. L'odeur du brûlé remplissait toute la pièce. Je me dépêchai d'ouvrir les fenêtres.

—Ce n'est pas grave, on va aller chercher autre chose à manger. Lui dis-je d'une voix réconfortante.
Ça te va un tacos ?

—Ouais, mais je suis dégoûté pour une fois, j'aurais voulu réussir à cuire quelque chose.

— Ne t'inquiète pas un jour, tu y arriveras.

On vient de sortir de l'appartement quand Stella me dit qu'elle a oublié son manteau. Pendant ce temps, je sors. Je l'ai attendu un long moment.

—T'en as mis du temps pour un manteau.

—Je ne savais pas où je l'avais mis. J'ai dû regarder de partout, me dit-elle en finissant de mettre son manteau.

On était maintenant au taco. Ça sentait trop bon, je commençais à avoir faim. On commanda un taco chacune. Puis on patienta à une table pas très loin du comptoir.

—Je vais aux toilettes, dis-je à Stella en m'y rendant.

Je marche jusqu'aux toilettes quand d'un coup un homme me bouscule. Je peux juste voir qu'il est grand avec des cheveux bruns, puis il part comme si de rien n'était.

—Tu pourrais quand même dire pardon, dis-je à l'homme qui vient de me bousculer en étant choqué de son manque de respect.

—Je ne dis jamais pardon, princesse. Dit-il avec une voix grave, puis partie

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Voilà, j'espère que ce chapitre vous aura plu. À bientôt.
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